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Il étais sérieux, et il a même pas un peu bégayé quand il a parlé.

Au début j'suis resté sans voix, puis quand j'ai vraiment réalisé c'est dire j'ai froncé les sourcils et j'ai eu un petit pincement au coeur.

Moi: mais tu rigole hein ? Dis-je perdu.

Kaysân: J'suis pas un batard pour te faire souffrir alors c'est mieux pour toi qu'on en finisse. Dit-il durement.

Moi: mais tu peux pas savoir ce qui est mieux pour moi, et puis Kaysân j'ai dis tout sa sous les nerfs comprend moi.

Kaysân: je fais sa pour toi moi, t'es encore dans ton petit monde de bisounours crois moi t'es pas prête à découvrir le mien.

Moi: donc ça y est ? C'est finis ? Dis-je d'une petite voix.

Kaysân: ouais.

Il venais vraiment de me quitté devant cet hôpital alors que c'est à ce moment là j'avais besoin de lui, j'avais besoin qu'il me soutienne et qu'il me rassure sauf que lui il a préféré me quitter.

Comme si ce que je venais de subir avait pas suffit, je viens de me faire tej par mon mec.

Et voilà qu'il étais partit, me laissant ici seule.

J'aurais voulu le retenir, mais ma fierté a pris le dessus alors je l'ai laissé s'en allez.

{...}

2 jours plus tard,

Yesime étais encore à l'hôpital il s'était fait recoudre et le médecin le gardais sous surveillance, moi j'étais sortit du travaille et j'allais lui rendre visite.

Le pauvre il en pouvais plus et les médecins voulais pas le laissé rentrer.

J'ai toqué a sa porte avant de rentré et il était accompagné de Izaak.

Moi: salem tout le monde.

Izaak: ça va emira ? Dit-il en me serrant la main.

Moi: ça va merci et toi.

Izaak: El hamdulillah ça va.

Yesime: emira dit moi que tu ma ramené à manger w'Allah ici je crève de faim avec leur vieille nourriture de merde.

Moi: je t'es rien ramené du tout moi je viens de sortir du travaille.

Izaak: ah ouais miskine yesime, dit-il en se moquant de lui.

Yesime: toute façon je vais me casser d'ici je reste pas plus longtemps.

Moi: si t'es obligé il te garde en observation.

Yesime: mais ça y est j'ai plus rien mon frère.

Entre temps Izaak avais reçu un appel et il est sortit de la chambre.

Je me suis assise sur la chaise à côté de mon frère avant de le fixer.

Moi: yesime tu m'a fais une frayeur, je veux plus que sa arrive.

Yesime: c'est rien du tous t'inquiète pas pour moi, dit-il en souriant.

Moi: non c'est pas rien du tout, c'est très grave ce qui s'est passé t'aurai pu avoir un organe touché tu le sais sa ?

Yesime: je sais mais t'inquiète pas pour moi petite soeur il m'arrivera plus rien maintenant.

Moi: c'est Omar hein ?

Il a froncé les sourcils avant de souffler.

Yesime: je veux pas que tu te mêle de sa ok emira ? S'te plait.

« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira Où les histoires vivent. Découvrez maintenant