Le reniement

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Christ fit un pas vers elle .

CHRIST: Benedict mais qu'est ce que tu fais içi? Je te croyais à L'os Angeles .

Benedict reflua l'air terrifié.

BENEDICT: Fiona ne le laisse pas s'approcher de moi je vous en prie !

Christ s'estompa brusquement l'air confus.

CHRIST : qu'est ce qu'elle t'a raconté Fiona?

MOI : Christ tu ferai mieux de partir.

CHRIST : Je dois d'abords parler à Benedict.

BENEDICT : Je refuse de t'écouter et je n'ai absolument rien à te dire va t'en!

MOI : J'espère que t'as entendu.

CHRIST : Où est Aron ? je veux parler à mon Frère.

             Tout à coup la porte s'ouvrît , et Aron rentra en sortant de travail. Il s'estompa en fusillant tout le monde du regard l'air inquisiteur.

ARON :Qu'est-ce ce qui se passe?

MOI: Aron tu arrives juste a temps . Demande à ton frère de sortir , Benedict  n'est pas disposé à le voir et encore moins à lui parlé et pour moi Christ n'est plus le bienvenu içi.

             Aron dévisagea Christ qui était resté lugubre.  Il semblait contre-Avis . Je comprenais que c'était son frère mais il savait tous ce qu'il  faisait subir à Benedict mais ne voulait rien faire pour l'en empêcher .

CHRIST ; Ta femme vient de me mettre à la porte Aron et tu ne dis rien .

ARON : Sortons en discuter .

CHRIST :À ce que je vois tout le monde s'est retourné contre moi.

           Christ était moribond mais je ne voulais pas me laisser attendrir par son caractère papelard. Alors que je m'attendais à un regard dédain, Il me regarda avec beaucoup de tendresse.

CHRIST : je ne sais pas ce que Benedict t'a raconté Fiona mais Tu sais à quel point j'apprécie ta famille , toi et tes enfants . je n'aurai jamais pensé qu'un jour tu arriverai à me traité de la sorte...comme un vulgaire inconnu.

  

                Il prit direction de la porte l'air abattu et Aron le suivit . sa  sagesse m'avait offusqué. Il était différent de l'homme sarcastique que me décrivait Benedict j'étais un peu confuse mais j'étais persuadé que Benedict n'oserait jamais inventé une histoire pareille.

            Benedict était assise dans la chambre au bord de mon lit dans ma chambre . j'étais  jouxté d'elle J'essayais de la réconforter.

MOI : vous n'avez plus rien à craindre . Christ ne pourra plus s'en prendre à vous.

BENEDICT : Tous ses éloges qu'il faisait pour vous au dîner et ses regards passionnés qu'il vous lançait.
Si seulement Il avait autant de considération pour moi comme il en a pour vous Fiona.

MOI: Je ne vois pas de quoi vous voulez parler Benedict.

BENEDICT : Alors vous ne le savez pas ?

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