Face cachée

Un moment d'égarement

ARTHUR : ...A tel point que ...la fureur de mon désir m'a fait durcir .

la tension commençait à monté et mes pulsions à se réveillé. Nous échangeâmes un regard sensuel qui devena perplexe pour moi car je me rappela que je n'avais pas le droit de me laisser emballer à l'impudicité je reflua .

MOI: Vous comptez toujours me remettre ma bague?

Il enfouit sa main dans la poche de sa veste.

ARTHUR: Je crois que je l'ai oublié dans ma chambre.

MOI: Vous faites exprès de l'oublier pour me demander de vous accompagner dans votre chambre je vois clair dans votre petit jeu .

ARTHUR: Alors vous acceptez de m'accompagner dans ma chambre Ou vous préférerez restez ici attendre que je vous le rapporte.

Je savais qu'il cherchait à me mettre dans son lit et je cherchais à tout prix éviter de tomber dans son piège.

MOI: je préfère vous attendre içi.

ARTHUR : Ma chambre est au huitième celle du Trois cent vingt , Je ne devrai pas tarder.

*******

J'étais assise près de la table , je repensais à lui , remémorais notre conversation et je souriais bêtement. J'ai eu raison de ne pas l'accompagner dans sa chambre car Dieu seul sait ce qui pourrait se passer car Il me plaisait .

Son absence me paraissait une éternité je commençais a m'impatienter .

Peut être qu'il l'avait égaré et qu'il était entrain de le chercher ou Peut être qu'il n'avait pas l'intention de revenir .

Au bout d'un long moment d'attente , je me ravisa.  je voulais savoir ce qui lui prenais autant de temps donc je suis monté au huitième étage .

Arrivé devant la porte du trois cent vingt je leva la main pour toquer mais j'hésita. Je la descendais et fit demi tour puis m'estompa et me ravisa .

je retourna vers la porte alors que je m'apprêtais à toquer je remarqua que cette dernière était entre-ouverte .

    Je la poussa et rentra . Tout était propre et dans l'ordre , le Lit bien fait mais je ne voyais pas Arthur .

Je fis un tour sur moi et c'est quand je me retourna que je le remarqua . Il était derrière moi Torse nue avant même que j'eus le temps d'où rie la bouche il se précipita vers moi et me vola les lèvres .

     Son corps musclé blotti contre moi et je me laissa faire il reflua ses lèvres pour m' admirer des yeux .

ARTHUR: J'étais sûr que vous alliez venir .

MOI: vous saviez pertinemment que vous n'alliez pas revenir et vous m'aviez menti

ARTHUR: Désolé de vous avoir fait attendre , c'était la seule façon de vous attirer jusque à moi.

Il m'enlaça tendrement vers son corps et vers son membre éroder contre mon entrejambe et fit glisser sa main sur mes fesses ce qui me fit tressaillir de désir puis m'embrassa de nouveau ...

     l'effet de sentir ses lèvres écrasé contre les miens me faisais perdre la raison ...je me rappela aussitôt que j'étais marié je reflua mes lèvres

MOI : Arthur , je ne peux pas...lui murmurai je ...

ARTHUR : ...Je sais que vous en avez envie . Laissez- moi vous donner du plaisir.