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Juin 2021

France

PDV MATHILDE

Mes amies sont repartis, mais en réalité je n'arrête pas depuis le vernissage. Toutes mes toiles vendues sont parties et je travail sur les restaurations que j'ai à faire avant de devoir partir. Je sursaute en sentant des bras m'entouré.

-Je te kidnappe.

-Bonjour à toi aussi Hakim.

-Je te kidnappe.

-J'ai du travail.

-Juste ce soir. Je te ramène au taff demain matin huit heure.

-Toi te levé avant huit heure?

-Tu as ma parole. Je te kidnappe. 

-Il est quelle heure?

-20 heures. 

Je soupire et je range mes affaires et sécurise l'oeuvre. Je prend ma veste et mon sac et je rejoins Hakim qui m'attend.

-On va où? je demande.

-Tu verras.

Je le suis à sa voiture et il prend la route. Il met de la musique et moi je regarde Paris. J'aime la voiture et me faire conduire, car comme ça je peux regarder ce qu'il se passe. Il se gare près d'un parc et on sort. Il prend un sac à dos et je le suis.

-Qu'est ce que c'est? je demande alors je vois du monde dans le parc devant un écran blanc.

-Un cinéma de plein air. C'est un film en noir et blanc, je me suis dit que t'aimerai. Et un pique nique. Quoi? il me demande. C'est quoi se regard?

-Ca sonne comme un date dit comme ça. je constate.

-Dit pas de gros mots.

Je rigole et on se pose dans un coin un peu à l'écart mais ou on voit suffisament bien.

-J'ai oublié le décapsuleur.

Je prend les bières et je lui ouvre.

-Tu vas m'apprendre ça. il me demande. 

-Tu vas te casser une dent.

-Pour qui tu me prend? 

On a trinquer et on a bu nos bières en parlant de nos journées.

-Et ton voyage?

-Je pars début juillet. Tout est prêt. 

-Combien de temps?

-J'ai bloquer mon agenda pour minimum un mois. Mais je serai capable de faire deux mois.

-Pas trois? Je te manquerai de trop?

-Non, ça me ferai plus de vacances. 

-Tu pourras me rendre un service.

-Arrosez tes 234 plantes?

-S'il te plait.

-Oui. il répond.

-Merci. 

La nuit commence à tomber et le film commence. Hakim sort notre repas, des clubs sandwichs.

-C'est toi qui les as fait? je demande.

-Je sais cuisiné.

-Je t'assure que tu vas me ramener moins de kebab alors. je répond. 

-Mais tu cuisines mieux que moi. 

-On verra ça. Mais c'est super bon. je le complimente. 

On a manger devant le film, enfin moi j'en ai manger qu'un peu et il a fini mon sandwich. C'était clairement trop copieux pour moi son truc, mais c'était incroyable. 

-Tu sais que je peux mourir pour des fraises?

-J'avais capté.

Je souris et j'en mange une. J'ai repris mes habitudes et je me suis posé contre Hakim, parce que c'est mon meilleur oreiller. 

-Tu as changé ton shampoing. 

-Il n'y en avait plus. 

-Je préfère l'autre.

-Tu deviens exigent avec le temps.

-T'occupe. 

-Tu fais quoi toi cet été? je lui demande.

-On bouge avec les gars dans le sud. On a loué une maison. 

-Nina vient avec vous?

-Malheureusement. 

-Ton frère à l'air amoureux, laisse lui une chance.

-On a déjà parler de ça. Je crois que je préférai partir avec toi que de la supporter.

-Je suis un bouche trou?

-J'ai pas dit ça.

-Si je pourrai, je t'emmènerai. je dis. Mais j'ai besoin de ça.

-Je sais Math.

Il embrasse mon crâne et on se concentre sur le film. Je me suis mise à rire sur leur connerie de gag. Le films se termine à minuit et demi, on est retourné à la voiture pour aller chez moi.

-Tu montes?

-T'ose poser la question?

Il se gare et on monte chez moi. Il a l'air de s'habituer à mes étages. Je me change et je me pose dans le canapé avec lui. Il a mis notre série et cette fois c'est lui qui est affalé contre moi. Je joue avec ces chevalières. 

-Tu sais, tu as dit que tu ne comprenais pas mon attitude.  

-Hm. 

-Je comprend pas comment tu as pu envié tes potes.

-Je comprend pas comment tu as pu envié ta pote. 

Nos têtes sont à la même hauteur, sa main quitte la mienne pour mettre une mèche de cheveux derrière mon oreille. Son pouce vient caresser ma joue. Je ma rapproche de lui et il fait de même. Je fini par faire le dernier pas et déposer mes lèvres sur les siennes. Sa main glisse dans ma nuque pour intensifier le baiser et sa casquette tombe. La position n'était pas des plus confortable, Hakim me fait monter sur ces cuisses.  On s'est embrassé longuement comme des ados et je vois bien que le rappeur n'est pas à l'aise dans ces gestes et ne sait pas quoi faire. Je prend les devants et je passe mes mains sous son tee shirt. 

-T'es sur? il me demande.

-Très sur. je répond. 

-Tu m'arrêtes quand tu veux.

Je m'accroche à son cou quand il se lève en me portant pour aller dans ma chambre. Son tee shirt est allé au seul comme tout le reste de nos affaires. J'ai pas couché avec beaucoup d'homme dans ma vie. Mais Hakim est clairement en pole position.  

  

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TeddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant