Chapitre 8

109 25 5
                                    

- Il faut que je rentre, je dis après avoir longtemps enlacé Colin

- Ok moi je dois aller retrouver Fred mon agent. On doit voir comment on va gérer la situation.

- OK

Je ressemblais mes affaires et Colin passa rapidement à la douche et se changea. Il passa un jean noir, un t-shirt blanc avec  un dessin des sortes de palmiers et des baskets blanche.

- Je t'ai descendu un jogging. Je me suis dis que tu voudrais pas sortir en short.

- Merci.

On descendit en bas de l'immeuble mais on se stoppa direct. Il y avait plein de journalistes devant l'entrée. Colin me tira à l'abri des regards

- On ne peut pas sortir pour le moment.

Colin me repoussa vers l'ascenseur et on remonta en haut.

- Fred, dit-il au téléphone. Il y a plein de journalistes devant l'immeuble. Tu peux venir ?... OK... ouais t'inquiète prend ton temps.

Pendant ce temps je tournais en rond.

- Charly arrête tu me donnes le tourni.

- Je peux pas. Putain mais quelle conne... j'aurais pas dû venir te chercher...

- Dit pas ça... Charly, je suis vraiment désolé pour tout...

- Je dois sortir d'ici...

- On peut pas Charly.

- Je me sens tellement à l'étroit.

- Charly, calme toi.

Colin me prit dans ses bras.

- Calme toi

Et il m'embrassa

- Ne fais pas ça, je lui dis sans le repousser.

- J'en ai pourtant tellement envie.

- Tu peux pas me dire ça

- Tu me crois si je te dis que je pense à toi depuis mon anniversaire. Que je faillis défoncer la porte chez mon père afin de recommencer. Que j'ai eu envie de te faire l'amour tous les jours depuis mon anniversaire.

- Tu n'as pas le droit de me dire ça. Tu as tellement été méchant.

- Je sais mais je ne m'y attendais pas... je n'arrive pas à me dire tu as fait ça sans m'en parler.

- Je sais mais c'est ma vie et je t'ai dis, je ne te demande rien.

Il posa son front sur le mien.

- J'ai tellement envie de toi, dit-il

- Et moi dont...

Je n'en reviens pas de lui avoir dit. Il me regarda comme s'il attendait mon autorisation alors je lui souris et il m'embrassa encore plus passionnément. C'était  impensable de se dire qu'on passait notre temps à se disputer mais que j'ai toujours envie de lui. Je pense que les hormones y sont aussi pour quelque chose.
Il me tira jusqu'à canapé et me fit asseoir sur lui. Nos baisers se firent plus langoureux et rapidement nos t-shirts avaient disparu.

- Je vais devoir aller chercher des capotes là-haut sauf si...

- J'ai envie de te dire qu'on craint plus rien de ce côté là mais bon..

- C'est vrai...

Ses baisers recommencent mais je le stoppe.

- Par contre...

- Qu'est ce qu'il y a ?

- Les capotes protègent des maladies et vu que tu as tendance à aller un peu partout...

La Vie N'est Pas Un Long Fleuve Tranquille {Terminée}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant