~chap 3~

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                                               Le lendemain  11h00____

Je me suis enfermé dans ma chambre. Je ne veux pas croiser Kecy. J'ai honte putain. Depuis 5h00 je suis réveillé et je ne suis pas sortie de ma chambre. Je n'ai pas déjeuné et j'ai grave la dalle. Il va falloir que je descend toute façon, je ne vais pas crever de faim. Et ma vessie est atrocement douloureuse.

Aller! Je vais y aller.
Non je peux pas.
Mais si je vais y aller.
Ta gueule tu y va et tu ferme ta gueule.

Je franchie la porte et court jusqu'à la salle de bain pour calmer ma vessie.

Une fois sortie de la salle de bain, je descends les marches des escaliers sur la pointe des pieds pour "essayer" de ne pas me faire repérer.

Après être entrée dans la cuisine un soupir de soulagement me lâcha quand je vis qu'il n'y a personne. Soudain je sursaute en entendant quelqu'un parler derrière moi:
-Salut. Parle la voix de Kecy.

Oh merde.

-Sa..salut. Bégayé je.

Elle s'avance vers la cafetière et prend deux tasse dans le placard d'à côté. Je la regarde faire, muette.

-À propos d'hier, est ce que ça pourrait rester entre nous, et essaye de ne pas trouvait ça bizarre. La questionné  je.

-Ouais t'inquiète. M'assure t'elle.

Une question me démange bien que je cède et lui demande:
-Comment tu a su quoi faire?

-Avant de rentrer dans ce monde d'égoïste, ça ne fait qu'un an, j'ai fait des études de médecine.

Je hoche la tête.

C'est vrai que ça lui irez bien médecin comme métier. Mais je ne comprend pas pourquoi elle a voulu entrer dans ce monde de criminel.

Elle me tend la deuxième tasse de café qu'elle a entre les mains et je la remercie.

C'est vraiment la honte. Qu'est ce qu'il t'a prit de faire ça devant elle. Idiote.

Poème. Il faut que j'écrive maintenant.

Je finie ma tasse en moins de deux et monte les escaliers quatre à quatre.

Arrivée dans ma chambre, j'attrape mon carnet et un des stylos qui traîne sur mon bureau.

Assise maintenant sur le bord du lit je commence:

Dans la pénombre le soir,
Une seule émotion le désespoir,
Ce cauchemars ignoble, 
Face à lui il était imbattable.

J'étais faible,
Je suis faible,
Mais je ne voulais pas l'admettre,
C'était cette lettre..

La lettre.

Je soupire n'ayant pas assez écrit pour moi. Tant pis je continuerai plus tard.

Soudain des claquements bruyant vint frapper ma porte me faisant sursauter.

-Putain la vérité je m'en balle les couilles si tu es a poil je rentre dans 3 seconde! Crie la voix derrière ma porte.

Je pus reconnaître cette voix entre mille tellement son propriétaire me fait flipper. Elvis.

Je remets le carnet et le crayon à leurs places en un rien de temps et ouvre la porte.

-Tu veux quoi? Craché je en le fusillant du regard.

-T'es sourde ou quoi?! Ça fait 5 putain de minutes que je t'appelle! On va chez Mike ta deux minutes pour t'habiller!

Ça va! Je t'ai laissé le temps de te branler remercie moi!

Mi amorOù les histoires vivent. Découvrez maintenant