Chapitre 41

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عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah

Moi: Hosni ?

Hosni: mmh ?

Il est super bizarre, d'habitude c'est une vrai pipelette avec moi.

Moi: je prend quelle chambre ?

Hosni: j'sais pas.

Et il partit directement après ces mots...

Lui qui me colle à la base, bah il est très bizarre comparé à d'habitude .

Mais j'en ai rien à faire je ne le connais pas vraiment .

Il n'est rien à mes yeux.

Bon, j'ai plus qu'à aller voir Jibril, encore orggg.

Je me dirige vers son bureau, toque et entend la permission de rentrer, ce qui fait que j'entre par la suite directement.

Jibril : un problème ?

Il me parlait bizarrement lui aussi.

Il parlait « normalement ».

Ahhh je vois...

Maintenant qu'il sait qui je suis, il y a de l'estime.

Avant j'étais qu'une femme «faible» .

Triste réalité, mais c'est comme ça .

Vous êtes un pauvre, un SDF ou autre; on vous parleras mal, on vous juge à l'apparence et donc on va vous sous-estimez.

Or si vous êtes quelqu'un de plutôt fortunés ou faisant partis d'une certaine renommé, vous serez traité bien différemment. On vous verras comme quelqu'un de gentil, de propre, de plaisant, éduqué ...

Bref.

Moi: je voulais savoir dans quelle chambre j'allais m'installer, car je ne compte pas rester dans un espèce de grenier.

Jibril: la même que celle où tu logeais avant.

Après avoir entendu ses dires je me dirige vers la porte du bureau et sort.

Je vais vers l'espèce de grenier et prend mes affaires pour les monter en haut, dans mon ancienne chambre.

Et pendant 20 minutes j'ai fait que des aller-retour pour changer mes affaires de place.

Pourtant j'en ai pas beaucoup.




























[...]


























Je courait dans un bois, en recevant de l'air frais sur mon visage, la respiration forte et la tête concentrée.

2 semaines s'étaient écoulées et je devait m'entraîner, et maintenant que je n'ai plus à me cacher, j'en profite.

J'avais eu l'autorisation de sortir de la villa pour aller courir, mais bien évidement Jibril ne me fait pas assez confiance, ce qui est compréhensible .

Perdue dans cette dunyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant