Chapitre 45

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عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah


Moi *en le regardant droit dans les yeux*: et à mon avis, ça va pas plaire à Paulo tout ce bruit.

Imrân: écoute, le boulot est fait, qu'il casse pas les couilles le vieux mexicain à moustache.

Moi: ouais, on verras bien la suite, en attendant estime toi heureux que tu as déjà ta commande au lieu de te plaindre, moi je crève la dalle.

Imrân : pas mon dos.

Moi: heureusement, le tien ressemble à celui de Quasimodo.

Imrân : c'est qui lui ?

Moi *désespérée* : au secours ...




















































1 semaine plus tard ...

1 semaine était passée, et il nous restait des choses à faire, alors nous nous sommes mis au charbon et comment vous dire que je suis épuisée, l'autre con qui me sert de collègue également.

Enfin bon, tout ça pour dire que demain c'est le retour en France, moi qui pensait pouvoir profiter des paysages, c'est raté .

Dans la journée nous avions clôturés le boulot et sommes partis dire au revoir à Paulo pour ensuite revenir à l'hôtel afin de rassembler nos affaires pour faire nos valises.

J'étais dans ma chambre, en train de me lisser les cheveux, alors que de base ils sont bouclés, parfois je regrette je l'avoue, mais ils sont plus faciles à attacher comme ça.

J'étais à la moitié quand soudain j'entend toquer à la porte.

Le corps immobile et les sourcils froncés, je décide de poser délicatement le lisseur pour ne pas faire de bruit et prend en main mon arme à feu, qui sait ce qui se passe ?

Je me dirige alors doucement jusqu'à la porte et regarde dans le judas de porte de qui il s'agit, et voit que c'est simplement Imrân.

Moi : 2 minutes j'arrive !

Je me rend devant mon miroir, rassemble tout mes cheveux et les attaches, donc le bas est lisse mais le dessus bouclé, à l'aide !

J'ouvre ensuite la porte et regarde d'un œil interrogateur ce débile.

Imrân : guette bien aussi.

Moi : si tu veux, t'as besoin de quelque chose ?

Imrân: j'vais faire un tour histoire de prendre l'air, tu viens ou pas ?

Moi: laisse moi 5-10 minutes alors.

Imrân : mais t'es déjà habillée !

Moi: je sais dis-je d'un air blasé.

Imrân: et pourquoi tu as ton arme en main ?

Moi : parce que, lançais-je en refermant avec vivacité la porte.

Je dois me dépêcher de faire mes cheveux !

Perdue dans cette dunyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant