Chapitre 33

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عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah

Plusieurs semaines ce sont écoulés et honnêtement je commence à en avoir marre de ce mode de vie.

À me faire passer pour une faible pour pouvoir survivre, me prendre H24 des coups de la part de Jibril, et je trouvais que ma vie perdait du peps.

J'avais plus d'actions dans ma vie, et ça commence un peu à me manquer.

J'étais en train de longer le couloir du rez de chaussée quand je croise le garçon de la dernière fois, à qui j'ai demandé un double des clés.

Je me retourne pour m'assurer que personnes n'est derrière moi, et c'est bien le cas.

Je continue de marcher tout comme lui en attendant d'atteindre son niveau et une fois chose faite je le plaque contre le mur violemment en mettant mon bras sur son cou, et ça avait bien l'air de le surprendre et quand il vit que c'était «moi» il me regarda ébahi.

??: qu'est ce que tu fait ?!

Moi: tait toi ils vont nous entendre abruti.

??: mais lâche moi frère ! Dit-il en enlevant mon bras.

Moi: heureusement que je t'ai dit de te taire.

??: ouai bah t'avais qu'à m'aborder normalement sale folle.

Moi: les clés ?

??: j'ai pas eu le temps j'étais en mission.

Moi: bah maintenant tu as le temps non ?

??: .... Tu l'auras d'ici demain ok ?

Moi: j'espère bien.

Et sur ce je tourna les talons comme-ci la discussion n'avais jamais existé.

C'est vrai que depuis je ne l'avais pas vue du tout, alors oui je le crois.

Mais il à intérêt à me ramener cette clé le plus vite possible.

Sinon je risque de vite perdre patience.


[...]


J'avais finit mon ménage et honnêtement j'étais épuisé, Jibril m'avait demandé ou plutôt ordonner de faire tout les repas de la journée. Genre petit déjeuner pour tout le monde, déjeuner, goûter et dîner .

Mais monsieur voulait pas de choses simples, alors qu'ils sont super nombreux, non, il voulait de bon plats traditionnels ce bouffon.

Du coup pour le déjeuner c'était Berkoukes, au goûter j'avais fait baghrir ( crêpe à mille trous) et au dîner du couscous.

Et à mon avis ils fêtaient quelque chose...

Mais quoi ? Je n'en savais rien.

Je me dirige à la salle de bain comme d'habitude mais en marchant je me retrouve propulsée contre le mur en pleine face de manière violente, je suppose que vous avez devinez.

Perdue dans cette dunyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant