Chapitre 46

117 9 13
                                    

عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah

Moi : mais t'es chiant merde !!

Une semaine s'était écoulée depuis notre retour en France, nous avions donc pris l'avion le lendemain suite à mes étourdissements etc ...

Hosni : j'suis vraiment le roi incontesté tu peut rien dire !

Moi : c'est de la chance c'est tout !

Hosni : tu ne serais pas un peu jalouse, Mi pequeño azúcar ?

J'étais avec Hosni en train de jouer à un jeu de carte, c'est lui qui m'as forcée ... À la base, je ne perd pas mon temps avec ça, mais j'ai finit par accepter après de nombreuses demandes de sa part ...
Le problème avec moi, c'est que dès que je commence un jeu, je suis à fond, comme les sports d'ailleurs, surtout collectifs. Je me dois toujours de tout donner, j'y consomme toute mon énergie ...

Mais là, je suis en train de perdre, en temps normal j'accepte la défaite, mais contre Hosni ? Je peut pas !

JAMAIS !

Depuis notre retour, Imrân et moi ne nous sommes pas revus, et tant mieux !

En fait, je ne suis jamais réellement satisfaite, c'est vrai, je ne supporte pas le caractère d'Imrân, surtout depuis sa transformation physique, on dirait que son mental a également changé, mais à cause de quoi ? Mystère. Sofiane ça va, il est pas insupportable loin de là mais je ne le vois plus trop et il pose beaucoup trop de questions à mon sujet, et ça ne me plaît pas du tout. Hosni ça va, même si des fois j'ai des doutes sur lui, surtout avec ses surnoms, notamment « Mi pequeño azúcar ». Jibril, c'est complexe ... au début je ne pouvais pas me le voir, il était désagréable, puis quand il a appris mes fonctions avant de me retrouver ici, il a soudainement changer son attitude envers moi pour ensuite me proposer un poste au sein de son réseau.

Mais je ne devrais pas l'énerver, au moindre faux pas je pourrais mettre en danger mon identité.

D'ailleurs quand il a appris qu'on a dû tuer des policiers au Mexique au plein milieu de la route, il était fou de rage.

On appelle ça les dommages collatéraux...

Moi *en jetant les cartes sur la table* : bon moi j'me tire.

Hosni : bah alors, on assume pas sa défaite ?

Moi : la ferme le vieux sinon je t'en fait voir de toutes les couleurs et ce, jusqu'à ton dernier souffle.

Hosni : j'attend que ça.

Sans plus attendre, je le gifle avec ma main droite, et j'aperçois sa tête immobile, avec des yeux remplis de stupeurs, et la marque de ma main se formant sur sa joue maintenant rouge.

Moi : tu es peut être celui avec qui je parle le plus ici, mais ça ne m'empêche pas de te remettre à ta place quand tu exagères. Apprend bien la leçon, et ne me manque plus jamais de respect comme tu viens de le faire, imbécile.

Je n'attend pas de réponses de sa part et quitte immédiatement la pièce pour alors me diriger vers ma chambre.

Qu'il peut être lourd parfois ...

Je soupire un bon coût et me change et mettant une tenue de sport pour aller m'entraîner.

Une fois cela fait je prend les escaliers tranquillement pour descendre mais des voix fortes se font entendre, ce qui éveille ma curiosité.

Bizarre ...

D'habitude c'est relativement calme, surtout en milieu de journée.

Les voix se font de plus en plus forte et je commence a reconnaître les voix, jusqu'à que j'entende une voix en particulier.



































Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jul 29 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Perdue dans cette dunyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant