Feitan les avait rejoint après que Phinks soit allé le réveiller, et heureusement, Adame et lui avaient avait dormis dans sa chambre plutôt que dans celle de la brune, comme à leur habitude.
Le groupe était parti en voiture, Pakunoda conduisait et Adame n'osa pas questionner le fait qu'elle était sous les effets de substances, comme tout le reste du groupe en réalité.
Cette dernière les conduisit jusqu'à un quartier commercial uniquement composé de boutiques de luxe, dont les clients étaient exclusivement des gens aisés.
Adame pouvait voir marcher l'exact type de personne qu'elle devait fréquentée quand elle vivait au manoir. Cette idée lui donnait envie de grimacer, mais à la place elle observait ces gens en silence.Une dizaine de minutes plus tard elle se retrouvait entourée d'eux, dans une foule impressionnante malgré le fait qu'il était dix-neufheure passée.
Cette ville avait la particularité de vivre la nuit, la plupart des grands magasins restaient ouverts la nuit, c'était en partie parce que sa zone géographique avait la particularité d'avoir une nuit bien plus longue qu'autre pars, ce qui expliquait le nom de la métropole, ainsi que sa popularité touristique.Plongée dans cette foule, Adame se senti submergée par un sentiment d'une étrange déjàvu : ses membres étaient tendus, son estomac noué.
Une main se plaça dans son dos, lui exprimant une immense tendresse, elle souffla un coup et se tourna vers Feitan. Le seul fait de voir son visage, aussi inexpressif que d'habitude, mais avec ses prunelles sombres qui lui disais Détend toi, je suis là. Elle voulut l'embrasser.«— Hn. Qu'es-ce qu'on fait là Paku, je déteste les quartiers qui puent la bourgeoisie.
Se plaigna Feitan après qu'Adame sembla avoir suivie son conseil— Je me suis dit qu'un peu de shopping ne nous ferait pas de mal.
Expliqua t-elle en le regardant de ses yeux perçants— Génial !
S'exclama Sharnalk, frappant dans ses mains »Adame se laissa traîner dans une de ses galeries regroupant les boutiques des plus grandes marques.
Le groupe entra dans une galerie, chaque étiquette présentait des chiffres d'au moins trois zéros. Pakunoda sélectionnait et essayait des tenues aussi raffinées qu'élégantes; Sharnalk montrait des pièces plus colorées les unes que les autres; et bien que surprenant, même Phinks arpentait les rayons à la recherche de pépites.
Adame et Feitan étaient assis sur une banquette, observant leurs camarades essayer leurs trouvailles.La brune ne savait pas où se mettre, à la place, elle acceptait les verres de champagne offerts par les vendeuses, ce fut après avoir sifflée deux coupes que deux ombres vinrent la surplombé.
Elle leva ses yeux bleus pour trouver devant elle une robe indigo, longue à bretelles, une fente sur un des côté, bien plus audacieuse que ce qu'elle avait l'habitude de juste s'imaginer porter.«— Essaye la.
Lui intima Pakinoda— Euhh... »
Face à l'hésitation de la plus jeune, Pakunoda posa sur elle un regard insistant, faisant finalement souffler la jeune femme qui se leva, elle attrapa le cintre et observa plus en détail le vêtement. Sharnalk dû presque la pousser jusqu'à la cabine d'essayage.
Maintenant dans cette pièce à trois murs entièrement couverts de miroirs, elle n'eut plus d'autres choix, convaincue qu'elle aurait l'air ridicule dans une robe si belle, Adame retira sa chemise et son pantalon.
Le satin contre sa peau en révélait bien plus qu'elle ne le pensait ; les bretelles découvraient ses clavicules et le col en v descendait jusqu'à dévoiler le plis entre ses seins. Sa taille était étroitement définie ainsi que ses hanches dont les courbes n'étaient plus un mystère, et pour finir la longue fente laissait apparante sa cuisse droite, la robe arrivait jusqu'à ses chevilles. Adame ne reconnaissait pas son propre corps, celui qu'elle cachait avec des vêtements larges et des couleurs sombres. Elle voulait l'oublier, le dissimuler pour que personne ne puisse le regarder.
VOUS LISEZ
𝐄𝐑𝐈𝐃𝐀𝐍𝐔𝐒 || 「ғᴇɪᴛᴀɴϟᴏᴄ」
Fanfiction"𝐿𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑠𝑞𝑢𝑒. 𝐿𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑒𝑓𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠. 𝐿𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑟𝑖𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠. 𝐿𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑓𝑜𝑢 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖. 𝐶𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑎...