chapitre 4

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Salam alaykoum

Amir tenait ma main tout au long du trajet, en caressant légèrement cette dernière de son pouce.

Nous descendons puis nous nous dirigeons à l'intérieur.
Leur maison est renouvelée y'a pas longtemps on dirait. C'est une très jolie, elle grande et vaste à l'intérieur.

Amir nous conduit jusque dans sa chambre. Il me laisse arrêté à côté de la porte et part chercher les clés. Il ouvre puis m'incite à entrer.

Bismillah, ma nouvelle maison ( c'est celle de ma belle famille mais tant que c'est du côté de mon mari, ce n'est plus du côté de mes parents, donc un nouveau foyer).

Je m'assois sur le lit et matte l'intérieur de la chambre.

Amir : essaie de défaire les trucs de trop sur toi.

_Tu veux parler de mes vêtements ?

Lui : sauf si tu veux dormir comme ça, aller hôte moi ça !

Attend quoi ? Il veut que je me déshabille juste comme ça ? Et maintenant ? Très sympa l'accueil.

Lui : tu n'as pas rapporté des vêtements n'est ce pas ?

_Si le matin, mes cousines en ont rapporté quelques uns parce qu'elles savaient que j'en aurai plus tard.

Lui : d'accord je vais les chercher.

Ah ok il voulait que je me change, en tout cas j'avais eu peur si lui c'est comme ça : déshabille toi ! Mon œil.
Je m'assois sur le lit en attendant, il part et reviens plus tard avec mon sac. Les filles ont vraiment pensé à tout. Je suis contente qu'elles aient pu m'aider comme je m'y attendais.

_Où je peux me changer ?

Il se dirige vers la porte et fait descendre le rideau.

Lui : c'est bon, tu peux !

Je m'attendais à ce qu'il sorte pour que je puisse me changer mais je semble oublier un détail maintenant : c'est mon mari ! À partir de maintenant c'est le seul autorisé à me voir nue.
Je soupire et me lève pour retirer ma robe. Ce que cette fermeture éclair me fait, c'est refuser de s'ouvrir.

Putain ! J'essaie encore et encore mais nada.
Amir lui a déjà fini de hôter ses vêtements, et est à présent vêtu d'une serviette au niveau de la hanche.

J'hésite mais n'ayant pas le choix, je me lance.

_Aide moi s'il te plaît, la fermeture est coincée.

Il vient près de moi, je lui fais dos, il se met à l'ouvrir avec un peu de difficulté lui aussi.

Après qu'il ait débloqué celle ci, il la fait descendre jusqu'au niveau de ma hanche. J'essaie de me retourner mais il me laisse pas faire et s'apprête à à l'hôter complètement. Je me retrouve les épaules nues et le dos également.
De ses deux mains il caresse mes épaules et fait descendre ses mains jusqu'à mon dos. Cette sensation me fait frissonner.

Lui : *au niveau de mon cou, son souffle sur ma peau* ta peau est si douce ! *me tient les mains* tes mains si agréable ! *reniflant ma peau* et tu sens divinement bon ! *fait remonter ses mains jusqu'au niveau de mes coudes tout en me caressant sensuellement* j'adore !

De dos à moi, il est collé à mon corps. Ses paroles, ses gestes, ces sensations me font me sentir si bizarrement.
Ça aurait été Abdoul, j'aurais adoré mais aujourd'hui c'est pas lui et c'est comme ça maintenant, je dois m'habituer.
Je fais un effort pour ne pas le vexer, c'est mon mari après tout, notre mariage est certes arrangé mais c'est maintenant mon mari et je dois en prendre soin. Et les dits de papa vont peut-être se réaliser un jour qui sait <l'amour viendra après le mariage>

Une vie de rêve aux USA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant