17- La suprise

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BONNE LECTURE !

PDV : Fanord

Je regarde les lèvres de l'organisatrice bouger au ralenti, ses mains qui tiennent la feuille pour me montrer le déroulement de cette future journée, le plan de la nouvelle bâtisse en construction est fièrement posé sur la table.

Un mini château.

— J'ai pensé à faire construire une école dans cette partie, dit elle en me montrant la position exacte. Puisqu'on a déjà la cour de jeu, elle pourra aussi servir de cour de récréation... Qu'en pensez vous ?

Une main sur ma barbe fraîchement rasé, l'autre parcours l'emplacement. C'est vrai que l'espace est assez grande et que les enfants pourront y jouer et manger mais sera t'il assez grande après la construction de l'école ? Je n'aimerais pas que les enfants se sentent coincé ou piégé...

— L'espace est assez large pour ce genre de projet... Toutefois les enfants s'y sentiront ils à l'aise ?

L'organisatrice regarde le parchemin tracé avant d'esquisser un petit sourire à mon encontre.

— Il n'y aura pas de problème là dessus.

J'arque un sourcils loin d'être amuser. Je veux que mon âme-sœur se libère de ce poids qu'elle trimballe avec elle. D'ailleurs il me tarde de la revoir.

Allez retiens toi ! Il ne te reste que quelques heures à tenir.

— Je vous remet ma confiance par rapport à cela. Si vous avez besoin de plus de travailleur, faites le moi savoir
... Dès maintenant.

— Non, non il n'y a pas de problème là dessus.

— Bien. Désormais penchons-nous sur la question incontournable, débuté je.

Mon organisatrice personnel en tremble d'ores, je perçois son stress rien qu'en la regardant pliée le parchemin qui prenait toute la place sur mon bureau. Elle a bien raison de se faire un sang d'encre, je n'ai ni la patience ni le désir de retarder de ce projet.

Il ne me tient pas seulement à cœur.

— À ce sujet...

Ça ne prédit jamais rien de bon, quand quelqu'un commence à trembler en face de toi.

— Je pense que la construction prendra plus...

Je commence à m'impatienter et elle le voit, quand mes deux mains se posent à plat sur la table de mon bureau. De plus j'ai vécu assez pour savoir que quand une phrase détient le mot "plus", c'est que je ne vais pas être content.

— Plus d'une semaine.

À son annonce une injure que je noie dans ma gorge, laisse place à un cri de colère.

— UNE SEMAINE !

— Calmez-vous mon prince...

Je la coupe dans sa phrase.

— Que l'on soit claire mademoiselle Lambrose, je n'aime pas que l'on me prenne pour acquis. Je. ne. vous. appartiens. pas.

Les joues rouges, elle se met à bégayer :

— Je... Je... Ne, je ne voulais pas vous prendre pour acquis Prince Fanord. Je m'excuse si vous avez cru le contrai...

Rien qu'en voyant le mouvement de ma voyant ma main quand elle se lève, elle s'arrête. Je n'ai pas besoin d'entendre des bégaiement, je veux des accomplissement.

VAMPHEIRS TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant