Chapitre 17

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Je fixe Tony du regard qui est occupé dans la piscine avec une jolie fille

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Je fixe Tony du regard qui est occupé dans la piscine avec une jolie fille.

La soirée a complètement dégringolé, il doit bien y avoir une centaine de personnes, tous plus bourrés les uns que les autres.

Quant à moi j'ai du boire deux ou trois gorgée de la fameuse bouteille de champagne que j'ai laissé je ne sais où.

Je continue de fixer le mec assit sur le flamant rose et une fois qu'il y sa langue dans la bouche de la jeune femme, il est temps pour moi de partir.

Je me lève discrètement et je me faufile à travers les invités pour sortir le plus rapidement possible en évitant les gardes qui sont plus distrait par des danseuses qui sortent de je ne sais où.

Un espoir renaît en moi quand je suis sur la pelouse de l'entrée et je viens quitter la villa par le portillon comme si tout allez bien, mais une fois dans l'angle de la rue, je me mets à courir le plus vite possible.

Finalement après je ne sais combien de temps de course, j'arrive dans le centre ville et je cherche une gendarmerie ou un commissariat, mais il n'y a que des boîtes de nuit.

Je ne désespére pas et je cherche dans les rues en courant et je finis au loin par voir trois mecs en uniforme.

«Holà » dis-je alors qu'il se retourne vers moi et je constate que ce ne sont pas des policiers, mais des putain de strip-teaser.

«Holà senorita » dit l'un alors que je souffle.

Je les abandonne n'ayant pas le temps pour ces conneries et je reprend mon expédition alors que je suis en sueur.

Je demande au passant si ils savent ou ce trouve le commissariat, mais aucun ne sait.

Soit ils sont trop bourrés ou alors ce sont des vacanciers.

Et à cet instant comme par magie, je tombe sur des pompiers au loin qui s'occupe d'un homme inconscient, certainement un coma éthylique.

«Excuse-me ? ».

L'un des pompiers se retourne vers moi et me regarde de la tête au pied pour savoir si je vais bien.

«Sorry but we're going to go to the hospital urgently! If you have problem call the 112»

«No please ».

Je les regardes partir en urgence et je reste là à fixer le camion partir de plus en plus loin.

C'est pas vrai !

Je tourne sur moi-même en regardant les alentours pour espérer trouver une solution mais rien.

Même le destin se fout de ma gueule, parce qu'une voiture de police en urgence passe à toute vitesse sur la route.

Totalement désemparé, je me dirige vers le port de plaisance et une fois que je me retrouve devant, je fixe les bateaux.

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