CHAPITRE 1

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Ça fait à peine une heure que j'ai quitté ma maison et l'odeur vanille de ma mère qui y circule me manque déjà. L'idée de servir des dieux qui longtemps ont été des idoles est très méprisant pour certains et impressionant pour d'autres, ce qui n'est pas mon cas. Je m'en fiche un peu de qui ou qui je vais servir tant que je peux fouler le sol où mon père a appris les bases fondamentales du combat et où il a perdu la vie avec fierté, et même si les dieux m'ont arraché l'opportunité de connaitre mon père davantage, je ne les en veux pas, parce qu'il l'a fait sans regret et qu'ils lui ont offert une tombe et de toute évidence, ma haine ne leur feront ni chaud ni froid. Tout autant plus que de nos jours, les femmes sont devenus de vulgaires objets qui servent de lèche culs et de vide couilles, et les hommes sont devenus des imbéciles à l'égo surdimentionné qui depuis la nuit des temps n'a de cesse d'augmenter. Bref, les hommes sont tous les mêmes quoi, sauf mon père bien évidement. C'était un homme brave et doté d'un coeur en or.

Je soupire en mettant ma tête sur la pare brise juste à côté de moi en essayant tant bien que mal de m'adapter à ma futur fonction de serveuse qui porte des vêtements de poupée. Je déteste vraiment tout ce qui se raporte aux vêtements trop féminines à vrai dire mais bien évidement, le choix n'est jamais le notre puisqu'on ne l'a pas, on l'a jamais eu d'ailleurs.

Alors que le bus traverse une forêt luxuriante, avec des arbres aussi haut que les buildings de Gods city, les filles dans le même bus que moi s'exclament gaiement comme si elles voyaient Aphrodite devant eux. Je me redresse sur mon siège et remaque que la forêt luxuriante a laissé place à une ville ou dois-je plustôt dire, à des pavés et mûrs aussi solide que les armes qu'Héphaïstos lui même forge. On y est. La célèbre université inter-éspèce connu comme la plus prestigieuse du monde et acceuille plus de trois milles étudiants par an, Olympia. Même si je n'y ai jamais mis pieds, à compté d'aujourd'hui, cette université m'a paru comment dire? Incroyable même si normalement, je ne prête pas plus de cinq minutes attention aux choses qui suscitent un intérêt primordiales chez les autres. Sauf que cette chose-ci, c'est l'université où mon père a rencotré ma mère et où il est devenu un incroyable guérrier plus époustouflant qu'Ulisse lui-même.

Mon souffle se coupe quand j'apperçois le tout premier batiment qui est, à mon avis, est réservé à la ligné de Posséidon. Ce dieu-ci se démarque des autres puisque son domaine à lui est comme le reflet de son royaume marin. Coloré en un bleu fluorescent de même que la couleur de l'océan et orné de plusieurs objets qui se cache au plus profond des mers. Que dis-je, époustouflant. Nom d'Aphrodite! C'est tout simplement: waouh! Magnifique! Les ornements doivent être d'une fortune. Mais venant des dieux, ça ne m'étonne pas du tout, ils sont riches aux as, pleines de tunnes.

Je me demande comment est celui d'Hadès. Sans doute plus sombre d'après les rumeurs qui circulent.

── J'ai trop hâte de rencontrer le déscendant d'Hadès! S'exclame une fille derrière moi.

── Moi aussi! Dit l'autre à côté d'elle, d'une voix excité. Il parait que le chef de la ligné d'Hadès est totalement beau!

L'autre fille soupire, j'imagine qu'elle lève les yeux au ciel. C'est une evidence. Aucun des déscendants des dieux n'est laid ou moche même si certains ne font pas partie de la branche principale, il ou elle est toujours beau et hérite des gênes divins et ont aussi une soupçon de magie de leur ancêtre.

── Bah oui idiote! S'exclama la fille derrière moi d'une voix aiguë me faisant grimacer. Je l'ai déjà vu à la télé! Il est l'incarnation de la beauté masculine même! Ténébreux, beau, sexy, musclé, riche et divin!

Bah oui idiote, c'est un déscendant d'Hadès tout de même. Il est tout à fait normal qu'il soit ténébreux. C'est le prochain dirrigeur des enfers.

Olympius Gods ( Tome 1: Hadès )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant