CHAPITRE 25

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‹‹ 𝑱𝒆 𝒍'𝒂𝒊𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒎𝒐𝒖𝒓 𝒂̀ 𝒆𝒏 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒅𝒓𝒆 𝒓𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒃𝒐𝒏𝒉𝒆𝒖𝒓, 𝒍𝒆 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒇𝒊𝒏. ››

𝐽𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐷𝑒́𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠
𝑃𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑝ℎ𝑜𝑛𝑒.

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Je sirote mon café sans sucre en jettant un regard à mes deux amis qui sont perdus dans les fins fond de leurs pensés aussi perdu que deux lapin face à une horde de centaure. J'imagine que ça doit être dur de croire qu'une humaine qui n'a rien d'interressante comme moi - en ôtant le fait que je sois la fille de leur ancien général - soit jugé tant soit peu de ‘‘dangereuse’’ aux yeux des dieux pour être surveillé par le Dieu de la mort lui-même.

Je dois ça à cette très chère Lilith qui boude depuis un certaint temps.

D'ailleurs, Est-ce que les démons boudent longtemps? Parce que malgré le fait qu'elle peut être irritante, elle est ma seule compagnie dans le domaine.

── Si je résume bien, t'as une démone dans ta tête qui a tué la célèbre déesse du printemps et a un aura démoniaque puissante. L'Assemblée divin t'a trouvé - enfin, l'a trouvé dangereuse alors tu es sous la garde de Lord Hadès?

J'acquiesce.

── Entre autre, oui, affirmais-je.

Un silence pesant s'installe entre nous alors qu'une des serveuse du café où nous sommes vienne servir le gauffre et le thé d'Asuna et le Milkshake de Kieran. Je savais pertinemment que le campus était grand et avait la taille, à proximatif d'une grande ville mais voir ça de ses propres yeux est tout autant époustouflant. J'ai l'impression de me trouver à Gods City sans les énormes building. C'est vraiment navrant que j'ai manqué autant de choses en me concentrant seulement sur mes objectifs. Tout autant plus que c'est ma meilleure amie qui a trouvé ce petit coin paradis.

Je devrais passer plus de temps avec elle à l'avenir.

Enfin, si j'en ai, du temps.

On avait besoin de calme et d'intimité pour pouvoir discuter de mon sujet. Alors, ils se sont dits que cette endroit est parfait, ce qui est totalement vraie. Il y a beaucoup de clients dans la boutique mais c'est loin de gâcher l'atmosphère calme et chaud qu'elle dégage. Mon regard passe en vue sur tous les clients du coffee et remarque que les espèces se mélangent en se parlant avec moins de retenues et de bonne humeur. J'ai beau penser que ma vie n'a rien de simple mais le fait d'être ici avec mes deux meilleurs amis me fait penser le contraire.

Alors que j'ai une autre apparence et que je me suis enfuie du domaine d'Hadès sans qu'il ne le sache.

Ce n'est pas un crime à ce que je sache.

Sauf quand je suis censé être sous sa surveillance. Je soupire en me concentrant sur la conversation de mes deux amis qui me regardent avec de la détermination et de la sériosité.

Olympius Gods ( Tome 1: Hadès )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant