La maîtresse de mon mari

Tu es enceinte ?

Je me suis réveillé depuis un certain temps maintenant mais je suis comme scotché sur le lit à la regarder dormir . Elle est d'une beauté exceptionnelle j'ai juste envie de croquer son petit visage et ses lèvres charnues qui m'appelaient à la tentation n'arrangeait rien.

Je voulu me pencher pour les embrasser mais je fus prit d'un énorme mal de tête. Je descends aussi prudent que je pus et attrape ma tête et tombe par terre je me tordais de douleur.

Et oui depuis un certain temps les maux du matin se sont transformés en crises ,Je dois boire mes médicaments. Je me lève tant bien que mal m'habille et les prends.

Je m'assois sur le lit et là contemplais à nouveau je ne m'en passerai jamais. Soudain une pensée trottait mon esprit serais je capable de faire endurer ce calvaire que mes proches ressentent chaque jour ? Aurait-elle la force de me soutenir ? Je ne veux pas lui infliger ma mort non je peux pas lui faire d'avantage du mal .

Elle se réveille petit à petit et ouvres définitivement les yeux .

- Tu fais quoi?...dit-elle d'une petite voix.

Je capture ses lèvres d'un baiser appuyé qui se fus long.

Elle sourit puis s'assoit sur le lit le couverte du drap. Je la regarde droit dans les yeux.

- Mihma...je...ce qui s'est passé...je.

- Qu'est-ce que tu veux me dire?...

- C'était une erreur...

Elle ouvre grand les yeux sans rien dire. Je me rapproche et pose ma main sur la tienne.

- Je suis désolé mais nous ne sommes plus mariés ce qu'on à fait c'est de la fornication certes tu es en période de viduité mais...

Elle ne me laisse même pas terminer ma phrase qu'elle se lève d'un bond .

- Attends Mihma ...dis-je en me levant à mon tour.

Je voulus l'attraper mais elle ramasse vite ses affaires s'habille d'une telle rapidité que j'avais rien vu venir. Elle tire sa valise que j'avais faite à mon réveil et sors comme une éclaire les yeux en larmes.

J'avais le cœur en miettes à ce moment mais c'était mieux ainsi si elle reste avec moi ma mort l'affectera beaucoup plus que cette rupture.

Hier nuit à 00h
Coumba Dieng...

- EMBECILE!...j'espère que la gifle que je lui ai donner la faisait réaliser sa bêtise. QU'EST-CE QUI TA PRIS BON SANG ? OUMY TU VEUX M'EMMENER DES PROBLÈME ?FAIRE UNE FÊTE ICI ? DÉVERGONDÉE REGARDE CE QUE TU PORTES LI SERRÉ SA TÂTE BOU NDAW BI KHANNA NGUA ROUSS PHOTOS SERIGNE TOUBA BI SA PAPA DEF SI KHOL BI ( ÇA SERRE TES FESSES LÀ T'AURAIS AU MOIN PUE AVOIR HONTE DE LA PHOTO DE SERIGNE TOUBA( un grand Saint et guide religieux )Que TON PÈRE CHARIT TANT) .

- *pleure* Maman s'il te plaît ne dit rien à papa je t'en prie.

- HEY ne pleure pas devant moi hein t'es larmes là garde ça pour le retour de ton père il ne te frapperas pas c'est sûr mais la honte te feras pleurer QUITTES ICI...

Dés qu'elle quitte le salon j'attrape mon téléphone et compose le numéro de sa Soeur . Génial son téléphone est éteint donc elle a vraiment laisser sa Soeur toute seule à la maison.

Elle ne peut pas être toujours chez Kader à cette heure j'en suis sûr qu'elle est allez se dévergonder quelque part dehors cette ingrate.

Aujourd'hui 7h 30

C'était la goutte de trop Kader venait de détruire les restes de mon cœur. Qu'elle humiliation ! Et pour ne rien arranger j'avais croisé Allou dans les escaliers. Il me saluait mais j'avais trop honte pour lui répondre il devait me prendre pour une facile.