recupère ça

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aidé malcolm me permet de me rapproché du chirurgien plus facilement. donc l'aider pour une enquête c'etait simple. si je vient le voir souvent peut être que cette fois il n'evitera pas le sujet whitly. 

mais bon aujourd'hui j'ai plus important a faire. j'ai pas vu mes frères et sœurs depuis un moment parce que leur mère les empêche de sortir. pour préparé leur examen de fin d'année. ce que je comprend mais je veut pouvoir les voir assez souvent donc il faut que j'ai une conversation d'adulte avec l'autre malade qui me sert de mère. 

je monta donc sur ma moto. merci dean pour avoir fait tous le sale boulot et avoir decidé de m'expliqué comment on la monte et la demonte en detail. il adore ma moto. 

j'arriva dans le quartier et me gara plus loin pour ne pas qu'elle ai le temps de comprendre que je venait la voir et que je puisse au moins la surprendre. 

je descendit alors avec mon sac et arriva devant leur porte. me cachant du judas lorsque je frappa. 

la porte s'ouvrit alors sur le mari de ma mère .

- salut. elle est là? 

- tu n'as rien a faire ici. je croyez que j'etait claire sur ça. 

je sortit de mon sac, en soufflant ce que je venait lui rapporté au passage et en le plaqua contre sa poitrine. 

- je te rend tes affaires. j'ai de quoi m'acheté des draps maintenant. est-ce que ma génitrice est dans le coin par hasard? 

il ne semblait pas préparé a ce que je puisse la voir. et encore moins que j'entre dans la maison. 

- je vais appeler la police si tu ne part pas d'ici. 

- bonne idée. tu veut que je les appelle moi même? pour leur dire comment j'ai été viré illegalement d'un logement familial avant l'age legal? ou alors je peut leur dire que tu a visiblement decidé d'être une pourriture et que ton seule but est de me pourrir la vie. je me demande qui il vont croire. la pauvre fille, ami avec un consultant policier qui n'a pas de quoi vivre et qu'on prive de voir sa famille ou alors le beau père un peu trop saoulant? 

il c'est tut et je l'ai poussé pour passé . je suis arrivé dans le salon pour voir cette femme qui me sert de genitrice assise et baissant la tête

- eh. tu compte même nié mon existance aujourd'hui? bravo. très mature.

- vas t'en. dit elle. 

- non je vais pas partir. je me fiche de ce que vous faisiez tous les deux avant que j'arrive, mais on doit parler.

 je m'installa en face d'elle. je doit avouer quelque chose clocher mais je ne savait pas quoi. 

- alors voila. je me fiche si tu pense que je ne suis plus ta fille. c'est un sujet que je n'aborderait plus. non ça c'est sur. mais il est hors de question que tu m'interdise de voir gabriel et lucy. ou sont ils d'ailleur? Gab! Luce! 

aucune reponse. 

- elles sont en cours. vas-t-en maintenant. 

son ton etait froids. comme la dernière fois que je lui ai parler.  mais je sentait que quelque chose n'allait vraiment pas. elle m'ignore avec plus de fermeté d'habitude. elle aurait deja fuis la pièce. 

- non je vais pas partir. et puis tu m'as appris a regardé quelqu'un dans les yeux alors fait en autant.

elle releva les yeux mais pas vers moi, vers la porte. et je compris qu'il etait entré dans la piece. et malheureusement elle releva la tête juste assez pour que je vois qu'elle avait un bleu a la machoire près du menton. 

je me releva. plutot sur de moi. j'ai compris la situation. 

- tu sais. ma mère est pas une bonne personne. ça je l'ai accepté depuis longtemps. mais un homme qui frappe sa femme. j'aime encore moins. 

- tu insinue quoi exactement? 

- je n'insinue rien espèce d'ecervelé difforme. 

il fit un pas vers moi alors que je me tourné vers lui. 

- quoi? tu va pas nier non plus? tu es lache a quel point? t'as attendu que je sois plus du tableau pour devenir un abrutis? je suis partit cinq ans et six mois. t'avait tous le temps pour ça. 

il laissa echappé un sourir. et je ne bougea pas

- ce n'est pas parce que tu n'est plus là. c'est parce que ta mère a montré qu'elle etait desobeissante ses dernier temps.

- quoi? tu justifie ça? 

- je n'ai pas besoin de justifier quoi que se soit, elle ne commet que des erreurs. toi pour commencer, la nourriture. ta soeur. 

- ma quoi? 

- tu croyais qu'on ne le saurait pas? gabrielle qui se prend pour un garçon? j'aurais put pardonné a ta mère pour toi. sincèrement. vous n'etiez pas particulièrement proche. lorsqu'on est venu habité ici tu eduqué tes soeur et ton anomalie faisait que ta mère se debarrassé elle même de toi. mais en ce qui concerne ta soeur. et attention je ne parle pas de l'idiotie de la plus jeune bien sur. je parle de ce en quoi ta mère a echoué. une abomination de la nature. 

je crois qu'il n'avait pas finit de parler quand mon poing se planta dans son estomac et le traversa. j'etait resté calme jusque la mais si il ose insulté mon frère et ma soeur ils va voir qui je suis. 

- sam. non. 

- oh. tu te rapelle de mon prenom. dit-je a ma mère qui c'etait levé alors que je pouvait voir la peur sur le visage de ce monstre sur pattes. 

- ecoute moi bien. je ne suis pas du genre a accordé la moindre chance. mais là on va faire une exception parce figure toi que me faire arrêté pour meurtre c'est contre mes plans. mais crois moi, a la minute ou j'apprend que tu as levé la mains sur l'un d'entre eux. au moment ou tu t'y attendra le moins, je peut te jurerais que ma mains ira bien plus haut et je n'hesiterait pas a ne plus être transparente a ce moment precis. est-ce que je me suis bien fait comprendre? 

il ne repondit rien. 

- bien. alors pour mes condition bande de degénéré. je veut voir mes frères et soeurs quand iels en a envie; pas parce que vous l'avez decidé d'accord? oh et puis rien a foutre que vous le soyez vraiment. ce n'etait pas une question. 

je retira ma mains de son estomac et souffla , repartant a mon appartement. le truc c'est que si elle ne dit rien sur ce qu'il lui fait je ne peut pas l'aidé. personne ne peut être sauvé tant qu'il n'a pas decidé qu'il le pourrait. 

Shadow's hood: survieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant