pas comme toi

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j'ai eut mal. vraiment mal. je suis tombé, le dos en premier contre une pierre plate que j'identifia comme du beton renforcé. et j'ai cru que le reste aller me tué cette fois. mais je ne me suis pris que quelque debris. 

- maman! hurlait-je. 

j'avait peur. parce que j'ai entendu des excuses de sa part et je crois qu'elle m'a presenté des adieux. je suis venu ici pour la sauvé. et j'ai echoué. rien qu'a cette pensé.. je me met a hurlé. je sort toute la rage et ma peine en même temps.  j'ai hurlé a fond. j'ai cru que ça me calmerait mais au contraire. a la place toute la fatigue et la douleur c'etait intensifié et a present je pleurait. je pleure parce que je deteste ne rien controlé. et que là. je ne controle vraiment rien. je ne controle pas mes emotions  je ne controle pas mon don. je ne controle pas ce que j'imagine. c'est a dire ma mère manquant d'oxygène evanouis. ou pire, avec une blessure enorme. j'en ai aucune idée. en tous cas j'ai peur. et je ne controle pas non plus ce foutut immeuble. par contre je sais une chose. si je tombe encore de cinq etage. j'ai une chance de m'en sortir. mais je ne compte pas me laissé mourir; je me relève alors, et commence a deblayé a une main les petit grava. il est hors de question que je perde maintenant. 

je souffre dès que je me sert de ma main droite donc.. donc j'ai decidé de faire la seule chose que je pouvait faire. je ne savais pas si j'y arriverait mais je ne pouvais pas partir sans laissé un dernier message. 

mon téléphone ne tiendrais pas longtemps je le savait alors j'avait interet a faire vite. 

je tombe sur la messagerie cette fois. je dois moin bien capté ici je suppose. tant pis.. je laisse mon message

- je suis désolé. 

je me rend alors compte que ma voix est brisé par les pleures et la fatigue. mais je m'en fiche. je continue mon message. quand j'ai finit j'eteins mon telephone parce qu'il me lance une decharge je continue je doit continué et même si j'en perd mon bras.  je ne peut pas arrêté. et puis a un moment j'arrive a atteindre une cage d'escalier. elle est moins en ruine que le reste. j'en profite pour m'y refugier. je descend en me tenant a la rambarde, le batiment est penché. ce n'est pas pratique pour descendre.. et puis arrivé devant la porte du première etage je me stop et m'assois. essoufflé, epuisé. blessé. le chemin devant moi est encombré. logique. c'est la ou les debris on atterie. j'ai l'impression que le res de chaussé est complètement remplis de gravas. j'en peut plus. je ne peut plus avancer. mon dernière espoir c'etait ça. 

" je croyais que tu n'etait pas une lache" 

je relève la tête. persuadé d'avoir entendut une voix. et effectivement. devant les grava se tien martin Whitly. 

- même quand je meurt tu peut pas me foutre la paix? 

il afficha un léger sourire

" aller samael. dit moi la vérité. ça fait quoi?" 

- de quoi? 

"d'echoué si prêt du but voyon! toute ta vie n'as été que galère. tu a perdu ta famille, ta maison et même l'homme que tu aimait. et quand tous s'arrangé enfin, vous alliez enfin entré a l'université. un immeuble te tombe au visage alors dit moi? ça fait quoi?" 

je rigole. pas parce que ç'a m'amuse de devenir folle. non. pire que ça. je ris nerveusement. 

- c'est la même sensation que d'avoir été denoncé a la police par un gamin qui t'aimais plus que tu ne pourras jamais nous aimé. 

" tu pense que je ne vous aime pas? ton frère, ta soeur et toi?"

- je pense que tu est toujours fasciné par ton fils. ça en deviens malsain. mais tu ne m'a jamais aimé. tu n'as jamais été un père a mes yeux. et tu ne le sera jamais. 

il souria , pas etonnant pour un psychopath qui plus est une simple halucination causé par la poussière dans l'aire, ma coté cassé par la chute et mon bras en miette. 

" je me demande comment le vrai moi reagira quand il apprendra la mort de sa seconde femme." ajoutat il en regardant vers le ciel. " mais quel réaction il aurat en apprenant que tu es morte aussi"

- qu'est-ce que ça peut faire? j'ai pas d'interêt a me soucier de sa vie. 

" tu crois que personne ne se soucit de toi? "

je ne repondit pas. 

" ecoute moi bien. il y a 8,336 millions d'habitant a new york. et chacun d'entre eux attend que tu sorte de cette foutu cage d'escalier"

y'a pas a exagéré autant. 

"tous le monde attend shadow's hood. tous le monde veut voir antimatter. et je cconnais 14 personne qui attendent sam williamson. alors ne te laisse pas abbattre maintenant. sort d'ici" 

je souffle et ferme les yeux un instant pour reprendre un peu d'energie avant de me relevé; je retire les debris. ettouffant ma douleur en portant des enormes debris

Shadow's hood: survieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant