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Je ne sais dire combien de temps je suis restée dans ses bras mais je sais que j'ai été bercée pendant longtemps parce que quand mon réveil à sonner j'étais heureuse d'avoir fait une nuit sans cauchemar, une nuit calme, malgré que j'étais dans les bras de mon professeur.

-        April ? Je démarre dans vingt minutes t'es prête ?

Malgré ma crise d'hier je suis toujours dans cette salle de bain à la recherche d'une balance, je sais pas si il en as une mais je sais que si il en aurait une il l'aurait jeter face à ma crise.

-        J'arrive.

Je sors de cette pièce et je prends mon sac posée sur le lit.

Quand j'arrive vers lui je le vois me regarder avec des yeux ronds.

Je fronce les sourcils face à sa constatation non-verbal.

-        Quoi ? je suis mal habillée ?

Il me regarde en souriant et fait mine en haussant les épaules.

-        Non, juste t'es habillée d'une autre façon que d'habitude et cela m'a fait bizarre et puis, tu as fait une tresse et tu les attaches jamais donc cela fait bizarre.

Je ris d'un rire gênée.

-        Ne t'habitue pas trop vite, j'ai juste voulue les attacher pour une fois.

Menteuse avoue tu les attaches car tu as peur qu'ils jettent ta tête dans la cuvette des W.C.

Monsieur Arnold me regarde d'un air intriguée.

-        Bon, tu viens ? faut que je te dépose au bas de la rue.

Je monte dans sa voiture et j'entends le peu du bourdonnement de la radio résonner dans la voiture.

-        On est arrivé.

J'ouvre la portière de la voiture quand il me retiens par le bras.

-        Avant de partir April, je t'enverrai un message pour te dire quand j'ai fini d'accord ?

J'hoche la tête et je descends de la voiture, je le vois démarrer et je descends le reste de la rue à pied, mais ma seule envie est de rentrer.

Je sors mon téléphone de ma poche et je découvre que Alenzio à essayer de me sonner 6 fois aujourd'hui, mais je suis dans l'incapacité de lui répondre surtout après ce qu'il m'a fait.

Alors, je téléphone à l'endroit que je rêve d'aller en ce moment même.

-        Bonjour l'hôpital psy de la ville à votre écoute.

-        Bonjour, je suis April Russo, mes parents sont ici puis-je passer ce soir les voirs ? la dernière fois cela ne sait pas très bien passée.

-        Désolée mademoiselle, je vérifie attendez.

Pendant qu'elle vérifie mon cœur bats hyper vite, j'ai peur de sa réponse et je me vois approcher de plus en plus de l'école.

-        Mademoiselle Russo veuillez nous excusez, le médecin refuse toute visite pour vos parents, malheureusement ceux-ci ont fait une rechute.

-        C'est-à-dire ?

-        Vos parents ont tentées de se suicider, vos parents sont des cas trop gros pour notre hôpital, nous allons devoir les envoyés dans un autre secteur donc dans un autre hôpital.

-        Je pourrais les voir ?

-        Malheureusement ce secteur est bien plus strict que le nôtre, aucune visite est acceptée, même si le patient à l'air d'aller mieux.

AloneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant