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Point de vu de April,

1 an plus tard,

La ruelle est sombre, et aucune personne marche dans cette rue nauséabonde, mais je ne suis pas là pour du tourisme donc l'odeur on s'en passera.

J'attrape l'homme que j'étais en train de suivre depuis 3 rues et je le retourne en lui foutant un coup de pied dans les couilles.

-        S..Summer ?

-        Non, je suis pire, mais comme tu connais Summer tu vas me dire ou elle se trouve non ?

L'homme ris et je lui tord le bras.

Je l'entend crier mais cela ne me fait rien.

-        Tu vas me dire ou elle se trouve ou je dois te tuer ?

-        Personne ne le sais.

-        Tu es l'ancien bras droit d'Alenzio, bien sûr que tu le sais, Edwardo, j'espère de tout cœur que personne ne t'attend chez toi, aucun enfant sinon ce serait dommage tu trouves pas ?

-        J'ai.. j'ai deux filles.

J'éclate de rire.

-        Donc toi tu travailles la journée comme livreur mais le soir tu choppes des filles dans ta camionnette et tu les violes ? que dirait tes filles.. ou non, mieux, imagine ont fait sa à tes enfants.

-        J'ai compris mon erreur, mais je peux te jurer que je n'ai jamais touchée Summer, il ne le voulais pas.

-        Je le sais Edwardo, mais je m'en fou, j'espère que tu te souviendras bien de tes filles de la haut.

-        Me..me tue pas.

-        Tu ne seras pas tuer.

Je le vois soupirer.

-        Les violeurs comme toi mon cher Edwardo, ne méritent pas une mort lente, ne t'inquiète pas, sois juste triste la mort est mieux face à ce que eux vont te faire.

Je siffle et j'entends Edwardo hurler.

Je vois mes potes l'attraper et je me casse, je veux pas assister à cela, je sais que les violeurs souffrent, tout ceux que je trouve finisse dans leur main, les futurs violeurs connaissent mon nom et j'en suis fière.

On a une règle avec ma bande, je leur dit pas ce que je cherche, et eux ne me dissent pas de ce qu'ils font à ses personnes.

Et oui les personnes, car j'ai rencontrée des filles en un an, certes moins mais quelques-unes.

J'allume mon téléphone et je regarde la photo que j'ai faites de la maison d'Elio 1 an auparavant.

Je reviendrais avec Elio.

J'ouvre les messages d'Elio et je les lis, je sais qu'il m'explique ses avancées de son coté, moi malheureusement je ne suis pas capable de lui dire que j'ai pas encore trouvée.

Les seuls messages que je ne lis pas sont ceux de mon professeur ou devrais-je dire ; Aaron.

Malheureusement pour son secret, en un an j'ai tout découvert, je l'ai détestée, j'ai écrit des lettres et des lettres pour expliquer ma haine envers lui de rien m'avoir dit et puis j'ai compris le pourquoi en fouillant.

Et je m'en suis voulue, de ne rien avoir vu, de pas l'avoir reconnu.

Malheureusement pour lui, il est ami avec un des violeurs et je devrais passer sur lui pour avoir la tête de son garde du corps et d'Alenzio dans mes mains.

-        AP TELEPHONE.

Je soupire, je n'ai eu que des appels d'Alenzio depuis qu'il connait le numéro, mais heureusement grâce à Fabrice, on a bloquer les numéros qui venaient de là où il sonnais, sans trouver la provenance malheureusement.

Je m'approche de Capucine, de Léa et Emma et je leur sourie.

-        Si c'est lui dit lui que je le baise. Me siffle Capucine.

-        Dit lui que je le hait. Me lâche Emma.

Je regarde le numéro et je lâche un pouce aux filles pour comprendre que ce n'est pas lui.

-        Allo ?

-        April, enfin.

La voix de mon frère me gèle sur place.

-        April, t'es toujours là ?

-        Je te donne 5 minutes.

-        Je sais où elle est.

Je sens tout mon corps me brûler intérieurement.

-        Ou ? dit moi ou que je démarre.

-        April, j'y vais avec ton prof, on ne sait pas si on s'en sortira donc.

-        je viens aussi.

-        April, je voulais juste te dire à bientôt, me rend pas la tâche difficile, ne rentre pas à la maison, je sais pas ce qu'il se passera si.. fin bref, si il nous arrive quelques choses j'essayerais qu'elle reviens vers toi.

Je sens que je vais pleurer mais je garde mes larmes aux fond de moi, je ne peux pas pleurée, pas après tous ses efforts pour rester forte.

-        Et moi, j'ai besoin de mon frère ET de ma sœur.

-        On a pas ce qu'on veut dans la vie April.

Je soupire.

-        Passe-moi ton coéquipier.

J'entends qu'il lui passe le téléphone et je sors ma haine.

-        On a plein de chose à ce dire Aaron, et fait pas semblant, je sais tout, j'ai les explications, mais je veux les entendre de ta bouche.

-        Promis April, je te dirais tout.

-        Aaron ?

-        Si, mio angelo ?

-        La morte non fermerà mai l'amore che avevo per te e che ho ancora, non ti ho dimenticato ( la mort n'arrêtera jamais l'amour que je portais et que je te porte encore, je ne t'ai pas oublié).

-        Je te reviendrais toujours April.

-        Je l'espère pour toi.

L'appel ce coupe.

-        On retourne chez moi, faites vos bagages, mon plan est opérationnel.

AloneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant