MohamedVoilà, on devait juste passer quelques jours ensemble, ces quelques jours de bonheur qui n'ont même pas eut le temps de commencer.
Notre relation était terminé, même si on ne se l'était pas dit on le savait que c'était inutile de continuer, je ne sais même pendant combien de temps elle restera chez ce mec.
Qui était-il ?
Le mec de l'hôpital, ok mais..
On aurait dit qu'elle l'aimait comme son père, même plus que son propre père.
Quand je repense à elle, je me dis que je ne sais pas comment je pourrais aimer autrement, j'arrive pas à m'imaginer entrain d'embrasser une autre bouche, toucher une autre peau.
C'est la première fois que je ressens ce sentiment inexplicable mais tout autant incroyable, je suis un amoureux de l'amour pourtant, au premier abord on pense toujours que je suis méchant ou encore que je fais peur ,enfin ma manière d'être.
Je préfère qu'ils pensent ça de moi, qu'ils sachent qui je suis vraiment.
J'arrive dans ce quartier, je me prépare à annoncer ça à Yamine et Nouhayla.
Je descends et me dirige vers le hall, il est rempli et bruyant, sauf quand ils me voient entrer.
Medhi : Salam, Moha ça dit quoi ?
Les autres eux , le regardaient en lui lançant des regards menaçant,comme s'ils savaient que c'était pas le moment de me parler.
Je ne réponds pas et trace ma route, mais j'entends des chuchotements.
Rayan : Astaghfirullah le regard de meurtrier qu'il a.
Mehdi : J'ai cru il allait me frapper w'Allah..
Ridane : Il s'est retenu hein crois pas.
Bref flemme de les écouter je monte et passe devant leurs appart avec son père, j'entre me dirige directement vers sa chambre.
Son odeur, la vanille sucrée qui s'étalait dans toutes les pièces.
Je me couche sur son lit.
Mohamed : Elle peut pas s'acheter un lit plus grand elle ?
Mes jambes dépassaient, elle a un aussi petit corps que ça ?
Je prends un de ses doudous , l'attrape pour le mettre sur mon torse et m'endormir profondément.
Haïdah : Je suis revenue Mohamed, réveille toi !
Moi : Güzelim, c'est toi ?
Je regarde au coin de la porte et je l'a voit s'éloigner de plus en plus alors je décide de la suivre.
Moi : Attends moi !
Je cours.
Moi : Haï-
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que j'entends un énorme bruit puis voit son corps s'effondrer et son sang qui coulait tout autour.
? : Oh reveille toi !
Moi : Mmh..
Je rêve encore là ?
Je reçois une énorme gifle, j'ouvre les yeux , me lève immédiatement et attrape la personne par le cou en l'enfonçant dans le mur.
Nouhayla : C'est moi, momo..
J'entends la voix de ma sœur et la lâche, elle s'effondre au sol je vois qu'elle a des difficultés à respirer mais je ne fais rien.
Tu changeras quand ?
Nouhayla : T'es toujours pareil à ce que je vois..
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Haïdah- Je t'aime tellement que je t'haine
Lãng mạnHaïdah une jeune femme essayant de ne plus redevenir l'ancienne elle, qui aussi depuis son plus jeune âge on la forme pour ne pas ressentir toute forme de sentiments, jusqu'à ce qu'un homme vienne lui faire changer d'avis mais ça ne va pas être s...