Je me réveille, je me sentais sale et encore à l'heure d'aujourd'hui. Je vais directement prendre une douche chaude même s'il fait toujours nuit, j'en ai besoin là maintenant.Maintenant sous la douche je me brulait me frottais jusqu'en m'arracher la peau je ne voulais plus penser à tout ça , tout les deux m'ont énormément fait du mal alors que je les aimais d'un amour inexplicable. Je voulais juste une enfance heureuse et normal mais je crois que c'était évidemment trop demandé
Je sors de la douche toujours troublé et en pleure je me dirige vers le salon en voyant de la lumière.
J'essuie vite fait mes larmes.
Moi : Papa c'est toi ?
Papa : Oui viens y a des invités avec moi.
Il est tard quand même, qui ça peut-être.
Moi : Pa-
En arrivant au salon, en voyant que c'était Pascal et son fils mon cœur se brisa une nouvelle fois, qu'est-ce que je leur ai fait ? Que veut ils me faire encore subir ?
Pascal : Patrick, tu te souviens de nous Haïdah ?
Et en plus il avait menti sur son prénom, je ne savais pas comment réagir.
Moi : Excusez moi je vais boire de l'eau je reviens.
Je continue mon chemin vers la cuisine, boire un peu d'eau pour essayer de comprendre ce qu'il se passait j'ai vraiment l'impression d'être dans un cauchemar, ça ne peut pas être vrai..
J'entends des pas se rapprocher de la cuisine, ça doit être papa.
Moi : Papa ?
Thibaud : Eh non c'est moi ma belle.
Moi : Sort d'ici s'il te plaît.
Thibaud : Et si je veux pas ?
Il sourit.
Moi : T'as tué ma mère, je crois que tu t'en rends pas assez compte..
Thibaud : Pauvre bichette, j'ai juste de la peine pour ma voiture sans te mentir, elle à quand même écraser une sale pute.
Je m'approche de lui et le gifle de toutes mes forces.
Moi : Comment avec ta sale bouche tu oses encore parler d'elle, prends ton père et rentrez chez vous je veux plus vous voir.
Thibaud : Tu viens de me giflé là ?
Il rigole et je recule, il est encore plus pire que son père.
Il était beaucoup plus fort que moi, il s'entraînait tout les jours à l'époque.
Thibaud : Maintenant tu recules ?
Il regarde autour de la cuisine comme s'il cherchait quelque chose en particulier, il tirait les tiroirs tour à tour.
Sans hésiter j'essaie de sortir de cette cuisin, en marchant doucement mais impossible vu qu'il me tire par les cheveux.
Moi : Lâche moi aïe.
Thibaud : Ce n'est que le début.
Il me pousse violemment contre le mur, je vois qu'il a un couteau dans sa main droite et je panique parce que je sais qu'il en est capable.
Thibaud : Approche.
Papa : Haïdah ça va ?
Il était toujours au salon avec Pascal, j'avais peur pour papa.
Moi : Oui tout va bien.
Thibbaud : Approche, c'est la dernière fois que je me répète Haïdah .
Par peur je m'approche de lui, il pose le couteau sur la table ce qui me rassure un peu plus.
Thibaud : Tu vois ? Quand tu veux tu peux.
Je ne dis rien.
Thibaud : Heureux de t'avoir connu ma petite sœur préférée.
Sans comprendre pourquoi il a dit ça et sans l'avoir vu venir, Thibaud me frappe de partout il se déchaînait sur moi sans avoir de peine, j'entends des pas venir vers la cuisine mais avant je voyais Thibaud reprendre le couteau mais juste avant il me crache dessus et m'enfonce le couteau dans le ventre ce qui me fait crié de douleur.
La fenêtre de la cuisine était ouverte il sort par cette fenêtre et me laisse comme ça.Moi : Papa..
Je sentais mon coeur battre super vite, je n'avais pas l'air d'être consciente de ce qu'il se passait j'étais comme droguer et remplie d'adrénaline.
Papa : J'arrive ma princesse !
Quand il me voit au sol il se fige mais viens tout de suite à côté de moi, il lève ma tête et la pose sur ses genoux.
Moi : Papa j'ai mal..
Je parle avec difficulté.
Papa : Si je pouvais prendre ta douleur je le ferai ma grande..
Il prend son téléphone et appelle quelqu'un.
Papa : Oui allô wouldi tu peux venir d'urgence à la maison on doit aller à l'hôpital s'il te plaît.
Papa : À tout de suite alors.
Moi : Je vais enfin rejoindre maman..
Papa : Dit pas ça.
Moi : Papa j-
Mes yeux étaient lourds.
Papa : Ne ferme pas les yeux.
Moi : D'accord..
Papa : On est ici mon fils !
Je vois Mohamed dans mon champ de vision un peu flou il est comme inquiet ?
Papa : Ramène la dans la voiture je vais chercher sa grand-mère.
Mohamed me porte et on sort.
Mohamed : Dort pas !
Moi : Mais j'ai envie de.. fermer mes yeux.
Mohamed : Commence même pas à me lâcher toi aussi w'Allah.
Mes yeux se ferment d'un coup.
Mohamed : Me lâche pas s'il te plaît,je suis désolé..
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Haïdah- Je t'aime tellement que je t'haine
RomansaHaïdah une jeune femme essayant de ne plus redevenir l'ancienne elle, qui aussi depuis son plus jeune âge on la forme pour ne pas ressentir toute forme de sentiments, jusqu'à ce qu'un homme vienne lui faire changer d'avis mais ça ne va pas être s...