Haïdah- Je t'aime tellement que je t'haine

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Mohamed

Jade et moi arrivons devant cette porte, aujourd'hui c'est l'anniversaire de cette fille qui me rend indifférent quand elle est là.

Jade ? Elle me sert de temps en temps mais j'ai aucun sentiment pour elle.

Quand elle a ouvert cette porte j'étais impressionné par ce qu'il y avait devant moi, c'est la première fois que je voyais une personne d'aussi incroyable.

Après cette fête j'irai m'excuser auprès d'elle, je ne voulais pas lui faire peur ni l'insulter, c'est sorti tout seul.

C'est vraiment la toute première fois que je ressens ou même que je dise ce genre de choses à une fille, j'en ai parlé avec ma mère elle m'a dit que c'était un coup de foudre ou je sais pas quoi.

C'est juste pour booster ton égo.

J'entre je dis bonjour à tonton et la vieille on parle tous entre nous, on se lance des petits regards par ci par là ses yeux verts légèrement tirés.

Tonton : Va chercher le gâteau s'il te plaît mon fils.

Sa toque la vieille va ouvrir.

La vieille: Bonjour Samira.

C'est ma mère, elle qui s'appelle Samira.

Samira : Je vous ai déjà assez vu vous tous elle est où la princesse?

Je la regarde, je la vois regarder une photo de sa mère sur le mur elle ne nous entend plus je le sais, elle est dans son monde elle est tout le temps comme ça et sans le faire exprès.

Tout le monde la regarde elle souriait comme un bébé c'était son plus beau sourire on la laissait un peu dans son monde avec sa maman.

Ça doit être très difficile pour elle sah, ma mère me regarde pour que j'accepte sa proposition et j'accepte en hochant la tête.

Elle la prend dans ses bras et lui fait pleins de bisous dans les cheveux ce qui l'a fait un peu sursauter.

Haïdah: Maman..

Elle lève les yeux en regardant la personne qui l'enlaçait se détache,on peut voir qu'elle était gênée et honteuse.

Haïdah : Excusez-moi, je suis vraiment désolé je savais pas, vous avez juste le même parfum..

Elle faisait tout pour pas pleurer je le voyais mais eux non, si elle veut devenir actrice c'est mieux elle abandonne.

Maman : C'est pas grave benthi tu t'en souviens de moi ?

Haïdah : Oui.

Elle souriait mais son sourire se voyait de loin que c'était pas un vrai sourire elle souriait juste pour nous faire plaisir, je savais pertinemment à quoi elle pensait , mourir elle pense que c'est la seule option pour aller mieux.