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J'entre dans cette pièce qui me mène alors dans le néant profond.

Une fois au milieu de la pièce, il ferme la porte avec un très large sourire qui est en aucun cas rassurant.

Soudain une voix venue du plafond se fait entendre.

Pascal : Tu devras sortir en seul morceau, voici ton exercice, bonne chance.

Première fois depuis que je le connais qu'il me souhaite une bonne chance même pendant mes combats il ne me l'avait jamais souhaité donc ça ne sentait pas bon du tout.

Je me dirige vers la porte car mon seul but était juste de sortir en un seul morceau, simple.

Alors que je comptais poser ma main sur la poignée je ressens une présence.

Et si c'était lui..

Je reçois soudain une lame contre mon ventre, qui m'arrache un énorme crie de douleur.

Je devais me défendre dans le noir complet.

Je me mets immédiatement à quatre pattes en essayant de faire le moins de bruit possible.

Je marche doucement en tenant mon ventre, mes mains touchent des pieds, mais à mon toucher la personne ne ressentait rien du tout, c'était parfait.

Je prends mon arme me mets a genoux essaie de bien me placer et tire .

La personne tombe.

Et bim un de moins.

Je touche son corps, pour voir si la personne était bien morte, je ne suis pas sûr de pouvoir le savoir alors je prends mon couteau, le plante à plusieurs reprises dans le ventre et dans le coeur.

J'entends un énorme cri au loin qui se dirige vers moi on aurait dit ,en courant.

Je me remets à quatre pattes puis la personne qui criait comme un malade me met un coup de pied dans le en bas du menton qui me fait tomber en arrière, il revient vers moi en me prenant pas le col puis en me balançant parterre violemment.

Je commençais à avoir peur, je ne pouvais pas lâcher, je devais réussir.

Il me met des coups de poings sur le visage puis dans les côtes.

Ton arme !

Pour le distraire je décide alors de crier de toutes mes forces.

Je hurle comme si ma vie en dépendait, ce qui le distrait rapidement pendant quelques secondes mais ces quelques secondes qui me servent à prendre mon arme et tirer.

Il n'avait pas le droit de me tuer c'était qu'un simple exercice mais moi j'avais tout les droits.

Son corps s'effondre alors sur moi, je le décale ,me lève et je me remets à quatre pattes pour atteindre la porte

Haïdah- Je t'aime tellement que je t'haineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant