J'arrive à attrapé la poignée, j'ouvre et la lumière me frappe au visage.Je tombe directement au sol de douleur et de fatigue, je le vois me regarder sans un sourire, sans une once de pitié , il est complètement neutre.
Pascal : Suis-moi.
Je me relève petit à petit toujours en tenant mon ventre et le suis.
Arrivée, je remarque que c'est la salle de tirs, mon moment préféré.
Je me place avec difficulté, j'avais mal partout, je voyais pas forcément bien.
Je prends l'arme mais je vois, qu'il n'y a aucune cible à visé je me retourne vers lui.
Pascal : Attends quelques secondes.
Il parlait d'un ton détaché.
J'attends, jusqu'à ce que j'aperçoive un homme, le sourire aux lèvres.
Il n'a pas compris qu'il allait mourrir ou quoi ?
Pascal s'approche de mon oreille pour me dire..
Pascal : Cet homme que tu vois tout souriant, il s'appelle Thomas , il a essayé de te violer à ton plus jeune âge, enfin.. il t'a violer !
Je sursaute.
Je met du temps à réagir ne comprenant pas ce qu'il se passait.
Il t'a violer Haïdah !
Il m'avait violer, je n'en revenais pas de ce que je venais d'entendre .
Un sourire sadique se dessina alors sur mon visage, en voyant mon sourire l'homme se nommant Thomas ne comprenant rien fronce les sourcils et Pascal lui aimait ce qu'il voyait, voyant son sourire encore plus sadique que le mien.
Moi : Je ne veux pas le tuer maintenant, tu pourras le laisser dans la cave s'il te plaît ? Et je le veux nu.
Il hoche la tête, ce qui signifiait qu'il était d'accord.
Il y avait énormément de gardes.
Pascal : Emmener le dans la cave et faites comme elle a dit.
2 gardes le prennent et partent.
D'autres gardes eux viennent avec quelqu'un, un homme, il avait un sac sur la tête impossible de savoir qui c'était.
Mais moi, je savais qui c'était.
Pascal : Qui est-ce ?
Demande-t-il aux gardes.
Un garde : C'est un jeune homme qu'on a retrouvé dans sa voiture, un peu plus loin en observant la villa.
Plus aucun doute.
Moi : Enlever moi ce sac de sa tête.
Ils ne bougent pas.
Moi : Maintenant !
Dis-je avec un ton tellement autoritaire qu'ils exécutent immédiatement.
Quand je vois ce visage là devant moi , je n'arrive pas trop à comprendre je ne sais pas trop comment réagir, je ressentais l'envie de le tuer. Pourquoi m'avait-il suivi, il aurait pu mourir sérieux !
C'était lui , Mohamed.
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Haïdah- Je t'aime tellement que je t'haine
RomanceHaïdah une jeune femme essayant de ne plus redevenir l'ancienne elle, qui aussi depuis son plus jeune âge on la forme pour ne pas ressentir toute forme de sentiments, jusqu'à ce qu'un homme vienne lui faire changer d'avis mais ça ne va pas être s...