Lando Norris : The Story Of Us

Track 32

Isaure Newton

Samedi 13 décembre 2025, Monaco

A peine a-t-on franchi la porte de son appartement qu'il l'a brutalement refermée pour me plaquer contre cette dernière. Ses lèvres sont venues s'écraser contre les miennes d'une puissance qui m'a d'abord décontenancée, et, surprise, je lui ai rendu son baiser rempli de désir alors que ses mains parcouraient désormais mon corps, passant de mon cou qu'il tenait comme si c'était la dernière chose à laquelle il pouvait se retenir avant de venir les poser sur ma taille pour me serrer un peu plus contre lui. Ses doigts semblaient jouer avec le tissu de ma robe tandis que j'étais plongée dans son baiser addictif.

Mes mains se nouaient dans ses cheveux tandis que je me calais contre lui pour ne pas perdre mon équilibre, car j'étais sur la pointe des pieds pour essayer de combler l'immense écart de taille entre nous deux, malgré mes talons. Ses lèvres me dévoraient, et je voyais en lui une envie retenue sans doute trop longtemps, tandis qu'une chaleur liquide se formait dans mon bas ventre, une agréable sensation que je n'avais pas ressenti depuis sans doute trop longtemps.

Entre nos soupirs de désirs et nos petits couinements, j'ai ouvert ma bouche un peu plus grand pour qu'il insère sa langue dans ma cavité buccale, se mêlant à la mienne pour mener une danse endiablée terriblement attrayante, dont je ne pouvais me défaire. J'en voulais un peu plus à chaque seconde, alors que notre danse effrénée ne faisait que commencer.

Mais ses lèvres ont quitté les miennes pour parcourir d'abord la ligne de mon menton, alors que ses mains remontaient dans des va-et-vients jusqu'à mes seins qui me rendaient juste folles. Je sentais mes tétons se durcir de plaisir au fur et à mesure que sa bouche se rapprochait dangereusement de mon cou, avant d'y déposer pleins de petits suçons qui m'arrachaient à chaque fois à un petit gémissement de plaisir.

Je sentais le rouge me montait aux joues alors que ces petits cris incontrôlables s'échappaient de ma bouche, honteuse de profiter de ce plaisir divin avec celui que je voulais depuis plus longtemps que je ne voulais me l'avouer.

Il suçait chaque parcelle de la peau de mon cou avant de se déporter quelques centimètres plus loin pour laisser une autre petite marque rouge. Comme s'il voulait me marquer, comme s'il voulait me rappeler que j'étais sienne, à qui j'appartenais réellement, et cette idée me plaisait terriblement trop.

J'ai alors perdu mon équilibre, mais Lando a posé ses mains en dessous de mes cuisses pour me rattraper, me forçant à entourer sa taille de ma jambe alors qu'il me portait jusqu'au lit d'une vitesse qui me semblait trop lente, l'attente semblant durer une éternité.

J'en voulais plus.

J'en voulais trop.

Quelques secondes plus tard, j'étais étendue sur son lit aux draps blancs désormais éparpillés de tous les côtés. Lando était au-dessus de moi, son corps collé contre le mien, m'empêchant un quelconque mouvement alors que nos lèvres étaient toujours scellées en un baiser endiablé. Mes mains se perdaient toujours dans ses boucles tandis que les siennes se baladaient partout sur moi, d'une manière lente et addictive qui m'arrachait parfois des petits cris qui s'échappaient sans que je puisse y faire quelque chose. Il repoussait parfois certaines mèches de mes longs cheveux derrière mes oreilles pour mieux plonger son regard dans le mien, avant de m'embrasser encore plus longtemps et passionnément que celui d'avant.

Mes talons avaient rejoint le sol sans que je m'en rende même compte, mes bijoux de même sans que je n'en ai la cause. Mais je m'en foutais éperdument, la seule chose qui comptait actuellement pour moi, c'était Lando.

Et rien que Lando.

Il me rendait fou, tout simplement. Une de ses mains s'est alors incrustée sous la fente de ma robe pour venir caresser ma cuisse d'une façon lente et qui me donnait envie de tout lâcher. Je me sentais déjà trempée, mais j'avais honte de l'avouer, honte qu'il s'en aperçoive.