0.7.9 Chapitre 9 #IAmLost

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Je leur fait la bise. Je m'asseois à côté de Perrie. On est devenue encore plus proche qu'avant. Le fait qu'elle est enceinte et que je l'aide nous a rapproché. Je la soutient dans cette épreuve. L'avion décolle et nous voilà partie pour plusieurs mois.


*Ellipse des plusieurs mois de tournée*

Perrie va bientôt accouché. Les menaces de "Anonymous" n'ont pas cessé. J'ai reçues des papier avec inscrit dessus "Ce n'est pas parce que tu es partie que je en vais rien te faire", "Je ne suis pas si loin", "Quand tu reviendras attend-toi a tout", "Même a distance, je peux te détruire", "Continue a avoir peur, je peux attaquer a tout moment", "Ta souffrance me rempli de bonheur, continue de souffrir", "Souris la vie, oui sauf la tienne", "Je ne te lacherais jamais", "Tu ne seras jamais en sécurité, nul part", "J'attend avec plaisir, le jour où tu mourras", "Ta mort, tu l'a mérites", "N'oublie jamais, je suis partout", "Je te suis partout où tu vas", "Je sais le moindre de tes mouvements", "La paix, tu ne la trouveras jamais et encore moins la liberté", "Je suis partout", "Arrête de sourire, c'est pas bien de mentir", "Tu as mal au ventre? Tant mieux tu mérites pire" et tout des phrases dans le même registre. J'ai toujours mal au ventre. J'ai été chez le médecin qui m'a dit d'aller chez mon gynécologue qui bien sûr se trouve en France. Je vais donc en France parce que aujourd"hui j'ai rendez-vous avec lui pour un examen dont je n'ai pas trop envie. J'ai interdit aux filles surtout à Perrie de m'accompagner, je préfère être seule. J'arrive à Paris, j'ai pris le train. Je sors du train avec ma petite valise ocntenant quelque vêtements. Je passe les contrôles et me dirige directement vers mon hôtel. Je prends les clé que la recptionniste m'a donné après avoir dit qui j'étais. Je prends l'ascenseur, j'entred ans ma chabre et y dépose ma valise. Je sors directement de l'hôtel. Ja marche dans les rues de Paris comme autre fois. Dans souvenirs refont surface dans mon esprit. Je retiens les larmes et entre dans le parc. Dans le parc, j'entre dans la fôret et me rend jusqu'a mon endroit. Il y fait si fraît, c'est si paisible. Je m'y sens tellement bien. Le problème c'est qu'on est plus en été et que l'hiver est dans plus d'un mois. Perrie doit accoucher en novembre et demain on est le 1er novembre. Elle doit accoucher le 15 novembre donc ca va encore, je serais rentrer a temps. Ce lieu est si paisble, il calme mon âme en quelque seconde. La vie y parait si facile. Ce lieu semble si loin du monde, si loin du mal mais qui en faite est si proche. Je m'asseois sur le tronc d'arbre. Je fixe l'eau ruisselante du ruisseau avec quelque petits poissons nageant dedans complétement libre avec juste la peur d'un prédateur. Je suis un peu comme eux. Faible, impuissante, menacé par un prédateur, jamais en sécurité, demandeuse de liberté comme eux. Je suis faux-cul avec moi, je me dits que je vais bien mais c'est le contraire. Je me ments a moi même. Je dits que je vais bien aux autres, que je vais bien aus autres mais c'ets tout le contraire au fond je vais bien, j'ai mal, très mal mais je le cache et montre mon plus beau sourire. C'est pas bien de mentir mais combien de fois on a déjà sourit alors qu'on allait pas bien? Le nombre de fois qu'on a pleuré seule après une journée de larme retenue. Je me suis habitué a dire que je vais bien mais je ne vais pas bien. Je vais encore moins bien depuis que Harry a essayé de m'embrasser avant que je sorte de sa voiture. Je n'en peux plus de ne pas pouvoir le voir. Je croyais que ca allait être facile c'est totu le contraire, plus le temps passe plus je souffre. Je croyais que j'aurais su faire sans lui mais c'est de plus en plus difficile. Cet endroit m'apaise et me permet de me remettre en question, de faire le vide dans ma tête, de faire le tri entre ce que je sais et ce dont je n'ai pas de réponses. J'ai encore beaucoup de question sans réponses, encore beaucoup d'incertitudes dans ma vie. Je suis au bord du précipice. Marie ne m'aurait jamais aller si loin dans ma perte, elle m'aurait relevé mais elle n'est plus là pour le faire. Ca fait plusieurs mois qu'elle est partie dans le monde du dessus. C'est toujours dure de parler d'elle au passé. Je me sens si nule. Je me sens si faible. Je me sens si inutile. Je me sens si impuissante. La puissance est un sentiment que l'humain a besoin d'avoir et sa plus grande peur c'est de sentir l'impuissance. L'impuisse est un sentiment qu'on n'accepte pas de sentir, on ne peut pas assumer qu'on soit impuissant parce qu'on a besoin de se sentir puissant et meilleur que tout. On a besoin d'être le plus puissant. Le précipe s'approche de moi et un jour je tomberais dedans. Je ne serais plus de ce monde. Le trio de meilleures amies inséparables serotn toutes les trois dans le ciel à protéger ceux qu'elles aiment. La nature a encore plus d'effets sur moi que la dernière fois, peut-être que c'est parce que je vais encore moisn bien. Je n'ai toujours pas fait le deuil de Marie ni le redeuil de Leila. J'ai peur de ce que va me dire mon gynécologue. Je suis a mon endroit favoris sur terre où je suis sûr que personne ne viendra me dérangé. Je me levais, il était temps que j'aille chez le gynécologue. J'entre dans l'établissement du gynécologue et m'asseoisd dans la salle d'attende. J'y attend quelque minutes et puis le gynécologue me prends. Il m'examine. C'est assez gênant chez le gynécologue. Je n'aime pas ça. Je n'aime pas m'exposer à poil devant un homme qui n'est pas mon copain et que ne le sera jamais qui doit examiner mes entrailles. Je ne supporte pas ça mais je me dits que je ne suis pas la seule. Je ne lui ais pas dits que j'étais Amélie Barnid pour lui c'est la première fois qu'il m'examine alors que pour moi non surtout que j'ai déjà été enceinte mais j'ai préférée avorter.

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