Nous arrivons enfin à Londres. Le voyage en avion fut long, très long. La musique dans les oreilles durant presque tout le voyage, les réprimandes de mon père. Il ne m'a fallu que ça pour me mettre de mauvaise humeur. On doit prendre la voiture encore après. PLusieurs heures de route, je penses. J'espère que non parce que je ne vais plus avoir de batterie avant la fin de la route. J'y ai pensée et j'ai pris mon Ipod et mon cellulaire pour écoutée de la musique. Mon Ipod qui n'a bientôt plus de batterie à force de jouer à des jeux et d'écouter de la musqiue. Nous attérissons à Londres.
*Ellipse du voyage en voiture*Je sors enfin de cette voiture. Je commencais à sérieusement étouffée. On est en été aussi.
(Ma tenue: http://www.polyvore.com/sans_titre/set?id=122361312 )
Je métires de tout mon long. J'ouvre le coffre et prend ma valise. Je sors les autres c'est à dire celle de ma mère et de mon père. Ma mère pendant ce temps ouvre la porte de la maison. Elle est vraiment grande. Elle est dans la campagne pour moi. Il y a beaucoup de caisses en carton partout dont je sens que je vais devoir les déballés toute seule puisqu'on ne m'aide jamais. Je suis toujours à faire toutes les tâches ou persque toute seule comme si mes parents avaient une vie trop dure et diffcile que pour s'occupés des ces tâches là. On voit bien qu'ils ne savent rien de tout ce que j'ai vécue et au pire je pourrais leur dire, il s'en fouterais. Il n'y a que ma mère que cela pourrait un minimum intéréssé. J'ouvres toute les portes et cherches après la plus grande chambre, tant que j'y suis autant en profiter. Une chambre est aménager dans le grenier mais c'est une d'amis donc je ne peux pas la prendre alors je prends la deuxième que je voulais,la plus grande après celle-là. Je prends la porte la plus au fond du couloir, je n'aurais qu'un escalier à monter et je pose ma valise sur le lit elleux. Je me laisse tombée à côté de ma valise. La musique toujours dans les oreilles, j'écoute du Rihanna. J'adore sa musique surtout ces duos avec Eminem. J'aime bien aussi Ariana Grande et Cher Lloyd. Je m'assoies sur le bord de mon lit et prends ma tête entre mes mains. Mon père m'appelle j'ai déjà peur de ce qu'il va me demander de faire. Je descends les escaliers quatre à quatre parce qu'il déteste quand on ne se dépêche pas. Je le trouve juste en en bas de la dernière marche. Le regard sérieux sur moi, je sais que l'orage qui me survolait va me tombé dessus alors que je n'ai rien fait.
Mon père: Tu peux déballées les cartons, tous sans exception.
Moi: Toute seule?
Mon père: Bien sûr. Un point c'est tout. Tu n'as pas le choix.
Je ne réponds pas et me mets à la tâche. Cela ne servira à rien de répondre avec lui. Inutile de négocier avec lui, il a toujours le dernier mot parce qu'au fur et à mesure des années j'ai appris à ne plus rien dire, même si dans le fond j'aurais eue le dernier mot, je me taisais parce que la sanction était dure, très dure. Je vais bientôt ne plus le voir, personne ne pourra me donner do'rdre et me prendre haut surtout comme il le fait. Je serais comme libre. Je serais indépendante de moi-même. Je ne devrais plus rien faire pour les autres, je pourrais faire tout ce que je veux. Je déballe les cartons, mon père regarde la télévision, ma mère quand à elle, elle lave les armoires. C'est la seule qui m'aide ou qui me protège ici. Mon père, je ne peux pas compter dessus. Je peux oublier tout de suite, même si j'étais en danger de mort, il n'y aurait que ma mère qui sauterait à ma place. C'est dure la vie, une dure réalité qui vous ronge de l'intérieur. C'est une dure réalité dans laquelle vous êtes un pantin de votre propre vie comme du monde. Poupée manipulée par les plus forts de la société, vous n'avez rien à faire a par dire oui parce que vous êtes de leur côté alors qu'au fond de vous, vous dîtes non. Réalité difficile qui vous arrache un faux sourire, vous défie du regard, vous mange le coeur, vous soumet l'esprit, vous contre-dit, vous retire tout espoir, vous enlève votre sourire et votre rire ainsi que tout signe de bonheur, vous renferme sur votre âme. La réalité qu'elle est à ses défauts mais aussi ses qualités qui dans l'instant présent, je ne trouve pas, trop occupée a défaire des cartons et à maudire ma vie. Elle pourrait être pire, je sais, mais elle pourrait être mieux. On ne choisit pas sa famille, moi j'aurais bien aimé c'est comme pour ma vie. Dans tous ça, je n'ai pas encore déballée mes affaires et après demain c'est la rentrée. Un nouveau départ, une nouvelle vie, une nouvelle moi, une nouvelle histoire, une dernière chance. L'amour toquera un jour à ma porte. Un jour, bientôt, je partirais de la maison familiale, un jour tout ceci arrivera, je devrais les prendre avant qu'ils ne s'effacent. Je maudies parfois ma vie même si je l'aime. Je finie tout les cartons et pars directement dans ma chambre pour m'occupée de mes biens. Je défais ma valise, la range dans le fond de mon armoire en dessous des vêtements pendant sur des cintres et referme l'armoire. Je vais un peu décorée ma chambre. J'aimerais prendre l'option chant et musique à ma nouvelle école, mais elle n'a pas cette option juste théâtre que mon père ne veut pas que je prennes alors je n'en ferais pas. Des cartons sont dans ma chambre, j'y trouve tout le reste de mes affaires, vêtements restant, cadres, photos, ordinateur, matériels scolaires, cadeaux d'amis, sacs, livres et autres. Je descends en évitant mon père c'est à dire tout en discretion, je suis devenue une adpete de la discretion, une championne dans cette matière. Je prends des clous et un marteau. Je pars dans ma chambre et accroche mes cadres sur mon mur. Des photos de mes amies avec qui j'ai gardée contact malgré la distance et le décalage horaire sont posés sur mon bureau et accroché au mur juste au dessus de mon lit. Il y a une photo qui est dans un cadre qui se trouve sur ma table de nuit. La photo montre moi et une autre fille. Cette fille est de New-York. C'est ma meuilleure amie, c'est la seule avec qui je me suis senties bien directement. Pour moi en 1 et demi malgré que je sois arrivé à la moitié plus ou moins de l'année scolaire, elle est venue vers moi et ma tendue la main. Je suis devenue populaire mais je ne voulais pas. New-York n'est pas une execption, il est comme partout, l'apparence est primordiale. Mon beau visage d'ange a été dit parfait et donc la popularité est arrivée. Après demain ce ne sera pas la même chose. Je serais une autre personne. Je finies tout, recharge mon Ipod et prends mon téléphone. Je vais visitée un peu la village. Je vais voir si il y a un parc où se balader ou même courir serais le paradis. Je sors de la maison en criant un "Je pars visitée, je reviens pour avant le repas" a mes parents fermes la porte. Je vais un dans le village, je visite chaque petit coin jusqu'à trouvé un parc. Un sompteux et petit parc tout fait d'arbe, d'herbe avec un lac visible au loin entouré d'une barrière en bois, la parc orné de banc et fleurs est magnifiques à voir. J'ai hâte de voir la vision de ce parc en automne, en hiver, au printemps et début été. Je marches dans le parc, il est juste magnifique. Je m'assoies sur un banc qui est devant le lac. Je regardes un peu la vue, le paysage qui m'est offert plus en détail. Il y a un petit coin avec des jeux pour enfants, cela me rappelle mon petit frère. On est surtout partit à cause de lui, je ne lui en veux pas, il n'y est pour rien c'est cette maladie qui l'a ravagée à qui je m'en prends. Il est mort, il y deux semaines. Une leucémie, cancer du sang qui l'a enmené dans le ciel, qui l'a changé en étoile la plus brillante dans la nuit. Il me manque, c'était mon frère. Les souvenirs de mon petit frère trop forts, on est partit, on a fuit alors que je voulais affronter la vérité en plein dans la figure. Il ets mort et je voulais souffrir, souffrir à sa place. Je n'en aurais plus jamais l'occasion. Je vies pour lui si ça ne tenait qu'à moi, je serais déjà partie mais je lui ais fais la promesse de vivre le plus longtemps possible et la plus heureuse possible pour lui. Il voulait que je suis heureuse, souriante, rieuse, rêveuse, il voulait que je vives pour lui, pour son honneur, par respect pour lui. Ce fut ses derniers mots, la seconde d'après c'était finit. Il est mort devant mes yeux. Il est mort alors que je le regardais avec attention et tendresse. Ce monde m'a arraché l'un de mes êtres les plus chères à mes yeux. Il n'avait que 5 ans, il n'a pas eu le temps de connaître la vie sous tous ses angles, je le fais pour lui, il revis comme dans ma pensée. Je vis comme si j'étais lui. Je découvre toutes les facettes du monde pour lui, pour qu'il l'est découvre à son tour. Une larme coule sur ma joue. Une seule, une petite qui ne sera plus seule longtemps puisque d'autre la suivie. Je pleures comme une immature, comme une incapable, une souffrante, comme une détruite, comme une pleureuse ce que je suis au fond. Je n'ai pas sue sauvée mon petit frère alors qu'il était un peu comme toute ma vie. C'était mon petit frère, mon seul petit frère. Je n'avais aucun autre frère ni soeur et je n'ai pas sue le préservée. Je me sens comme une incapable, comme une merdre, comme une fautiche, comme une menteuse. Je n'ai pas sue l'accompagnée, je n'ai pas sue le sortit de là. Je sens une présence se posée à côté de moi. Je ne regarde même pas qui c'est et essaye de cachée le fait que j'ai pleurée. Je déteste pleurée en public. Je ne réussie pas à le cachée sufissament pour que la personne me laisse tranquille.
?: Pourquoi tu pleures?
C'est une voix masculine, rauque et douce à la fois. Une voix que je décrirais comme prafaite. Je tournes la tête vers la personne et la voix est assortie au physique. Un brun bouclé, cheveux un peu en bataille, yeux verts, un peu demuscles mais pas trop, style de vêtement parfait.
Moi: Cela ne te regarde pas.
?: Et pourquoi?
Moi: C'est ma vie pas la tienne. On ne se connait même pas.
?: J'aimerais bien moi.
Moi: Et pas moi.
?: Pourquoi je ne suis pas à ton goût. Ah oui c'est vrai tu es comme toutes ses filles, apparence, superficielle, et autres.
Je tourne ma tête evrs lui et lui lance un regard mauvais. Il aurait mieux fait de garder sa remarque pour lui.
Moi: Tu ne me connais même pas et tu te permets de dire ça. Tu te trompes sur mon compte. Les apparences sont trompeuses pour moi mais pas pour toi. Un mec comme tout les autres, tout dans le pantalon rien dans le cerveau, qui se tape toutes les filles qu'il veut, qui a tout ce qu'il veut, hypocrite, pense connaître un enfer alors que c'est le paradis à côté de certaines personnes.
?: Je ne suis pas comme ça non plus. Tu me juges aussi. C'est quoi ton petit nom, il doit être magnifique pour un si jolie fille. Un si beau visage qui pleure c'est pas aussi beau qu'un si beau visage qui sourit. Je suis sûr que ton sourire est magnifique, dommage qu'il y ait des larmes pour le caché.
Moi: Tu crois que je vais te dire comment je m'appelles. Merci pour tes flateries mais si tu veux m'avoir dans ton lit ou autres, tu peux oublier je ne suis pas comme ça. Maintenant tes compliments tu les gardes dans ta tête.
?: Moi c'est Harry en tout cas et toi? Je ne te veux pas dans mon lit. Je ne suis pas comme ça.
Moi: Laisse moi rire. Tes mots et tes regards te trahissent.
Harry: Tu n'as pas l'air de rigoler.
Moi: C'est dit exprès ou c'est naturel?
Harry: C'est exprès. Tu te prénomme comment?
Moi: Hope ça te va?
Harry: C'est ce que je disais un joli nom pour une jolie fille. Pourquoi une fille comme toi pleure-t-elle?
Moi: Je ne suis pas comme les autres.
Harry: Je vois que tu es différente des autres. Pourquoi tu pleurais?
Il sèche mes larmes avec ses pouces. Un geste rassurant. Mon prénom me convien très bien. Hope veut dire Espoir. Je suis pleine d'espoir en ce moment.
Moi: Tu connais vie privée?
Harry: Oui mais je voudrais juste savoir pour ta consolé.
Moi: Je n'ai aps besoin d'être consolée, je sais très bien le faire moi-même. Au revoir.
Je me lève du banc et commences à partir mais une main me retient. Je me retourne et vois Harry.
Harry: Un café te dirais?
Moi: Je n'ais pas envie de café. Je n'ai besoin de rien.
Harry: Comme tu voudras. Tu peux me passé ton numéro de téléphone pour que si tu as besoin de compagnie, je puisses te venir en aide.
Moi: Je n'ai besoin de rien et encore moins de ton aide.
Je donne un coup sec dans mon bras se qui le fait laché et pars. En un regard il m'a déboussolé, comment a-t-il fait ça?
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Merde littéraire
Novela JuvenilMélange de merde littéraire, tous les écrits sont de moi, c’est pour cela que je me permets de dire que c’est de la merde. Respectez-là comme même. ©Copyright 2013-2014-2015 ©CrazyWildUnicorn #ML pour le travail sur Twitter