Je me réveille à cause de l'alarme de mon réveil, cette sonnerie je ne vais jamais l'aimer mais jamais et j'ai toujours ce mal de ventre de la veille. Je prends une douche avec le chat dans la salle de bain collé au radiateur. Je sors, me maquille, recourve mes plaies après les avoir désinfecté et m'habille.
(Tenue Emilie: http://www.polyvore.com/tenue_17/set?id=114260881 )
Aujourd'hui la journée commence magnifiquement bien puisque je dois me rendre à l'enterrement de Marie et passer le plus discretement possible et je n'ai même pas eu le temps de changer de coloration. Je descends les escaliers de chez moi après avoir fermer la porte à clé, j'ai tellement mal au ventre que je ne vais pas arrivé à manger et en plus avec l'enterrement mon estomac est encore plus nouer. L'enterrement commence à 14h00 et il est 9h25, mon train est 10h15 alors j'ai 50 minutes pour aller à la gare Eurostar, je vais y aller tout de suite parce que avec tout les contrôles ça risque de prendre du temps. Je marches dans les rues de Londres espérant ne pas croiser Harry ou un autre des boys parce que si il me reconnaîsse, je serais surement en retard et raterais mon train. Je prends un chocolat chaud eu Starbuck où j'avais eu rendez-vous avec Liam l'autre jour. Je suis presque arrivé et je vois une librairie, j'y entre, je regarde les magazines au loin je vois des cigarettes. Non, je ne dois pas commencé à fumer pour Leila et pour Marie, si elles étaient encore en vie, elles me tueraient direct. Les larmes embue mes yeux en pensant à Marie et Leila mais je me retiens de pleurer, j'aurais bien le temps de pleurer à l'enterrement de Marie. Je ne prends pas de paquet de cigarette ni de magazine et continue mon élancée vers la gare. J'entre dans la gare, passe tous les contrôles avec ma nouvelle identitée, sa fait bizarre de passer des contrôles avec une nouvelle identitée mais cette pensée je la garde pour moi parce que si les contrôleurs l'apprennent je ne passerais pas la frontière. Après tous ces contrôles, je peux enfin entrer dans le train. Le problème c'est que dans le wagon où j'allais faire mon apparition, il y a Harry, Liam, Louis, Niall, Zayn et Jennifer. Je fais demi-tour avant qu'ils ne me voient pour éviter qu'ils me posent des questions, pour éviter de me faire répérer et pour éviter d'avoir la souffrance de voir une seconde de plus le visage détruit et ravagé d'Harry. J'entre dans le wagon suivant par chance ils ne m'ont pas vue, je peux m'asseoir tranquille. J'ai un peu peur le chat est tout seul dans l'appartement et le resteras toute l'après-midi, je lui ai donné des croquettes mais j'espère qu'il ne pétera pas une durite.
*Elipse du voyage*
Durant totu le temps du train, j'ai écouter ma musique et écrite des paroles de chansons dans mon journal intime, l'inspiration est là. Je descend du train et évite de passer devant Jennifer et les garçons. Je marche dans les rues de Paris, le changement de paysage fait tout drôle. Sa fait bizzare de remarcher dans ses rues que je connais par coeur, dans ses rues avec Leila et Marie ont fesaient les folles, dans ses rues où Marie et moi ont étaient sur le point de se peter la figure sur sol parce qu'on étaient en soirée et qu'on étaient bourrées, dans ses rues dans lesquels j'ai vécue toute mon enfance, dans ses rues où je jouaient avec Marie et Leila sous le regards des parents de l'une de nous trois, dans ses rues où quand on étaient petite on disaient bonjour à chaque personne qui passaient, dans ses rues où on couraient après les pigeons dans notre jeunesse, dans ses rues par lesquelles on rentraient de l'école, dans ses rues où j'ai vécue tout plein de choses, où j'ai vécue enregistrée dans un coin de ma mémoire des bons souvenirs. Je souris pour la première fois de la journée et surement la dernière. La vie pourrais être pire, je pourrais être à la rue, je pourrais être sans emploi, je pourrais avoir une grave maladie incurable, je pourrais ne pas savoir me déplacer, je pourrais ne savoir rien faire, je pourrais avoir la peur de mourir à chaque seconde par la malchance qu'une maladie me soit tombé dessus et ne m'ai pas laisser la chance de me battre. Je réfléchit à tout ça et une idée me vint en tête si je fesais un don pour les enfants pauvres, ils n'ont pas la chance que j'ai autant se sacrifier un peu pour eux. Je prends mon gsm il est 14h14, je suis en retard pour la cérémonie. Je ne voulais pas y aller de toute façon, j'allais aller juste au cimetière qui lui est à l'autre bout de la ville, je dois me dépéchée mais pas trop. Je marche encore un peu et arrive sur la place où se trouve la Tour Effiel. Je m'arrêtes et m'acrouppi pour ensuite m'asseoir sur l'herbe. Je réfléchis un peu et relis mes paroles, elles me font pleurer, mon mascara coule. Je sèche mes larmes et mes joues humides d'un revers de manche et me dirige dans le bar le plus proche. J'entre dans les toilettes et me démaquille et remet du mascara avec le réflexe d'ouvrir légérement la bouche quand je met du mascara comme presque toutes les filles. Je sors du bar sous les regards pervers des hommes qui boivent leurs bières, ils me dégout plus que tout, ils n'ont pas autres choses à faire de leurs journées en plus ils ne se gènent pas pour bien reluqué. Je resors du bar et un vent passe aux moment où je sors, ce qui me faits du bien avec la chaleur qu'il y a. Il est 14h59, je ferais bien de courir pour arriver au cimetière plus ou moins à l'heure, je cours le plus vite possible vers le cimetière où elle doit être entérrée qui est à l'autre bout de la ville, j'aurais fait au moins ma dose de sport de la journée. Je cours, je cours, je cours, je cours, c'est tout ce que je peux faire alors autant mieux le faire. J'arrive au cimetière et ils sont déjà là à l'entérrée. Je m'avance doucement, évite de marcher sur des brindilles d'arbres pour ne pas faire de bruit. Je me mets à côté d'un arbre et me retiens dessus, j'étouffe ou plutôt essaye d'étouffer mes sanglots, j'essaye de ne pas faire de bruit. Je pleure en silence, j'émet que des petits gémissements que seul moi entends. Je suis loin d'eux mais je vois bien qu'ils sont tous détruit de l'intérieur. Je vois les parents de Marie qui sont sur le point de s'écrouler par terre, je vois Harry qui à les jambes tremblantes comme Liam et Niall et Louis, je vois Zayn qui embrasse à pleine bouche Jennifer, je vois les Little Mix détruitent surtout Perrie à la vue de son ex mari entrain d'embrasser une autre qu'elle sans retenue. Perrie ne peut pas arrêter de les regarder s'embrassé, j'aimerais tant lui faire un câlin mais je ne peux pas, je rester discrète. L'enterrement se fini, je pars avant eux en courant, mes jambes se rpessent, la peur de les voir les font allées plus vite. Mon pas s'accèlere, je ne sais plus le freiner, l'adrelanine monte en moi, je ne sais plus contrôler le rythme de mes pas, mon cerveau refuse de m'obéir, mes jambes courent, je ne sais plus m'arrêter pour reprendre mon souffle, j'ai du mal à respirer, je ne peux plus supporter de courir à cette vitesse mais mon corps refuse de m'obéir et continue sur son élancée, je cours plus vite que tout à l'heure, mon corps les fuits mais mon coeur et mon cerveau ne veulent pas les fuir. Je dois continuer ma route sans eux, je dois les fuir, je ne dois pas m'appitoignée sur mon sort, l'avenir m'attend et je dois l'atteindre. Je n'ai presque plus de souffle, je vais finir par m'éffondrée au milieu du chemin, dans ses rues qui ont bercer mon enfance, dans ses rues qui m'ont supporter dans tous mes états, dans ses rues qui ont bercer mon adolescence, dans ses rues qui maintenant font partie de mon présent et qui à chaque secondes font parties de mon passé. Je ne les reverrais surement plus jamais, mon coeur bat la chamade dans ma pointrine, il va finir par sortir de mon corps. L'adrelanine ne me stoppe pas pour autant et me fais toujours courir, je ne contrôle plus mon corps, la dernière chose que je contrôle se sont mes pensées. Mes pas se succèdent les un après les autres toujours à la même vitesse frénétique avec toujours autant de distance entre mes deux pieds qui tapent à un rythme rapide sur le sol. Je cours jusqu'a l'endroit qui m'apaise, l'endroit où je vais quand je ne vais pas bien, l'endroit où je pourrais y passer jour et nuit, l'endroit où je ne vois pas le temps passer, l'endroit où on peux être seule, l'endroit où la nature me calme, l'endroit où personne ne sais que j'y serais, l'endroit que j'ai trouvé la nuit où j'ai appris la mort de Leila. Je cours vers le parc dans lequel je jouais quand j'étais petite avec Marie et Leila, je m'aventure dans ce parc toujours aussi magnifique, je cours toujours aussi vite et passes entre les arbres, je continue de courir dans la fôret, je connais le chemin par coeur. Je me dirige vers l'endroit, des branches d'arbres m'érrafle la peau des bras et les orties me font mal au pied. J'y arrive et je me stoppe directement face au silence et me laisse bercer par les bruits de la nature. Je m'asseois sur un tronc d'arbre sur lequel je m'asseois toujours, juste devant moi se trouve une petite rivière. Le bruit de la rivière, du vent dans les arbres, le chant des oiseaux, les lapins qui sautent partout, les écureils qui rongent leurs noisettes, les bébés qui découvrent le monde tous ça m'apaise, m'aide à oublier, me fait penser à autre chose, je n'en ai jamais parler de cette endroit à qui quonque, je ne suis jamais dérangée quand je suis là-bas, je suis sûr que personne ne s'aventure aussi loin dans la fôret, pourtant la nature y est magnifique, tout beau, il n'y a pas plus beau paysage mais tant mieux que personne ne connaissent cette endroit comme ça je sais être seule et me vider la tête de tous problèmes et mauvaises pensées. Je n'y ai jamais amener personne et surement que je n'y amenerais jamais personne. Dans ce le genre de situation dans lequel je vis, je préfères entre seule un long moment, l'épanouissement m'aide à aller mieux. Quand je suis en ce lieu, je respire mieux, je respire l'odeur de la nature qui s'empare de mes narines. Je peux reprendre mon souffle tranquillement, sans me soucier que quelqu'un m'ai suivie, je me souviens parfaitement comment j'ai trouvé cette endroit. Un soir, j'étais mal, j'étais en pleure, j'étais détruite, mon coeur souffrait, des larmes provenant de mon coeur s'écoulaient par mes yeux, la mort de Leila ne me perméttais pas de réagir autrement, j'vais l'impression de ne plus avoir d'âme, qu'une partie de mon coeur m'ai été arraché. Je courais dans le parc et m'aventura dans la fôret, je ne savais pas trop où j'allais mais je m'en foutais, je voulais être loin de tout ça. Je m'enfonçais de plus en plus dans la fôret, il faisait noir mais je n'avais pas peur ou plutôt j'étais tellement éffondré que je ne savias ressentir aucun autre sentiment. J'entendis un bruit de ruisseau, je me laissa diriger vers ce bruit réconfortant pour mon coeur et reposant pour mon cerveau. Je vis le ruisseau juste devant moi avec letronc d'arbre juste à côté, je m'y assis et comtempla l'eau ruisselant, me laissa m'envoler par le bruit des oiseaux chantonnant dans la nuit. Je l'avais découvert comme ça, ce magnifique lieu, j'ai retenue le chemin et j'y vais à chaque fois que je me sens mal, que je suis triste, que j'ai besoin d'être seule, que je dois me sentir mieux, que je dois reposer ma tête. Ce lieu est très représentatif pour moi, il est magique, il arrive à me reposer en une seconde, personne n'y ai jamais arrivé à par Harry. Je dois vivre sans lui, sans ses yeux d'un vert parfait, sans ses lèvres parfaitement déssinées, sans ses magnifiques bouclettes, sans ses douces mains, sans son corps de rêve, sans ses abdos irréstibles, sans son sourire radieux, sans son doux comportement, sans ses petites manies qui sont à croquer, sans sentir son coeur battre à la folie, sans voir sa dentition d'une blancheur déconcertante, sans l'homme parfait qu'il est. Mes yeux se ferment à ses paroles passé dans ma tête, les larmes montent mais ne sortent pas, elles embuent mes yeux et me brouillent le paysage mais ne sortent pas. Je ne sais pas pourquoi mais les larmes partent, arrêtent d'embuer ma vue mais ne coulent pas, elles me laissent revoir le petit ruisseau juste à mes pieds. Je me sens bien ici, c'est comme si j'étais vidé de l'intérieur; comme si j'étais coupé du monde extérieur, comme si j'étais seule au monde, comme si j'étais dans un autre monde, comme si rien ne pourrait m'arrêter; comme si le monde ne pouvait plus m'atteindre, comme si j'étais protéger de tout, comme si je pourrais vivre sans m'en rendre compte, comme si j'étais abandonnée à rester ici, comme si j'étais en oiseau qui va bientôt volé de ses propres ailes et parcourir le ciel sans se soucier de ce qu'est la liberté puisqu'il la connait, comme un enfant dans un magasin de jouet, comme une adolescente qui découvre la vie, comme une rose qui ouvre ses pétalles, comme un papillon qui se balade dans les champs, comme un lapin qui découvre pour la premier fois le soleil, comme un enfant qui viens à peine de naître, comme un oiseau chantant à plein poumons ses plus belles mélodies, comme un bébé animal qui joue avec ses frères et soeurs en se chamaillant, comme un bébé humain qui marche pour la première fois dans la neige, comme un bébé qui grandi et apprend les premières choses de la vie, comme des enfants qui font une bataille de boules de neige, comme une mélodie qui se répète sans jamais s'arrêter un jour, comme un avion qui prend son envol vers un autre pays, comme la vie qui commence à la naissance, comme l'amitié qui naît entre deux étrangers, comme le bonheur de partagé avec ceux qu'on aime, comme si la vie se met en pause juste l'instant de respiré pleinement, comme les trous de mon coeur ont été rebouché, comme si mon cerveau s'éveillait de bons souvenirs, comme si j'étais une méduse se laissant vogué par les vagues de la mer, comme si j'étais une grand-mère voyant ces petits-enfants soufflé une bougie de plus de leur vie, comme une maman qui voit sa fille grandir pour devenir adulte, comme des parents qui voit leurs enfants s'amusé, comme des meilleures amies qui font les folles dans la rue, comme une histoire d'amour sans fin, comme le bonheur de parents de voir leur enfant poussé son premier cri, comme un animal qu'on remettais en liberté après l'avoir emprisonné dans une cage, comme si le monde m'appartenait, comme si le monde étais à moi, comme si la terre arrête de tourner, comme si la solitude n'existe plus, comme si la paix règne partout, comme si la violence ne fait plus partie de nous, comme si la joie c'était emparré de nous, comme si le monde m'emportait dans un plus beau, comme si j'étais libre. La liberté est difficile à acquerir, pour y arriver il faut beaucoup endurer, beaucoup surmonté, beaucoup traverser de moments inssoutenables, mettre beaucoup de force, ne pas abandonner ou baisser les bras à chaque secondes, se battre sans aucune pause, se laisser voguer sans trop de résistance, ne pas se laisser aller, aller là où la vie nous mène, aller là où le désir nous emène, aller là où le bonheur est pure, aller là où la joie est illimité, aller là où la peur a disparue, aller là où la paix règne, aller là où le sourire est vrai, aller là où le rire ne cèsse jamais, aller là où on doit aller pour y arriver, aller là où la route nous guide. Je suis sur ce petit tronc d'arbre abbatu, je ne veux plus quitter ce lieu si apaisant, si miraculeux, ce lieu qui m'a surement sauver la vie. Ces animaux qui vivent leurs vies animals pleinement sans les soucis de la vie humaine. Il se fait tard et je dois partir, je ne vais pas dormir ici et demain je commence tôt le travail. Je dois m'en aller mais j'y reviendrais, j'y reviendrais avant de mourir, je veux y revenir avant de mourir, si la vie me le permet. Je pars de ce lieu que même si j'ai alzheimer, je ne l'oublierais pas. Mes pas sur la terre se font entendrent, je rêves de ne jamais quittre ce lieu, d'y vivre pour toujours mais cela est impossible pour le moment. J'ai vu cette endroit par toutes les saisons, par tout les climats, dans tout mes états. On ne choisi pas sa vie mais on peut en décidé la vivre, on ne peut pas choisir les conséquences mais on peut les assumer, on peut pas choisir la tournure des événements mais on peut les surmonté, on ne peut pas choisir les épreuves mais on peut réussir à les faire disparaitre, on ne peut pas choisir son avenir juste une partie mais on peut faire ses choix. Je continue et sors de la fôret et me retrouve dans le parc, je vois sur un banc un plus loin de moi quelqu'un pleurer, j me rapproche pour mieux voir son visage à cause de la luminosité, le visage se relève surement à l'entante de mes pas sur les brindilles, c'est Harry avec son si magnifique visage qui est décomposer, meurtri, détruit mais il est toujours aussi magnifique malgré ça. Il me regarde et cligne de ses yeux bouffis par les larmes, je pense qu'il me reconnaît mais pas Emilie non Amélie, c'est Amélie qu'il doit reconnaitre, j'en ai la certitude maintenant qu'il crie avec une voix tremblante en courant vers moi
-Amélié? Amélié! Amélie! Amélie!
Je ne réponds pas et cours dans la direction opposée suivis de Harry qui me cours après en criant mon ancien nom. Il me reconnaît dans la faible luminosité mais pas dans la lumière pleine, il est m'éttonerra toujours ce gas, il est pas normal je pense. Je cours à toute vitesse essayant de semer Harry qui décidément à choisi de ne pas ma lacher d'une semelle. Je perds mon souffle mais ne m'arrête pas, il ne faut pas qu'il me rattrape et découvre que c'est moi, je ne dois pas être démasquer. J'accèlère l'allure de mes pas frappant le sol, ceux de Harry accèlèrent automatiquement après les miens, je prends peur et l'adrelaline s'empare de mon corps et me fait avancer encore plsu vite, Harry a du mal à me suivre maintenant, je vais réussir à le semer. Sauf que je me pète la figure au sol, le sol sa fait mal, très mal. La distance qui me sépare d'Harry se réduit petit à petit, il me rattrape, je me relève en quadruple vitesse te me remet à courir de plus belle. Je reréussi à le semer, il est à bout de souffle et ralenti et fini par s'arrêter mais je continue toujours, ce n'est pas une raison de m'arrêter, je dois lui échapper et ne pas retomber dans ses bras et perdre tout ce que j'ai déjà réussi à faire, la liberté m'attends et je dois l'atteindre. Je cours sans aucune pause, je cours toujours à la même vitesse, je me retourne mais ne le vois plus, je cours en direction de la gare pour reprendre mon train. J'arrive à la gare et lache un soupir de satisfaction, je suis fier de l'avoir semer, qu'il ai eu à peine le temps de voir mon visage. Je passe tous ces contrôles sans aucun problème. Dans le train, je m'asseois et des paroles de chansons me viennent, je prends mon journal et les écrit et l'inspiration ordonne à mon cerveau d'écrire avec mes mains la nouvelle chanson qui petit à petit devient une chanson avec des couplets et des refrains fait de phrase fermer par des virgules qui en les assemnblants certaines ensembles doivent faire des rimes. Les paroles me viennent naturellement, je ne dois pas chercher ni réfléchir, elle viennent comme ça et s'inscrivent sur la feuille de papier accroché par des attaches à mon cahier. L'inspiration sa me connait parfois je l'ai comme là maintenant et parfois elle est aux abbonées absentes. J'écris dans ce petit journal qui à partir de maintenant va garder mes paroles, mes chansons, ma vie, mes sentiments, mes impressions, mes secrets, ce que j'ai déjà vécu et ce que je vivrais encore, il connaîtra mon futur comme mon passé ainsi que mon présent. J'inscris après avoir écrit ma petite chanson "Mon endroit préféré, il va ma manquer, son calme va me manquer, j'aimerais y vivre jusqu'a ma mort, jusqu'a ce que la vie m'emporte dans un autre monde, jusqu'a ce que la mort m'emène vers ma tombe. Je ne connais pas meilleur endroit pour me calmer, je ne l'ai jamais dit à personne où il se trouvait et de toute façon c'est mieux comme ça parce que personne ne viendrait me dérangé et donc je pourrais respiré, réfléchir, vider mon esprit, reposer mon âme, réconforter mon coeur blesser et fissurer de partout, penser à autre chose, admirer la vue, sourire pour de vrai, rire sans qu'il soit faux, faire la folle sans mauvais regard sur moi, patoger dans l'eau du ruisseau, regarder les animaux vivre leurs vies, je ne connais pas meilleur sensation de bonheur que c'est endroit. Quand je suis sortie dans ce lieu perdue sauf pour moi, j'ai vue Harry en larme et complétement détruit sur un banc, mes pas ont fait du bruit et il c'est retourné. Il m'a reconnu malgré le peu de lumière, je ne voulais pas le revoir ou plutôt je ne pouvais pas le revoir, je le voulais mais tout les efforts fournis, tout ce qu ej'ai fait depuis ma fugue serait anéanti alors je ne pouvais. Je l'ai semer fier de moi et à la fois triste de ne pas pouvoir lui faire un calîn pour le réconforter, ne pas pouvoir lui dire que je suis là et que je ne l'abandonnerais plus jamais... La passion et l'amour peuvent détruire ou rassembler deux personnes, elles nous ont rassemblés mais maintenant elles nous détruisent. Je ne sais pas si je vais savoir tenir longtemps mais je dois, je dois pour Marie, je dois pour Leila, je dois pour moi. Ma vie j'aimerais en changé des parties, j'aimerais en effacés, j'aimerais en rajouter mais il faut faire avec. Il faut se contenter de ce qu'on a parce que à force d'essayer d'avoir plus on peux avoir moins et peu importe la fin, on ne fini peut-être pas heureux; Le couronnement de la vie change à seconde, à chaque actes, à chaque gestes, à chaque pensées, à chaque phrases prononcées, à chaque pas sur le sol, à chaque mots retenu, à chaque mouvements, on ne choisi pas la fin mais on peut toujours essayer de faire devenir meilleure mais à quels prix? Au prix de perdre des perspnnes proches, au prix de se faire détester, au prix de se faire encore plus aimer, au prix de ne pas aussi heureux qu'on le souhaitait, mais jamais on ne seras aussi heureux qu'on le souhaitait, jamais. Quand on est heureux, il y a toujours un événement qui viens tous gâcher, tout détruire, détruire tout ce qu'on a réussi à construire. La vie ne nous laisseras jamais la paix, elle a son cours et il fait le suivres et ne pas se perdre en cours de route, il faut s'entre aider, avancer avec les bonnes personnes autour de soi ou seule, comme la vie l'aura décidé. L'avenir change à chaque seconde, on ne peut jamais être certain de ce qui va arriver, on ne peut jamais se douter de ce qui va nous arriver dans quelques secondes, personnes ne sait rien mais personne ne sait tout. On sais juste une chose c'est que la vie nous donne des millions de possiblitées de finir heureux, il faut juste savoir les attraper au bon moment. Les blessures de la vie ne sont que superficiels face à la douleur éprouver à l'intérieur, ne sont rien face à l'attachement envers deux personnes, ne sont rien face à la perte d'une personne, ne sont rien face aux réels problèmes de la vie. On a deux possibilitées, la première vivre heureux à l'extérieur mais pas à l'intérieur, la deuxième vivre heureux à l'intérieur mais pas à l'extérieur. Nous essayons tous d'être heureux, de vivre le mieux possible, de connaître la joie, de ne plsu se soucier de rien mais ce n'est pas en essayant de l'atteindre qu'elle nous échappe? Ce n'est pas en essayant de la connaître qu'on ni arrive pas? Ce n'est pas en lui accordant trop d'importance qu'elle ne se présente jamais? Ce n'est pas en ne se souciant pas de la connaître que pour finir on vit heureux? Ce n'est pas tout simplement vivre qui doit nous rendre heureux? Ce n'est pas tout simplement en vivant chaque moment comme il le faut qu'on rencontre le bonheur? Ce n'est pas tout simplement en la laissant venir et repartir sans rogner qu'elle s'installe en nous pour toujours? Tellement de questions qui sont sans réponses et tellement de réponses sans questions. Le monde d'aujourd'hui ets un monde pourri sans image fait que d'apparence. Mais savons-nous au moins que derrière cette tête ce cache peut-être la personne qui nous feras sonnaître le bonheur? Savons-nous qu'en la critiquant nous somme peut-être entrain de détruire une personne au grand coeur? Savons-nous au moins qu'en critiquant une personne, elle a une personnalité peut-être meilleure que la notre caché derrière ce visage? Nous ne pouvons rien du visage qu'on a, mais on oublie que les visages ne sont qu'un masque, qu'un masque pour cacher notre personnalité. Les apparences sont trompeuses, on a peur des autres, on a peur d'être déçus par les autres, on a peur de souffirr, on a peur tout simplement de ce qu'on ne connait pas. On est jaloux de ce que les autres ont et pas nous, on est jaloux que les autres connaissent le bonheur et pas nous alors nous voulons leur gâcher leur bonheur mais est-ce que c'est comme qu'il viendra? Est-ce que le bonheur viendra en détruisant celui des autres? Tous ce que nous détruisont nous empêche de connaître le bonheur, mais le bonheur c'est quoi? C'est la joie de vivre avec une personne qu'on aime, le partage, les découvertes, les situations qui nous en apprends plus sur nous même et sur les épreuves qu'on devra enduré. Le bonheur ne vient pas pour ceux qui reste assis par terre, il faut se battre et épuisé toute ces forces pour l'avoir et pouvoir enfin le connaître et se reposer. Le bonheur le connaîtrons-nous un jour? Le connaissons-nous pas tous les jours? Quand serons-nous si on est heureux? Comment savoir si le bonheur est en nous? Comment savoir si la joie explose en nous mais ne sors pas? Pourquoi poson-nous autant de questions dans notre vie? Pourquoi nous bloquons-nous à cause des moments passés? Pourquoi nous arrêtons-nous d'avancer quand nous connaissons une embûche? Pourquoi critiquenons-nous? Pourquoi est-ce qu'on essaye de bloquer les autres pour y arriver avant eux au lieu de nosu occuper de nous? Pourquoi la vie est-elle faite de questions et de réponses? Pourquoi avons-nous si peur de grandir? Pourquoi la vie nous submèrge et nous laisse avec une avalanche d'embrouilles? Pourquoi la distance nous sépare-t-elle? Pourquoi chaque personne finie-t-elle par partir? Pourquoi un jour ou l'autre chaque personne ou presque nous déçoit? Pourquoi n'oublions-nous pas quand quelqu'un nous fait du mal? Pourquoi avons-nous si dure à oublier? Pourquoi retenons-nous surtout les mauvaises passes? Pourquoi les bons souvenirs sont si rares? Pourquoi tant de choses et si peu? Nous nous rassurons à nous dire qu'on connaîtra un jour le bonheur, qu'on si rapproche petit à petit, qu'il est à portée de main, qu'il n'est pas si loin, qu'on va y arriver. La nuit est faite pour dormir et le jour pour vivre, la nuit est faite pour se reposer de la journée qu'on vien de vivre et le jour pour vivre cette journée qui va nous fatigué, la nuit est faite pour rêver et le jour pour réaliser ce rêve. Nous finissons un jour ou l'autre par perdre les personnes qui étaient avec nous depuis le début, chaque personne va finir par nous abandonner ou va devoir se séparé de nous. Dans la vie, il faut faire les bons choix et après les assumer. Il ne faut pas transformer sa peau en feuille, il ne faut la taillader de tout les côtés, à chaque trace qu'on s'inflige sur le bras c'est une seconde qu'on perd de notre vie et qu'on pourrait en profiter. Nous sommes de plus en plus à vouloir connaître la mort parce que la douleur est trop grande mais derrière nous on laisse des personnes qui nous aime, on laisse des personnes qui souriaient tout les jours grâce à nous, des personnes qui ne nous auraient jamais laisser tomber qu'importe la situation, des personnes qui ne partaient pas de ce monde parce qu'on était encore en vie, des personnes qui ne rêvaient que de nous voir sourire et rire toute la journée, des personnes qui étaient dans notre coeur et des personnes où ont est une partie de le coeur. La douleur, on la tous un jour connu mais combine la connaisse tous les jours? Pas beaucoup qui connaisse la vraie douleur. Je connais la peur, la peur qu'on me reconnaisse, je vis dans la peur de me faire démasquer, je dois vivre cacher dans l'ombre. Je ne suis pas ce genre de fille qui a besoin de l'attention de tout le monde, je n'ai pas besoin que tout le monde me connaisse, je n'ai pas besoin d'être "populaire", je n'ai pas besoin d'avoir que des faux-culs autour de moi, j'ai juste besoin d'avoir des personnes ne qui je peux faire réellement confiance, des personnes qui ne me crache pas dessus dans mon dos, des personnes qui ne m'abandonneront jamais et des personnes dans ce genre là, j'en ai vraiment besoin pour le moment. Il est difficile de se rassurer quand tous va mal, il est difficile d'accepter que c'est la vie quand on va mal, tellement de chose que nous n'acceptons pas ou n'assumons pas tous simplement parce que c'est la pure et simple vérité. Je n'ai pas besoin de la pitié des gens, je n'ai pas besoin qu'il s'en veule de ce qui m'arrive, la fugue c'est mon choix et celui de personne d'autre, c'est ma responsabilité et c'est mes erreurs les conséquences qui s'enchaînent par la suite. Je ne veux personne qui soit sur mon dos 24 heures sur 24 et me dit quoi faire. Je veux la liberté, je veux avoir la liberté tel un oiseau dans le ciel, tel un écureil dans la fôret, tel un lion dans la savane, tel un coeur qui bat, tel la liberté en elle-même. Je suis le genre de personne qui te donne ta confiance mais que si tu la perds, tu la perds pour toujours ou tu as réussis à la récupérée avec beaucoup de chance. Je suis le genre de fille qui n'essaye pas de se faire remarquer par les mecs dans la rue. Je ne suis pas ce genre de fille qui va commencre a te critiquer sans te connaitre. Je ne suis pas ce genre de fille qui va crier des secrets sur tout les toits, si on me confie des secrets, je les garde pour moi. Je n'aime pas les personnes qui font leur chefs, qui traitent les autres comme des chiens. Je ne me laisse pas faire, je n'aime pas qu'on me considère comme un chien, je suis une humaine pas un animal. Je ne me laisse pas manipuler, je n'aime pas qu'on me prenne pour une poupée et encore moins pour une poupée Barbie. Je n'aime pas qu'on s'en prenne aux personnes que j'aime, je suis très protectrice. La vie a beaucoup de bien à donner mais aussi du mal. Il n'y a pas de moment de joie sans ensuite un mauvais moment. Je n'ai pas envie de donner tout mon espoir qu'un jour, je trouverais le prince charmant, qu'un jour j'aurai une vie parfaite, qu'un jour je connaitrai la vraie joie, qu'un jour je me marierai et que j'aurai des enfants, qu'un jour toute mes erreurs seront pardonnées, qu'un jour la vie me sourira, qu'un jour il y aura la paix dans mon esprit, qu'un jour je ne souffres plus, qu'un jour tout ceci s'arrête, qu'un jour le mal fera partie de mon passé, qu'un jour ma vie se finira heureuse. Je ne regrette pas d'avoir vécu tout ce que j'ai déjà vécu, je ne regrette aucun de mes choix, je ne regrette aucun moments, je ne regrette pas un seul de mes pas, je ne regrette aucune de mes déscisions, je ne regrette rien. C'est ma vie et j'en fait ce que je veux tant que je ne la détruit pas en ne fesant que des conneries et en m'enfournant que dans des galères. Je prend ma vie très à coeur, j'y tiens c'est tout, c'est ma vie et on n'en a qu'une. La longueur de la vie n'est pas déterminé, elle change à chaque seconde, à chaque geste, à chaque parole, à chaques pensée, à chaque sourire, à chaque rire, à chaque larme, à chaque émotion, à chaque sentiment, à chaque regard, à chaque rencontre, à chaque amitié, à chaque amour, à chaque changement, à chaque moment, à chaque pas, à chaque conséquence, à chaque problème, à chaque mot écrit, à chaque moment profité, à chaque moment non profité, le déroulement de la vie change tout le temps, le destin est comme inexstant mais pourtant il est parce que certaines rencontres on ne peut pas les évitées dans la vie, elles sont là et on ne peut pas y échappées, elles sont là pour nous faire comprendre que certaines choses ne doivent pas être faite, que on peut se passer de certaines, que ce n'est qu'une erreur et qu'il faut avancer en la laissant derière nous et d'autres personnes osnt là pour nous apprendre qu'on ne peut pas vivre sans eux, qu'ils nous apprenent les bons gestes, qu'ils nous apprennent à être une personne meuilleure, ils nous apprennent que la découverte on ne doit pas en avoir peur, ils nous apprennent à conaître les autres, ils nous apprennent que la vie à ses qualitées et ses défauts comme un humain et donc qu'il faut vivvre avec ces défauts et ces qualitées. On doit profité de l'instant, on doit profité de chaque seconde. La vie nous encourage à rester forts qu'importe les événements, à rester honnête avec nous-même et les autres peut importe la situation, à rester vigilent avec les rencontres qu'on fait, à rester nous-même peut importe qui on a devant soi, à grandir et devenir mature face aux problèmes, à réagir de la bonne manière face aux conséquences, à apprendre de ses fautes, à ne pas faire attention aux jugements des autres, à rester sincère face à la personne avec qui on parle, à aimé la vie telle qu'elle est, à profité de la vie, à vivre le jour pour le jour parce quo'n ne sait jamais quand elle se termine. On ne connaît jamais les conséquences à l'avance, personne ne sait ce qui va se passer dans sa vie avant qu'elle ne se passe. Chaque seconde est un défis. Vivre est un choix, survire est un autre. Dans la vie, il ne faut pas rester sérieux à chaque seconde, il faut aussi déconné, s'amuser, retomber en enfance, faire les fous, déliré, s'éclater. La vie est aussi faite pour se promener, voyager, découvrir des lieux et des paysages, sortir, ne rien remettre au lendemain, sa balader, respirer, explorer, partir vers de nouveaux horizons. La vie est à sens unique, il n'y a jamais de haut sans avoir de bas, il n'y jamais de bien sans de mauvais mais il n'y en a toujours qu'une seule de vie, une seule et unique vie pas parfaite"
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Merde littéraire
Teen FictionMélange de merde littéraire, tous les écrits sont de moi, c’est pour cela que je me permets de dire que c’est de la merde. Respectez-là comme même. ©Copyright 2013-2014-2015 ©CrazyWildUnicorn #ML pour le travail sur Twitter