Merde littéraire

0.2.5 Chapitre 5 #IAmOnlyHappyWithYou

Mia: Tu viens manger, les pizzas sont arrivées. Désolé mais j'ai fait cramer ce que je voulais cuire alors j'ai commandée des pizzas. Ne m'en veux pas trop. La prochaine fois, je penses que je te laisserais cuisiner...Tu viens manger...
A l'entente des mots de Mia, je souris. Je souriais pour de vrai et ça faisait du bien. Après les larmes, un sourire fait le plus grand bien. Je n'ai jamais su a quel point je pouvais être forte devant la douleur et la tristesse jusqu'au jour où j'y ais été confortée. Je déteste me rappeler de cet étape, de cet période de mon existence. Je déteste tout simplement en connaître l'existence. Je l'ais vécue et je préfères je ne l'avoir jamais connue. Cette partie de mon passé est mon pire cauchemar. Cette partie a fait que pendant longtemps je me suis renfermée sur moi-même, je ne souriais plus, je faisais semblant et la seule personne qui pouvait voir que c'était un faux sourire est...était absente. Je préfères me dire qu'elle était absente que de m'avouer la vérité. Pour moi elle est quelque part à me chercher. Pour moi rien ne c'est passé. Pour moi rien n'a réellement exister. Pour moi ce n'était qu'un cauchemar. Dans cette période de ma vie, je ne faisais plus la différence entre cauchemar et réalité, les deux étaient liés nuit et jour. Chaque secondes de ma vie étaient un enfer. Maintenant cet enfer est loin caché derrière moi. Il est enfuit au plus profond de moi, de mes entrailles en espérant un jour resurgir pour me détruire une nouvelle fois parce je serais impuissante et moi de mon côtés je rêves juste qu'il s'échappe de moi et de mon coeur a tout jamais. Je n'espère qu'une chose ce n'est pas oublier parce qu'il y a une partie de moi qui sait très bien que je ne saurais jamais oubliée mais juste acceptée. J'aimerais accepté ce qui est arrivé mais malgré toute ses années, je n'ais fait que fuir pour ne pas a avoir a faire face et assumer. J'avais peur, j'étais seule, je ne pouvais rien faire. J'ai enfuit ça en moi avec comme espoir un jour de ne plus jamais avoir ce poids en moi. J'espère avoir un sauveur. Ce ne fut pas un sauveur mais une sauveuse. Ashley. C'est la seule qui m'a comprise. La seule qui a compatit avec moi. La seule qui est restée. La seule qui en sait pas retourner contre moi. Je sortie de mon lit avec une légère boule a l'estomac d'avoir repenser a ça. Je m'assis sur le rebord de mon lit et secoua la tête comme pour oublier toute ces pensées négatives. Je finie par me redresser et me retrouver debout. Je fus prise d'un vertige. Je me retiens a mon lit du bout des cinq doigts de ma main gauche. Je repris équilibre et marcha jusqu'à la cuisine. Dans le couloir je sentais déjà l'odeur qui humait des pizzas. Moi qui adore les pizzas. La pizza est mon plat préféré. Je pourrais mangée des pizza presque tout les jours. Je me retrouva dans le salon. Je vis les pizza sur la table basse devant la télévision. Je regarda autour de moi pour voir si il n'y avait personne comme par réflexe. A la maison, enfin mon ancien chez moi, on ne pouvait pas manger de pizza devant la télévision. On ne pouvait rien manger devant la télévision, ni dans les chambres, ni dans la salle de bain, ni nul part sauf a table. Les gourmandises ou voler de la nourriture en cachette la nuit ou pour la nuit était sévèrement puni. J'ai essayé une fois et puis je n'ais plus jamais essayé. J'ai essayé une autre fois après de manger dans le jardin, un jour d'été où il faisait extrémement chaud, je me suis faite choper et j'en ais baver. Toute les tâches ménagères de la maison pendant deux jours. Je ne fus pas de tout repos surtout mes parents faisaient exprès de faire des tâches sur le sol et que mon petit frère n'avait que 1 ans et il vomissait partout à ce temps là. Plus jamais j'ai essayé de manger quoi que ce soit autre part que dans la cuisine, sur la table, même pas devant le frigo. Je me posa à côté d'elle. On se regarda et puis sauta chacune sur nos pizzas. On les dévora. Je penses que elle et moi niveau pizza, sa sera la guerre pour avoir le dernier morceau. Heureusement pour elle, on avait chacune notre pizza. Quand il reste un seul bout de pizza et que je doit me battre avec quelqu'un pour l'avoir, je ne réponds plus de mes actes. Je suis une grande mangeuse pizza et quand il s'agit de pizza plus rien ne me retiens. Nous finissons chacune de manger après nous nous rendons chacune dans notre chambre et nous nous mettons en pyjama et nous nous rejoignons dans le salon, sur le canapé. Elle me regarde avec intensité. Je suis assez perturbée. Je suis aussi assez gênée. J'ai l'impression d'avoir quelque chose sur le nez. Le silence est a son comble et elle le brise de sa petite voix qui se veut rassurante et qu'il l'est.
Mia: Je sais que tu vas mal. Dis-moi ce qui se passe, tu sais que tu peux tout me dire...
Je saute dans ses bras et me mets a pleurer quelques chaudes larmes. Après ces quelques grosses larmes, je me dégage de son emprise qui au fur et à mesure était née.
Mia: Tu peux me dire, tu sais...
Moi: Ma famille ma manque même si elle n'est pas de tout repos et qu'elle assez énervante aussi...
Mia: Ne t'inquiète pas mais je suis sûre que ce n'est pas tout...
Moi: Comment tu sais...?
Mia: Je le vois dans ton regard que c'est quelque chose de plus important et que depuis longtemps le renfoule et n'en parle avec personne...
Moi: Tu as raison...Je peux te le dire....?
Mia: Bien sûre, je ne vais pas te manger surtout que je n'ais plus très faim avec la pizza que je viens de manger...
Je ria légèrement. Je repris directement mon sérieux quand son regard et son air sérieux pris la place a celui de rieur.
Moi: J'ai perdue ma meilleure amie quand j'avais 12 ans. Elle c'est...C'est suicidée. Je n'ai rien pu faire pour elle. Je n'ai rien pu faire pour la retenir. J'étais terriblement seule. J'étais effondrée. On était trois dans notre petit groupe. A sa mort il c'est divisé. Puis un jour une fille est venue vers moi. Ashley. Elle m'a sauvée du pétrint dans lequel j'étais. Elle m'a remis sur pied. Elle m'a enfin refaits sourire. On partageait tout, on partage tout et j'espère quo'n partagera encore ensemble beaucoup de chose malgré la distance. L'autre amie de notre clan est partie elle aussi. Elle a changée d'amie. Ces amies si je peux dire, la traitait comme un chien, une bonne. Elle en a eu marre et elle a aussi mit fin a ses jours. Je l'avais pourtant prévenue mais elle ne m'a pas écoutée et voilà a quoi elle c'est rendue. Au suicide. Je n'ais jamais aimer en parler et je n'aimerais jamais. Lucia comme s'appelait ma meilleure amie était proche de Ashley. Elle avait demandée a Ashley de veillée sur moi quand elle sera partie. Elle le lui a dit au téléphone, un soir. Le lendemain on apprit qu'elle était partie dans le monde du dessus. Elle avait fin a sa vie deux heures après l'appel émit avec Ashley...je m'en rappelerais toujours. Jamais je n'oublierais. Elle est partie trop vite. Jenna, la deuxième a partir aussi est partie trop vite. Maintenant elle se sont rejointe toute les deux là-haut a attendre que je les rejoigne le plus tard possible elles doivent espéré et moi le plus tôt possible. Je ne veux pas mourir, je veux vivre pour elle et pour Ashley mais je veux aussi que cette horreur se finisse. Que cette pourriture qu'est la mort, m'ouvre ces bras et m'arrache ma vie ainsi que tout mes souvenirs, tout mes sourires et laisse mes larmes pour ceux qui sont encore en vie pour pleurer ma mort...Je haïs cette garce qu'est la mort...Elle m'a enlevé toute les personne que j'aime une a une. J'espère juste que les dernières ne partiront pas trop vite...Je veux profiter d'elles avant que la mort fasse sa pute et m'enmène avec elle dans le noir de la fin de vie...
Mia: Waow...je ne sais pas trop quoi dire...Ne t'inquiète pas ça va aller....Tu as une idée assez précise sur la mort...Je ne penses pas qu'elle doit beaucoup aimer...Ha oui j'espère que ça va te remonter le moral mais les voisins et mon copain viennent manger demain....
Moi: D'accord...Je suis assez fatiguée et soulagée d'avoir lâché ce poids qui me trainait dans l'estomac depuis toute ses années...Je vais aller me coucher...Bonne nuit...
Mia: Bonne nuit, fais de beau rêve...
Je partie dans ma chambre. Je m'écroula sur mon matelas mouelleux comme un nuage. Un vrai paradis ce lit. Je m'enmitoufla dans ma couette. Je m'endormie presque immédiatement.
Je me réveillais le lendemain avec une musique qui vibrait dans mes oreilles jusqu'à me procurer un mal de tête. Je sortie de mon lit et entra dans la cuisine. Mia était, elle, entrain de danser dans la cuisine avec la musique a fond. Je la regarda abasourdie encore un peu endormie.
Moi: Tu es entrain de faire quoi au juste...Tu danses ou tu as une araignée dans le short...?
Elle se retourna vers moi et me regarda surprise. Je souris immédiatement quand je vis sa tête devenir rouge pivoine de honte. Je finie par la rejoindre sur la piste de danse qui n'est qu'autre que l'espace entre le frigo et la table où on est censée manger si on était pas des jeunes adultes avide de bonheur, si on n'avait pas encore un esprit d'adolescent qui se fiche de tout dans notre tête, si on était des personnes civilisées et si on était un peu plus respectueuses. On n'est pas comme ça, on aime profiter alors profitons. Juste après cette séance de danse improvisée en faisait par la même occasion des crêpes dont est tombé par terre et une autre collée au plafond, nous partons nous laver parce que son petit ami arrive pour manger a midi. Après c'être laver, habiller, maquiller et coiffer nous mangeons nos crêpes devant des dessins animées comme des enfants de 6 ans.
(Ma tenue: http://www.polyvore.com/tenue/set?id=118496922 ) Nous finissons de manger nos crêpes préparer par nos soins de cuisinière assez peu compétente dans la matière et rangeons nos assiètes dans le lave-vaisselle. Après ceci nous préparons le dîner pour le repas de ce midi. Nous venons a peine de finir que la sonnette retentit. Je pars donc ouvrir après avoir sécher mes mains. Je pose ma main sur la poignée de la porte. Je l'ouvre et vis ce jeune homme que j'avais vie hier. Il me reconnu et me sourit. Je fis de même et le laissa embrasser sa copine. C'est ce qu'il fit et fougeusement en plus. Ca avait de quoi me rendre mal à l'aise parce j'étais là a les regarder alors que je suis célibataire et que j'aimerais bien le faire la même chose avec un garçon mais je ne vais surement jamais le revoir. Le copain de Mia n'est autre que...