2.8.2 Chapitre 2 #SmileForMe

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Des millions de questions me trotent dans la tête. Je connais que son nom et il a envit mes pensées et ma tête. Je n'arrive pas l'en sortir. Il m'a envahit. Je ne sais que faire de lui. Je le connais à peine. Le seul bout de sa vie que je connais c'est son nom même pas son nom de famille. Il ne me connaissait pas et voulait me venir en aide et m'invité à boir quelque chose sans idée derrière la tête comme la plupart des garçons avec moi. Je les rembaré alors qu'il ne me voulait pas de mal. Je prouves encore une fois que je suis une incapable. Il faudrat que je changes raiment cette partie de moi avant après demain. Je vais réussir mon pari, je vais tenir la promesse que je me suis faite, je vais tenir la promesse que j'ai faits à mon petit frère. Je rentres chez moi. J'essaye d'ouvrir la porte mais elle ets fermée à clé comme je ne les ai pas encore, je sonne. Personne, je resonne toujours rien. Ils sont partit pendant que j'étais dehors. Je fais le tour en secaladant la petite barrière qui cache le jardin et me retrouve dans le jardin. Je marches sur la pelouse. La baie-vitrée est fermée, toute les fenêtres sont fermées, je ne peux même pas espérée montée jusqu'à l'étage surtout que je n'y arriverais pas déjà à la base. Je ne suis pas une grand escaladeuse. Je ne suis pas prête de devenir alpiniste. Ce n'est pas un métier ou un sensation forte pour moi. Je ré escalade la barrière. Je reprends ma petite visite du village. Dans ma tête deux personnes occupent mes pensées. Mon petit frère et ce certain Harry. Depuis tout à l'heure il ne l'a pas quitté une seconde. J'ai l'impression de l'avoir dans la peau. Ce n'est pas le moment de devenir amoureuse ou quoi que se soit dans le genre. Je dois pensée avant tout à moi et à mon chengement. Je ne retournes pas dans le parc de peur de le recroisé surement. Je me balades dans les rues et m'arrête dans un petit café. Je suis une grande sportive donc ce n'est pas de la fatigue mais de l'envie. Je n'ai pas d'argent. J'ai juste mon téléphone avec de a musique depuis toute à l'heure. Quand j'ai quittée Harry, j'ai mis ma playlist des chansons tristes. Je suis comme ça, à écoutée des chansons quand je le suis, je me déprime encore plus mais pour une fois cela n'arrive pas. Harry est trop présent dans ma tête qu'il y a très peu d'idée noire et de pensées sombres et tristes qui prennent possession de ma tête. Je m'assoies à une table au hasard. Une serveuse me demande ce que je voudrais mais je lui dits que je ne veux rien pour l'instant et que je vais bientôt partir. Elle me sourit en guise de réponse et repart dans la même direction qu'elle est arrivée. Je vois Harry entré dans le café. Je me cache derrière un menu et fais comme si de rien n'était. Je ne suis pas très discrète mais cela marche parce qu'après avoir le tour de la salle du regard, il se dirige vers una table à l'opposé de la mienne. Je vérifie qu'il se soit assit et quand il fut assit, je partis presque en courant. Auncun faux pas mais une course difficile. Aucune fausse note mais une symphonie déviante. Changement d'air, changement d'esprit. Changement, je suis avide de changement et de découverte. Je ne savais pas que en un regard on puisse avoir une personne encrée dans notre tête. Je l'ignorais. Je croyais que ce n'était que des fouteses, des choses inventés par les autres mais c'est vrai. Il est dans mon ceveau, en un moment, en l'espace d'un instant, d'un sourire rassurant, d'un geste doux, d'un moment. En l'espace de si peu de chose il est gravé dans ma tête alors que je ne connais rien de lui. Je ne sais même pas où il habite ou n'importe quelle autre chose. Je l'évite en plus. J'ai un peu honte qu'il m'ait vu pleurée même si versée quelques larmes est quelques de naturels et d'humains. Il me trotte dans la tête comme une chanson mise en boucle. Il me trotte dans la tête comme une chanson mise en boucle. Je ne sais pas si un jour il en sortira. Il est si mystérieux, si séduisant, si magnifique, si charmant, si rassurant, si doux, si tendre, si amicale, si sociale, si affectueux, si respectueux, si persévérant, si insistant. Je suis dans la village. Je retourne dans le parc. Je ne m'assoies pas sur un banc et continue mon chemin. Je m'enfonce dans les arbres, dans la forêt. Il y a un petit chemin, mal entretenu, avec quelques graviers et de la terre. Il y a un renfoncement dans les arbres. Je passe dans les feuilles, j'écartes des branches. Je suis dans un ravier, une petite descente un peu raide. Je la descends rapidement, presque en courant. Je suis entre les arbres. On entend presque rien de l'extérieur. Le bruit des voitures, des personnes. Plus rien c'est comme si le monde était mort, dépeuplé. C'est si apaisant. Les chants des oiseaux, les écureuils et autres animaux comme les lapins qui passent de les parages. La nature est magnifique. C'est un magnifique moment que je vis. Serais-ce ça le bonheur? Est-ce que je suis heureuse en ce moment même? Je n'en sais rien mais je sais que je suis bien. J'y suis parfaitement bien, loin de tout, prendre du recul c'est parfait. Cet endroit est parfait pour faire le point. Je suis comme bercée par la vie alors qu'elle me détruisait. J'ai l'impression que la vie me souries enfin. Je connais le bonheur, enfin je crois. Je ne suis pas sûre mais peut m'importe pour le moment parce que je suis si bien, si calme, si apaisée, si rassurée, sans idée sombre encombrant mes pensées. Ma tête est envahie de pensée positive, de merveilleux souvenirs, de moments d'intenses bon sens. Je vois le bon côté partout. Je vois clair partout. Je le sens a l'abri en sécurité. L'image de cet étrange garçon du nom d'Harry le revient dans la tête. Pendant l'espace d'un instant il était sortit de les pensées. Je ne savais pas que quelqu'un avait le pouvoir d'autant vous occupé l'esprit. Il l'a comme prit en otage. Mon esprit et mon coeur lui appartient mais lui ni moi ne le sait. Personne ne le sait a par mon coeur et le ciel. Personne ne le saura pour l'instant. Un jour je l'apprendrais, lui aussi mais pour l'instant nous baignons tout les deux dans l'ignorance de nous sentiments. J'écoute la nature et son son paradisiaque.

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Je n'ai que jusque là pour cette fiction, je suis désolée. Je n'ai même pas retrouver le prologue.

Merde littéraireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant