0.2.18 Chapitre 18 #IAmOnlyHappyWithYou

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 ?: Coucou. C’est Mia. Je ne sais pas ce qu’il se passe à l’intérieur de toi. C’est peut-être la tempête. Je ne sais même pas si tu m’entends, si cela se trouve je parle dans le vide, je parle à un mur. J’aimerais que tu puisses m’entendre ou au moins me donner un signe positif. Je ne cherche que ça. Je ne suis pas la seule mal ou détruite par tout ça. Niall aussi est mal tu sais. Il s’en veut pour tout ce qui est arrivé. Il est déjà venu. Il espère, de tout son cœur, que tout aille mieux, que tu t’en remettes rapidement. Tu sais, je pense qu’il a un petit faible pour toi. Je ne le pense pas seulement, je le confirme. Tu sais, il est mal, il est amoureux, on ne peut pas lui en vouloir de t’aimer. Je t’aime aussi, mais c’est loin d’être de la même façon que lui. Tu sais, ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre quelqu’un comme toi. Loin de là. Tu es quelqu’un d’expectionnel, de laisse personne te convaincre du contraire. Tu es belle, et pleine de vie, même si tu as tes coins sombres. J’aimerais tellement te connaître un peu plus. Laisse-moi cette chance en te réveillant. Peut-être pas tout de suite, je ne veux pas que tu te forces pour moi, mais fais vite comme même. Pour toi. Pour moi. Mais surtout pour Niall. C’est celui qui est le plus mal dans une partie de cette histoire. Il ne le laisse pas paraître, mais il est sur le point de péter un câble. Il se sent plus qu’un incapable dans toute cette histoire. Il aimerait tellement, tout comme moi, te connaître un peu plus, savoir qui tu es dans telle ou telle circonstance. Je ne sais même où j’en suis. Si tu pars, je ne t’en voudrais pas, mais aussi, je t’en voudrais comme jamais. Une part de moi ne le pardonneras jamais, mais une autre voudrait tellement te dire qu’elle te le pardonne déjà. Essaye de me comprendre aussi, je me retrouve toute seule dans cet appartement. Il y a peut-être mon petit ami, ou les gars au dessus, mais il y aura jamais rien d’autre, jamais. Parce que tu ne seras pas là. C’est maintenant que tu es dans ce lit d’hôpital, que je me rends compte, qu’en faite, je me suis très vite attachée à toi. J’espère juste que je ne parle pas dans le vide, que je n’ai pas l’air conne à parlée à un corps, à une âme qui ne m’entends pas, qui ne m’écoute pas. Je me sens seule ici, mais aussi tellement accompagnée à la fois. Je n’en peux plus de te voir dans ce lit d’hôpital. Réveille-toi, merde !
Si je le pouvais, je le ferais, crois-moi. Et non, tu n’es pas folle, tu n’as pas l’air folle. Je t’entends. J’aimerais tellement comprendre ce qui se passe, mais je n’arrive pas à te le demander, comme si mon corps refusait de répondre aux demandes de mon cerveau. S’il te plaît, aide-moi. Je me sens comme enfermée dans un monde qui m’est inconnu. Viens-moi en aide, juste ça. Dis à Niall, qu’il peut vivre sans moi, je ne suis qu’une étape dans son chemin, une épave au milieu de la mer. Je suis le Titanic, pendant que lui est Jack. Je ne suis pas Rose, non, mais je suis aussi l’iceberg qui est venu tout gâché, comme à chaque fois. Le bonheur doit être gâcher. S’il te plaît, aide-moi. Je n’en peux plus d’être figée dans ce lit d’hôpital, avec toutes ces perfusions et aussi ce bruit insupportable qui indique les putains de battements de mon cœur. Sors-moi de là. Dis-moi que tu sais, je t’en pries, au lieu de te taire et de posée ce regard pesant sur mon corps souffrant le martyre pendant que ma tête tente de se raccrocher à quelque chose d’inaccessible. Aide-moi, je te demande que ça pour l’instant. Mais, moi je t’entends, mais toi pas. Encore quelque chose d’inaccessible. Se faire comprendre et entendre…
Mia : Je ne sais plus quoi te dire, mais je t’en pries, réveille-toi. Ce n’est plus la même chose sans toi. Au pire, tu fais ce que tu veux. C’est toi qui contrôle, c’est à toi que le pouvoir de vivre ou non appartient. Mais sache, que peu importe quel est ton choix, je serais avec toi, coûte que coûte. Ne m’en veux pas de repartir, mais j’en ais assez vue pour la journée.
Et elle est part… Je suis à nouveau seule avec moi-même et avec mon envie de criée au monde que rien ne va. Je suis seule avec cette envie qui me ronge du tout au tout. Et quand j’ouvrirais les yeux, je ne sais même pas si j’en aurais la possiblité, et lorsque je me réveillerais, parce que c’est ce qui va arriver, je vais pouvoir vivre à nouveau. Mais, je ne sais pas pouquoi, mais quelque chose me bloque. Niall. Pourquoi ne parle-t-il jamais lorsqu’il vient me rendre visite ? Surtout s’il m’aime ? Je ne comprends définitivement plus rien. Comme si mon cerveau était autant à la masse que mon corps, comme s’il était autant endommagé que lui. J’aimerais crevée, mais aussi vivre. Deux avis différents dans un même corps, dans une même tête « sans » corps. J’aimerais entendre sa voix, parce que je dois l’avouée, je ne pourrais pas le nier éternnellement, mais je l’aime, ce petit Niall, cet irlandais aux cheveux bruns teints en blonds. Ces petites yeux bleus si beaux et si purs que son âme. J’aimerais tant pouvoir lui parlée, mais je ne peux pas, je ne pourrais peut-être plus jamais. Je ne me rappeles plus la dernière fois que l’on c’est vu. Pourtant, j’aimerais bien. Je me souviens de son visage, mais rien de plus. Si seulement, les putain de yeux pouvaient s’ouvrir. J’aimerais tellement lui dire que je regrettes tout ce que j’ai bien pue lui dire, mais c’est trop tard. Je vais peut-être mourir, aujourd’hui, ou demain, ou dans trois ans, ou dans cinq ans, ici ou autre part, en Angleterre ou au Japon, ou sur un autre pays et continent. Niall… Si seulement tu savais le bordel que tu fous dans ma tête, si seulement tu pouvais le savoir, ne serais-ce qu’une petite bribe. Je suis seule dans ce lit d’hôpital, pendant que tu es, je ne sais où. J’aimerais tellement savoir où tu te trouves. Tellement. Sûrement mon côté possessif qui ressort. Je t’aime et j’ai été trop conne pour ne pas te le dire avant. Ma tête bourdonne, et toi, le seul qui arrive à me calmer, tu n’es même pas là. Tu es partis, sans même que je sache si tu es venu ou non. Je me sens si conne, comme jamais. Pourtant, je ne le suis pas. Je ne l’ais jamais été. Vraiment été, plutôt. J’ai due perdre tellement de sang, le jour où j’ai due me faire internée dans l’hôpital. La dernière chose dont je me rappelle, c’est le sang qui me sortait de ma tête. Ma famille n’est sûrement même pas au courant que je suis dans cet état-là. Comment elle pourrait savoir aussi ce qui se passe dans ma tête ? S’il n’y a que moi qui le sait. J’aimerais tellement avoir ma mère pour me réprimander sur ma relation amoureuse déffectueuse, pour me dire à quel point je suis pathétique. Je suis sûre qu’elle me réprimendrais au lieu de me donnée des conseils, comme elle le faisait depuis que je suis née. Surtout, qu’en plus, Niall est riche et célèbre, il a beaucoup d’influence. Cela, ce type de garçon, ma mère aime bien, même si elle s’en fout de qu’est la personne à l’intérieur. Moi, dans n’importe quelle circonstance, j’aime Niall, et personne d’autres. Peu importe qu’il peut être par rapport au monde, qu’il soit pauvre ou riche, célèbre ou méconnu, c’est Niall intérieur que j’aime et pas l’extérieur. J’aimerais tellement me réveillée…

Les heures passèrent, tellement lentement que c’étaient presque devenues des années. Les secondes ressemblaient à des semaines et les les minutes à des mois. Mais l’espoir est tellement grand que le réveil se fit comme même. Au plein milieu de la nuit, avec quelqu’un de très particulier à côté lors du réveil, assez difficile. Le soulagement. Mais l’inquitude sur le visage du jeune homme lorsqu’elle se réveilla. Il ne savait pas si elle allait le reconaître ou pas. Cela faisait longtemps qu’il savait qu’elle avait perdue une grande partie de sa mémoire, qu’elle était devenur amnésique à cause du choc. Il se posait tellement de question, mais elle c’était vite dissipée…

Moi : Niall… ?
Niall : Oui…
Moi : Je suis désolée…
Niall : De quoi ?
Moi : De ne pas te l’avoir dit plutôt…
Niall : Dit quoi ?
Moi : Je t’aime…Tu veux bien… M’embrasser ?

***
C'est le dernier chapitre.

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