C'est...Niall. Cela fait je ne sais combien d'appel qu'il me passe. Je ne réponds pas et enfui mon cellulaire dans la couverture pour etouffé le bruit. Je ne veux pas entendre sa voix même si j'essaye de me la remémorée. Mon cerveau refuse. Je suis sans coeur envers lui. Je n'ai aucune pitié. Il me pardonne en quelques sortes et je l'envois boulé. Je n'ai aucune tacte avec lui. Sa présence me fait sourire, me manque et je le nies. Monstre, voilà ce que je suis. Il m'appelle après ce que j'ai dit. Il veut mettre les choses au clair, je pense. Je ne veux pas, je ne peux pas. Mon âme est trop fragile. Si il m'appelle c'est qu'il n'a pas de sentiments, je le savais. Je n'ai pas été aveugle de pensée qu'il puisse m'aimé. Je suis assez anxieuse sur mon avenir. Je ne sais pas si je vais le vivre avec ou sans sa présence. Je dois m'y faire. Je dois faire ma vie sans lui comme si je ne l'avais jamais rencontré, comme avant. Le plus malheureux la dedans c'est que je vais devoir faire comme si il n'existait pas alors que mon coeur ne bat que pour lui. L'âme dégoûtée d'elle-même, j'inspecte mes mains pour m'occupée. Dans le noir se n'est pas trop ça. J'allume ma lampe de chevet, au passage je fais tombée mon cellulaire. Je saute dessus presque comme un tigre de zoo sur un gros morceaux de steak. Je tiends à mon téléphone. Ce n'est pas la première fois qu'il tombe. L'écran est fissuré. Mon téléphone est cassé, il ne marche plus. Maintenant, je suis bonne pour allée en rachetée un nouveau. Je suis une vrai maladroite. Je devrais apprendre à prendre soin de mes affaires. Je suis la pro pour faire tomber mes téléphones. Depuis que j'ai 12 ans, l'âge où j'ai reçues mon premier téléphone, j'en ai cassée au moins une dizaine. A 18 ans, je peux en rajoutée un sur la longue liste de téléphone cassé. Je pose mon portable sur la table de chevet. Maintenant je n'aurais plus la tentation de répondre à Niall. C'est bien en quelques sortes même si j'aurais pu juste l'éteindre mais c'est le vie. J'irais en racheté un demain. En espérant que je ne vais pas le cassé en route. J'ai des économies, je vais payée un nouveau téléphone avec. Je ne vais pas prendre le plus chère parce qu'il ne va pas duré longtemps, je le sens. Je me redresse et me tiens sur mes coudes. Je regarde ma chambre, magnifique, simple, comme moi sauf pour magnifique. Je ne m'aime pas ce n'est pas compliqué. La vie est injuste, elle donne tout à une personne et rien à une autre. Personne ne se retourne vers moi dans la rue, aucun garçon, il y a du bons et du mauvais. Le bon c'est que je ne suis pas mal à l'aise mais aussi que je ne suis pas prise pour une je ne sais quoi par les autres. le mauvais c'est que cela me donne l'impression qu'aucun homme ne m'aime, que je vais devoir vivre avec chat. Je ne veux pas finir seule. Trop de solitude dans ma vie que pour en rajouté. Je sors de mon lit, je sors ensuite de ma chambre pour finir par allée dans la cuisine prendre un verre d'eau. La gorge sèche, l'eau y déouline comme un torrent. Ma gorge rassaisié me fait moins mal. Je m'assoies sur une chaise du comptoir. Je pose les coudes sur la table etprends ma tête entre mes mains. Je vais devoir expliqué tout à Ashley sur le retournement de situation dans mon rapprochement avec Niall. Elle va me tuée, je le sens. Elle va me tuée avec les mots. Les coups superficiels face à la force des mots. Je me suis déjà bien rendue compte que les mots font plus de mal que de bien, que les mots font plus mal que les coups. Je l'ai appris. Je m'en suis déchirée moi-même. Je me détruite dans l'espoir que cela ce finisse. Me répété chaque phrase prononcée par les autres, soulignée dans ma tête les plus blessant et les dire et redire dans mon crâne. La souffrance, les insultes, le harcelement même en primaire cela fait déjà mal au coeur. Je ne connaissais pas le mot "suicide" ni "sucidaire", je n'en connaissais pas la signification pourtant je l'étais. A 7 ans, je voulais déjà quittée ce monde. A 7 ans, mon coeur en a bavé. Ce n'était que des enfants qui disaient ça mais cela qu'importe l'âge qu'ont les personens qui le disent et l'âge que tu peux avoir, certains mots font mal. Le coeur sérré, j'inspire de l'oxygène pour respiré. Je me calme, mon pouls bat plus fort que lors d'une crise cardiaque. Je me sens que je vais m'évanouir. Mourir? Non, ce n'est pas encore le moment. La vie est encore devant moi. Ou non? C'est trop de questions. Mon être a du mal a respiré. Je ne suis pas asmathique pourtant. "Je vivais au jour le jour jusqu'à ce que tu arrives, Niall, jusqu'à ce que tu fasses irruption dans ma vie. Tu l'as changé, tu m'as changé. Amoureuse et stupide voilà ce que je suis. Motre, voilà ce que je voudrais être. Espoir, voilà ce qui me tient encore debout. Amour, voilà se qui me retient sur terre. Les mots en sont que des mots mais je n'ai qu'un seul rêve entendre un "Je t'aime" de ta bouche pour moi. Un "Je t'aime" sincère comme les enfants. Un vrai "Je t'aime" et non un faux. Un simple "Je t'aime" qui changera ma vie à jamais. " J'aimerais tellement lui dire ça. Entendre sa voix me dire ses paroles si insignifiante. Ces paroles n'étant que de simples mots mais bien plus pour mon coeur. Mon coeur, j'aimerais pouvoir l'appellé comme ça. Il me manque à un point dingue. Je ne sais pas décrire mes sentiments pour lui juste qu'ils sont forts, très forts et que ce sont des sentiments amoureux. Je l'aime plus que je m'aime ce qui n'est pas très compliqué en soi. Je l'aime plus que le monde, je l'aime plus que mon propre monde. C'est mon monde. Je voudrais bien vivre ma vie avec lui. Je ne dirais pas non sauf maintenant. Je pars en vrille ce n'est pas possible. Je ne suis plus moi-même. Je perds la tête dans les deux sens du terme. Je ne me sens plus ni moi, ni mon corps, ni mes jambes. Je pars dans un monde noir, dans l'évanouissement. Je ne réagis pas, je suis prise d'un vertige. Je m'envole vers l'arrière et je m'étale. Je ne réagis toujours pas. Je restes sur le sol sans savoir bougée ni rien dire. J'ailerais criée de douleur. Les poumons en manguent d'air, j'inspire de grande boufée d'air la bouche ouvert mais cela ne fait rien. Je vois Mia qui cours vers moi. Je ne sais rien lui. Les yeux ouvert, je vois l'inquiètude de Mia dans son visage mais surtout dans son regard. Elle ne comprend rien à ce qui se passe autant que moi. Elle m'appelle mais sa voix s'emplifie en un coup puis se déteriore. Je n'entends presque plus rien, je ne sens plus rien, je vois presque que du noir. Je sens un liquide se glissé dans mes cheveux. C'est chaud, foncé, allure rougeâtre. Cela provient de ma tête. Je perds du sang. Ma tête à reçu un trop gros choque. Je vois noire dans le vrai sesn du terme. La vie obscure sans gêne et sans pitié, ma vue sombre et noire entre comme dans le gouffre de la mort, comme dans le monde des entre deux, comme si je mourrais, comme si je partais pour le monde des rêves illimités. Le rêve illimité c'est la mort. Il n'y aura aucune fin. La tête qui tourne dans les dernières secondes de ma conscience. Noir, le noir complet. Est-ce la mort ou la vie? Est-ce le rêve ou le cauchemar? Je suis une princesse baignant dans une marre d'inconscience et de questions. Je nage dans l'espoir. Je m'enfonce dans le gouffre de la peur. Je plonge le tête baissée dans la vie, je n'affrontes plus rien de face. Je suis ctte princesse qui n'en ai pas une mais qu'on lui répète qu'elle en est une. Je suis cette princesse détruit, échorché mais avec le coeur toujorus solide, toujours en place, ceci n'est qu'une apparence. Je suis cette princesse forte et fragile. Solide, fragile, consciente, inconsciente, épérante, forte, détruit, amochée, fissurée, faussement heureuse, banie, rejettée, souriante, rieuse, rêveuse, abîmée, soumise, insouciante, enfantine, mature, détruite, échorchée, fissurée de l'intérieur, différente, soucieuse, amicale, gentille, stupide, conne, déboussolée, désiquilibrée, folle, déspérante, apeurée voilà ce que je suis. Voilà ce qui est entrain de mourir. On né en espèce en voie de disparition, on meurt, plus de nous, plus rien, une espèce en moins sur terre. Nous sommes que des espèces, que des jouets, que des poupées dans les yeux du monde, dans le regard des plus puissants, agorants et affreux. Ce fut peut-être mes dernières pensées. Je n'en ai aucune idée. Je plonge dans un trou noir comme une aveugle. Je ne sens plus rien, je suis tellement désiquilibrée que je ne comprends plus rien, que je ne sais plus réfléchir, que je ne sais prendre conscience de rien. Vais-je mourir comme ça? Je n'en ai aucune idée. Je vais mourir sans connaître le bonheur, la joie, la vie tout simplement. Je vais mourir en ne connaissait que les larmes et une infime partie que peut être le bonheur. Le bonheur se mensonge que la vie à inventée pour nous donnés de l'espoir dans ce monde infecté jusqu'aux plus profond de lui par le mal, dans ce monde démuni de tout espoir. Je m'envole pour le monde de l'inconscience, cela ne va pas beaucoup changé à la réalité.
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Merde littéraire
JugendliteraturMélange de merde littéraire, tous les écrits sont de moi, c’est pour cela que je me permets de dire que c’est de la merde. Respectez-là comme même. ©Copyright 2013-2014-2015 ©CrazyWildUnicorn #ML pour le travail sur Twitter