Chapitre 13 : Les généraux

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Ça faisait maintenant une semaine que ma mère étais partie, mais avant ça elle m'avait livrée quelques indices sur mon père et parmi ses indices celui qu'il ignorait probablement mon existence. Ce qui expliquait pourquoi il ne m'avait pas cherchée. Je lui avais aussi demandée un nom ou une photo mais elle avait refusée en me disant que je devais le découvrir par moi-même.

Résolus j'avais repris le cours de ma vie là où je l'avais laissée avant cette visite inattendu. La journée j'avais une vie de lycéenne normale et le soir ainsi qu'une bonne partie de la nuit je menais mes recherches sur l'identité de mon père.

Malheureusement pour moi, mes recherches n'avançaient absolument pas, le seul moyen que j'avais d'en apprendre plus étais de parler au garçon du lac : Alec. Mais pour cela je devais retournée dans la forêt et espérer qu'il se montre. Et je doutais fortement qu'il me salut comme si on était de bons amis. Et j'allais sans doute devoir allez en enfers pour pouvoir le voir. Au point où j'en étais je n'avais plus rien à perdre. C'était soit ça, soit je ne retrouverais jamais mon père. Et la deuxième option n'était même pas envisageable.Au final ça faisait deux jours que je réfléchissais à ce que j'allais faire et si j'allais le dire aux garçons. Je devenais chaque jour un peu plus distante, chaque jour je m'éloignais des Anderson. Mais j'évitais de trop le remarquer car à chaque fois ça me faisait mal. Il fallait pourtant que je m'éloigne d'eux car je risquais de ne pas revenir de mon prochain voyage.Si tous se passait bien alors cette nuit je devrais revoir Alec et aussi réussir à en apprendre d'avantage sur les habitant des enfers. Mais il fallait que tout le monde ignore mes projet sinon c'était certain qu'on m'empêcherait d'aller jusqu'au bout. Et je ne voulais pas échouer si près du but.

- Angélique, tu vas bien ? Depuis que tu as vu ta mère tu es devenu distante, tu ne parles presque plus à la maison et au lycée aussi, Me demanda Nicole pendant le repas.

- Tout va bien, maintenant ficher moi la paix. Répondis-je agressif.

Ça me faisait mal d'être si dur avec les gens que j'aimais le plus et qui m'avait accueillit comme si j'étais un membre de leur famille, mais je n'avais pas le choix.

- Je...je suis désoler je ne voulais pas te blesser. Je... euh... ta mère adoptif m'a appeler aujourd'hui elle voulait savoir comment tu allais. Elle voudrait te revoir et te parler. Elle m'a également demandé si elle pouvait venir ici pour te voir. Et je lui ai dit qu'elle pouvait venir quand elle voulait alors elle viendra ce week-end avec ton père et ton frère, continua Nicole.

-Si je voulais la voir ou lui parler je l'aurais appelée, dis-je en me levant de table. Et puis vous ne pouvez pas vous mêler de ce qui vous regarde.

Mais en vérité j'étais contente que ma famille adoptive viennent, ma haine contre eux s'était maintenant dissiper même si je ne pouvais pas les revoir. Pas avant d'avoir retrouvé mon père, pas avant d'être revenu vivante de mon prochain voyage. Si j'en revenais vivante. Mais je n'envisageais absolument pas de mourir, pas maintenant que j'avais trouvé une raison de vivre.

Pas après avoir trouvé une vraie famille, une famille qui me comprenais, une famille que j'aimais et qui m'aimaient. Mais je ne voulais absolument pas qu'ils courent le moindre risque et le seul moyen d'avoir un risque zéro étais de m'éloigner d'eux. Mais quand tous serait terminer alors je reviendrais, je reviendrais et je leurs expliquerais, tout en espérant qu'ils puissent me pardonner un jour.

Puis j'avais quitté la table avec précipitation en feignant d'être dans une colère noir et à en voir l'air désarçonner des autres j'avais réussi. Mais Mathieu m'avait suivi et avant qu'il n'entre dans ma chambre je lui ai claquée la porte au nez. Puis je me suis adossée à la porte pour l'empêcher d'entrer. Il est resté derrière pendant cinq minutes au moins.

Angélique et les gardiensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant