Chapitre 15 : La recherche de la famille des généraux.

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Quand les cours se sont terminés on est rentrés puis comme l'avais suggéré Mathieu quelque heures auparavant on est allés vérifier que le lac de ma mort et de mon rêve existait bel et bien. 

-Alors c'est par où le lac de ta mère, me demanda Florian quand nous sommes arrivés en plein centre de la foret.

-Par là, leurs indiquais-je. C'est en passant vers ses rochers on y est presque.

On est arrivés cinq minutes plus tard devant l'entrer. J'avais peur qu'ils ne puissent pas passer le mur de rocher mais visiblement tous ce qui était magique ou animal pouvaient passer. Je me demandais si les humains pouvaient également traverser ce mur. Mais je n'étais pas prête d'avoir une réponse digne de ce nom,alors je me contentais de penser que ce lieux ne pouvait pas être salit de leurs présence, ainsi ce lieu n'appartiendrait qu'à nous.

En voyant l'air surprit des garçons j'en ai déduit que l'endroit ainsi que son charme leur plaisait.

-Je t'avais bien dit qu'on si croyait en été; dis-je à l'intention de Mathieu.

-C'est vraiment...splendide, me chuchota-t-il à l'oreille.

-Evidemment ! Pourquoi en serait-il autrement, lui répondis-je.

-A la baignade tous le monde, criai-je aux garçons.

En deux secondes, ils étaient déjà en maillot de bain et en trois secondes de plus ils étaient tous en train de piquer une tête dans le lac Diana. C'était ainsi que je l'avais nommée en l'honneur de celle qui l'avait découvert, en l'honneur de ma mère qui avait vu tant de magnifique souvenirs s'y dérouler.

-Tu viens, m'appelèrent les garçons.

-J'arrive, leur répondis-je.

J'allais invoquée un maillot de bain quand une ombre s'est dessinée juste au dessus de moi, elle ne bougeait pas et les garçons ne semblais pas l'avoir vu. C'est seulement au bout de quelques secondes que j'ai reconnus le fantôme de ma mère. Puis une tornade invisible m'a élevée jusqu'à elle. Vincent a été le premier à s'apercevoir de ce qu'il se passait, puis avant que je n'arrive en face de ma mère ils avaient tous remarqué ce qui se passaient. Ils ne m'ont pas rejoint mais n'ont pas repris ce qu'ils faisaient quelques secondes auparavant. Ils restaient là à me regarder sans pour autant essayés de m'interpeller ou de savoir ce qui ce passait.

-Bonjour maman, dis-je en arrivant en face d'elle.

-Bonjours Eléonore, répondit-elle.

-Qu'es-ce qu'il ce passe ?

-Rien de grave, rassure-toi. Je suis juste venue pour te donner unconseil.

-Lequel ?

-Juste un rappel de ce qui t'a déjà été dit.

-Pardon !? Dis-je surprise.

-Avant que tu ne te réveil au château, juste après t'être battu avec les Généraux, tu as fait un rêve me semble-t-il.

-Oui j'ai rêvé que je fêtais l'anniversaire d'un petit garçon j'avais l'impression que c'était Alec et dans ce rêve il m'adonné un morceau de papier où on me faisait comprendre que tout le monde avait une famille. Mais je ne vois toujours pas ou tu veux en venir.

-Essaye de réfléchir.

Quel conseil pouvait ce cacher derrière ce rêve. Plus j'y pensais et plus il s'estompait. Pourtant une phrase ressortait comme un mot écrit au marqueur noir sur un tableau complètement blanc, « Nous avons tous des parents qui nous accompagne la plus grandes partie de notre vie. », ces mots résonnait, sonnait comme une magnifique mélodie à la fois pleine de magnifique souvenir mais égalementd'un triste moment passé.

Angélique et les gardiensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant