Chapitre 10 : Le conseil

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A 14 H 50, Mathieu, Florian et moi sommes arrivés devant le lieu de rencontre avec le conseil. J'étais anxieuse, j'avais peur et j'étais aussi légèrement énerver, rien de ce qui était prévue en début de journée n'était allez comme je l'aurais voulut. Tous d'abord mon réveil, programmé pour 7 H 00, n'avait pas sonné; ensuite mon petit déjeuner avait été une vrai catastrophe, mon lait avait bouillit parce que le micro onde était détraquer, ensuite les céréales avait été envahis par les mites, et pour couronner le tout, le grille pain m'avait explosé à la figure.

Ensuite après être déjà de mauvais poils on avait, avec les garçons, été dans la forêt, en espérant rétrécir encore le champ de recherche, mais là encore je n'ai pas eu de chance car un groupe de sanglier nous avait bloqué l'accès au cœur de la forêt. Ont avaient bien essayé de les faire partir mais le seul résultat qu'on avait obtenus a été de les mettre en colère, résultats des courses ils nous avaient chargé sur deux bons kilomètres.

Une fois rentrer on était dégoulinant de terre et les cheveux pleins de feuille alors on avait décidés de prendre une bonne douche, heureusement il ne m'était rien arrivée. Et finalement juste avant de partir mes chaussures avaient rendu l'âme. Il avait donc fallu que j'en trouver de nouvelle en moins de 5 minutes, heureusement Marion m'avait prêté une paire de basket. Enfin bon maintenant il ne pouvait rien m'arriver de pire.

Je suis donc entrée dans le bâtiment. Un Bâtiment qui ressemblait d'avantage à un château, avec de multiples toiles où était peint une multitude de portraits de différentes personnes, à différentes époques. Dans les long couloirs que j'ai à traverser il y avait énormément de vase venant de toutes les époques et des quatre coins du monde. C'était très riche en décorations, en couleurs et en styles. A la fin du bâtiment se trouvait une immense porte gardé par deux hommes, des gardiens d'après leur aura.

L'avantage d'utiliser régulièrement un sort c'est qu'il devenait plus facile de le maitriser. Et la perception d'aura devenait une seconde vue, je n'avais même plus besoins de me concentrer et de canaliser ma magie, ça se faisait tous seul, comme un reflex.

Je leurs ai présentée la lettre du Conseil pour ne pas avoir à dire qui j'étais, même si je pouvais leur donné mon nom d'adoption. Ils m'ont faite entrer.

La salle était encore plus impressionnante et imposante que tout le reste du château. Elle était presque vide il n'y avait qu'un immense bureau rectangulaire où était réunit 4 des 5 membres du conseil. Evidemment la famille Anderson n'avait pas voulut assister à cette réunion sinon ils auraient été obligé de dévoiler tous ce qu'ils savaient sur moi, et ce n'était pas à eux de le faire.

Tous les Conseiller avait à peu près la quarantaine. Je me suis avancée jusqu'à eux, et m'assis sur le siège vide en face d'eux. On se serait cru dans un tribunal et ça me mettais très mal à l'aise, néanmoins je n'en ai rien laissée paraitre. Je ne voulais pas leurs faire voir à quel point ma situation étais compliquer, et encore moins leurs en faire profiter. Depuis quelque année déjà j'avais adoptée cette attitude, car en ne montrant aucunes émotions il était plus difficile de trouver les points faibles de notre interlocuteur. Puis la séance a commencée.

- Comment vous appelez-vous ? Commença un des hommes.

Je ne savais pas trop ce que je devais leurs répondre. Es-ce que je devais leurs donnés mon nom adoptif ou mon nom de naissance. Finalement je me suis décidée à leur donnée mon nom adoptif.

- Angélique Odilon, répondis-je du ton le plus calme qu'il m'est été possible de faire preuve.

- Quel âge avez-vous ? Continua l'homme.

Il m'a semblée que le seul qui parlerait aujourd'hui serait cet homme. Les autres avaient l'air trop absorbés par mes paroles pour penser à ouvrir la bouche.

Angélique et les gardiensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant