Behind the walls of life

Chapitre 16. Ashton.

- Moi je vois un dragon avec une longue queue. Remarqua le petit.

- Moi, je vois un cheval.

- Pourquoi on ne voit pas la même chose ? Pourtant c'est le même ciel.

- Tu ne vois que ce que tu veux, Ash'. Le monde est le meme mais chacun vit dans son environnement.

- Je n'ai pas bien compris.

- Tu comprendras.

- Tu as appris ça à l'école ?

- Hum, non. Maman me l'a dit.

- Tu es la meilleure fille du monde entier !

- Et tu es le meilleur garçon de tout l'univers !

- Je t'aime et je ne le dirai qu'à toi. Aucune autre fille ne l'entendra à part toi.

- Et pourquoi donc ?

- Car je n'aime que toi et tu es spéciale.

- Tu es mon héro, Ashton.

Et c'est ces mots brefs et simples qui expliquerent au fil du temps au jeune homme ce qu'il ignorait.

Les gens vivaient dans leur environnement et eux vivaient dans le leur.

<><><><><>

Dring dring. Dring dring.

Il se retourna pour éteindre son réveil et écarquit les yeux quand il vit l'heure affichée.

Il se leva d'un bond et entra sous la douche.

Rares étaient les fois où il se levait de bonne humeur. Et aujourd'hui, fut l'un de ces rares jours.

Il mit ses vetements et passa une main dans ses cheveux. Tout en chantonnant, il prit un toast, le mangea et sortit. Son père lui avait dit de passer à la société et c'etait ce qu'il alla faire.

À mi chemin, il se rappela des livres.

Merde ! Il les avaient oubliés et il ne pouvait pas revenir car il était déjà assez loin.

Hier, il n'avait pas fermé l'oeil toute la nuit. Il lisait les livres de la jeune fille en feu. Elle avait un sacré goût. Tres différent de tous ceux qu'il connaissait. C'était un livre sur la guerre. Le journal d'une jeune fille qui raconte la guerre. Ce n'était pas mal. Il avait un nouveau ami ajouté à la série et il s'était promis d'acheter le meme pour le lire à sa mere. Elle aimait les films du genre et surement elle aimera le livre aussi. Ça lui a meme donné plus d'idées pour son projet d'ecriture qui n'a lieu que dans sa tete.

Ashton était rebelle et manipulateur. Il osait tout faire. Mais une chose était l'exception. Écrire ses pensées et transformer sortrir son démon en mot ecritd pas la plume d'encre etaint sa faiblesse.

Il n'osait pas écrire de peur que la feuille et le stylo dévoilent d'autres faiblesses enterrées. 

Comment allait-il se débarasser de cette peur ? Il n'en savait rien. 

Il roula à la société et une fois arrivé, il gara sa voiture et entra.

- Bonjour monsieur Harding. Le Salua la secretaire en agitant ses cheveux.

Ancien tique. Ça ne marchait plus pour le draguer. Raté, baby. Se disait-il.

Apres des heures de boulot, il rangea ses affaires et alla à sa maison pour récupérer ses livres et aller à la bibliotheque. Sa bibliotheque, son hopital.