Behind the walls of life

Chapitre 18. Ashton.

- Danse avec moi Ash'. Le supplia-t-elle.

- Je ne sais pas comment.

- Allez je vais t'apprendre. S'il te plait Ash'.

- Bon d'accord. Je viens. Opina-t-il.

Il s'avança vers elle et elle entoura ses bras autour de son cou. Elle mit ses pieds sur les siens et il la tenait par la taille.

- Voila. Comme ça. Vas y mon chouchou. L'encouragea-t-elle.

Ils finirent la danse et elle sourit pleinement et joyeusement dans ses bras.

- Je t'aime, mon Ashton. Dit-elle.

- Moi aussi. Répondit-il.

Et c'est cette phrase accompagnée de cet innocent sourir qui lui rendirent le sien. Toute l'affaire était là, dans ces mots. "Je t'aime", elle l'avait dit et il avait répondu. Où est la faute en cela ? 

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Dans le penthouse, au milieu du salon, une cheminée en pierre et en bois verdatre était collée au mur de la piece sous l'écran de la télévision.

Devant cette cheminée chauffée par le feu allumé se trouvait un doux et long canapé beige. Sur ce canapé se trouvait un coude posé sur l'extremité droite. Sur cette accoudoir se trouvait un bras plié. Sur ce bras plié se trouvait une tête pensive, un regard glaçant refroidissant l'atmosphere réchauffé et une âme froide.

Un pouce dessinait des formes sur le tissu du canapé. Des formes inexplicables. Des formes d'une tete triste et un coeur brisé par une fleche. Que signifierent-ils. ? Peut etre l'état du jeune homme. Peut etre pas.

La chaleur dégagée et le feu formé devant lui le rappelerent quelqu'un. Ce quelqu'un était une jeune fille au triste sourir. Ce triste sourir lui rappelait des yeux. Des yeux dorés, marrons et verdatre. Ces couleurs étaient celle actuel de la cheminée en feu. Cette cheminée en feu lui rappelait la semaine derniere. La semaine où ses glaçons commencerent à fondre et son froid commença à chauffer.

Apres avoir ajouté des bois à la cheminée, Ashton prit sa douche et mis ses vetements. Ilassa une main sur ses cheveux et ferma la porte de sa demeure.

Il prit sa voiture et appela son ami.

- Ash !

- Alec t'es dispo ?

- Non je pars à l'école.

- Depuis quand tu pars à l'école tous les jours ?

- Depuis que je suis en terminal.

- Je croyais que tu étais avec la fameuse nana.

- Je suis.

- Tu n'as pas dit que tu étais à l'école ?

- Je suis à l'école.

- Ah. Cool la meuf !

- Ce n'est pas ce que tu pen...

- C'est bon c'est bon. (Rire) j'ai compris. Juste ne devient pas père à 18 ans, s'il te plait.

- Tu es vraiment con. Laisse moi t'expliquer.

- Je connait déjà les détails par coeur merci. Amuse toi hein.

- Allez à plus.

Il raccrocha et jeta son téléphone sur le siége en marmonant avec un sourir :