Chapitre du point de vue d'Axel !

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Point de vue d'Axel !
J'écris le point de vue d'Axel à partir du chapitre : Le retour d'Axel. Comme ça vous allez savoir ce qu'il ressentait quand il a fait sa déclaration à Céleste.

Je me promenais dans les rues de Paris pour me changer les idées. Elle me manquait. Je ne lui ai pas reparlé depuis la fête que j'ai organisé pour elle... Elle n'est pas au courant, personne n'est au courant.

Je soupirais en repensant à l'instant où j'aurais pû la secourir. Je m'en veux terriblement.
Lors de ma soirée, je l'ai vu se faire entourer d'Émile et de deux autres mecs que je n'avais pas inviter mais qui se sont tapés l'incruste. J'aurais voulu l'aider, j'ai pourtant crié son nom mais la musique était trop forte. Je l'ai regardé se faire emmener par ces salaups.
Quand j'ai voulu les suivre Ange est venu vers moi avec trois autres mecs et il m'a assuré : "T'inquiète Axel, on s'en charge ! Il faudrait mieux que tu gardes un oeil sur tes invités." Je les ai écoutés. Et je n'ai pas revu Céleste...

Cette soirée qui a d'ailleurs bien dégénéré.
Vers 2 heures 30 du mat', un groupe de 20 mecs se sont pointés et ils ont commencé à chauffer toutes les filles de la soirée. Ensuite, ils ont distribué de la drogue à tout le monde. Les flics sont arrivés, mes parents aussi et c'est moi qui ai tout pris.
Cette fête était l'occasion pour lui avouer mes sentiments. Maintenant, je n'ai plu qu'à chercher une autre occasion. Je ne me vois pas lui déclarer ça devant tout le monde. Ça ferait polimique et toutes les filles se mettraient à détester Céleste.
Putain ! J'ai trop envie de la voir. Je décidais de passer devant chez elle "par hasard", j'aurais peut-être une chance de la voir ? Oui, j'ai fait mes recherches sur son lieu d'habitation. Et non, je ne suis pas un psychopathe.
Sur le chemin, deux filles sont venues me voir :

"- Axel ! Salut, ça va ?

- Oui et vous ?, retournais-je la question sans émotion.

- Ouais !, dit l'une en passant sa main dans ses cheveux.

- C'est dingue comment le hasard fait bien les choses !, dit l'autre.

- Tu veux dire quoi par là ?, demandais-je intrigué.

- Bah on se rencontre comme ça alors qu'au lycée on ne se parle pas !, s'extasia l'une en se donnant un genre. Le type de fille que je déteste.

- Vous êtes dans le même lycée que moi ?

- Bah oui ! Tu nous as jamais vu ?, voulu savoir l'autre dépitée.

- Non."

J'aurais voulu ajouter : "Et je m'en bats carrément les couilles !" mais je me suis retenu. Je voulais passer d'avant la maison de Céleste le plus rapidement possible et ces deux nanas qui pètent plus haut que leur cul me retardaient. Elles font vraiment chier ! Je leur annonça en faisant un sourire hypocrite :

"- Je dois y aller ! À plus les filles."

Je les contournais et continuais mon trajet en direction de la maison de la fille qui me fais craquer. J'entendis les deux nanas s'exclamées : "Oh putain ! Il nous a dit "À plus les fiiiiilles!". Je soupirais desespéré par ces deux cul-cul la praline. Ça en devient lassant à la fin... Bon, j'avoue que c'est toujours agréable de se faire aborder dans la rue mais c'est emmerdant que ce ne soit pas la bonne personne.
Je traversais les quartier pour arriver enfin à deux maisons de chez elle. Je m'approchais en faisant genre : "Je suis passé par là par hasard !".
Lorsque... C'est elle ? Oh c'est elle ! J'axélerais mon allure. Je ne tenais pas à la rater. Elle était de dos. Elle se retourna et je lui adressa un "coucou" de la main. Nous étions à un trottoir d'écart. Je traversais la route, lui fis la bise puis je lui demanda :

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