Chapitre 11

846 63 12
                                    

Tobias

Mes yeux s'ouvrent péniblement, je me réveille d'un profond sommeille. Un frison me traverse le corp tout entier, je suis coucher sur un carelage glacial.

Le temps que je reprenne mes esprits, je ne suis pas rendu compte que j'étais enfermé dans une cellule dont les murs sont tous recouverts d'une laque noire, la porte n'a pas de barreaux mais une porte en verre à la place.

Au moment où je comprends que je suis enfermé dans cette pièce, je bondit et je commence à marteler la porte. J'aperçois du coin de l'oeil une personne armée, appuyé contre un mur, à moitié entrain de dormir.

-Hé, oh. Qu'es que j'ai fait pour atterrir ici !?

Le gardien de bouge pas d'un pouce et me laisse sans réponse.

-Wow, je te parle !

Toujours pas de réponse, bon je crie pour une dernière fois, plus fort et si il m'ignore encore, je laisserai tomber.

-C'est pas possible, je parle à une personne âgée ou quoi !! Il faudrait vraiment que tu t'achète des appareils auditifs.

Le gardien ouvre ses yeux, qui se posent sur moi et il lâche un sourire. Ok, j'ai compris, il ne me répondra jamais.

Bon, il faut que je me souvienne de ce qui a bien pu se passer pour que j'arrive ici.

Je me souviens de: l'hôpital; des infirmiers qui me retenaient; de la chaise que j'ai brisé sur la tête de l'un d'eux; d'une porte brisée; je courais dans les couloirs de l'hôpital; je me suis fait plaqué par un roux; j'ai réussi à me libéré et à le batte; je recours dans les couloirs; je me retrouve encerclé et puis......... plus rien.

Mais pourquoi j'ai fait autant de mal, pourquoi j'ai fais ça.

Tout ce bouscule dans ma tête puis un flash surgit.

Je suis dans la chambre de Tris, la serre dans mes bras. Des personnes frapent la porte. Comme pour essayer de la défoncer. Je ne cessait de répéter à Tris de rester, que je l'aime.

Je me souviens si j'ai fait tout ça c'est que voulais retrouver Tris, parce qu'elle allait mourir.

-Non! C'est pas possible!

Le gardien s'approche de ma cellule et jette un coup d'oeil sur moi. A ce moment je fonce jusqu'à la porte et je me met à crier. Un chagrin immense et une colère incontrôlable grandissent en moi.

-LAISSEZ MOI SORTIR !

Je commence à donner des coups d'épaule dans la porte, en espérant pouvoir la briser.

-LAISSEZ MOI LA VOIRE !

Le gardien me jette un regard narquois. Et commence à parler.

-Voir qui?

-Voir Tris !

-Ah, désolé je ne la connais pas.

Il me parle rien que pour le distraire et pour me contempler totalement impuissant devant cette situations.

Ce sentiment m'enrrage encore plus, ne pouvoir rien faire pour avoir des nouvelles de Tris, pour savoir si elle est encore......vivante.

Il faut que je la vois, je dois la voir.

Je me remet à frapper la porte, il faut que je parvienne à l'ouvrir.

Je prends mon élan et je me lance vers la porte, l'épaule en avant. L'onde de choc que provoque mon épaule contre la porte créé une vibration dans tout mon corp, cette vibrations est suivie par des picotements douloureux.

-Ça ne sert à rien elle est imbrisable.

Le gardien ce met à ricaner.

-De toutes façons tu va sortir dans très peut de temps juste laisse moi le temps de t'aministrer une dose du sérum fraternel.

Il se retourne et appuis sur un bouton orange.

Une seconde plus tard j'entends des cliquetis, puis ma cellule se remplit peut à peut d'un gaz orangé.

Plus je respire, plus j'ai envie de sourire et de glousser, ce que je fais.

-C'est bon tu es libre, tu peux enfin retrouver ta Tris.

-Merci c'est gentil, mais c'est pas si important que ça. Il faut profiter de la vie.

-Tu as bien raison, je te souhaite une bonne journée.

-Merci d'y avoir penser et je vous souhaite la même chose. Même si c'est pas cool de travailler comme gardien de cellules de gens qui sont méchants.

Comment j'ai fait pour faire partie de cette catégorie de personnes, bon, pas le temps de penser à des choses tristes.

Je sort de ma cellule en gloussant et en souriant pour rien, puisque je nageait en plein bonheur (qui vien de nulle part) j'ai décider d'en offrir un peut au gens qui m'entoure.

Quelques minutes je me retrouve à me balader dans le bureau avec une pencarte "bisounours en manque d'affection, donner lui un câlin." Pour que ça soit plus drôle, je prends un aire un peut triste.

En me voyent, les gens me font un câlin et repartent avec le sourire au lèvres. Ça me fait plaisir de donner un peut de couleur à ce monde grisâtre et triste.

Je continuais à faire des câlins au gent, j'ai aperçu du coin de l'oeil Christina, Caleb et Cara. C'est drôle comment tous ces prénoms commencent avec la lettre 'C', on devrais les appeler le C.C.C. Cette idée me fait télement rire que j'en pleure.

Christina s'approche de moi et commence à me parler.

-Quatre, qu'est que tu fais ?

-Bah ça ce vois pas, je fais des câlins au gens. D'ailleurs, t'en veux un?

-Non, c'est bon. Mais qu'est qu'on t'a fais pour que tu sois dans cette état.

-On m'a juste rendu heureux, c'est la seul chose qui compte. Tu devrais essayer, en ce moment tu es d'humeur un peut énervante.

-Tu m'envoie ravie. Comment on t'a rendu heureux ?

-Bah d'abord on m'a enfermé dans une boîte, c'était pas cool mais après l'air dans la boîte est devenu tout orange, et après je suis devenu heureux. C'est super non ?

Caleb intervient.

-Cherche pas, il est sous l'effet du sérum fraternel, qui est une sorte de drogue. Il vaut mieux qui se couche et après on verra.

Mais moi j'ai pas envie de dormir, j'ai envie de danser, chanter, rigoler, m'enjailler quoi.

-Ouais t'a raison.

Christina me prends le poignet et me tire vers le dortoir, je continue à sautiller et à glousser tout en agitant la main pour dire au revoir à Caleb et Cara.

Quand on arrive au dortoir, Christina me demande de me coucher. Maintenant j'ai sommeille, donc je me couche dans un lit et je glousse au bruit que fait le lit quand je m'allonge dans celui ci. Christina enlève mes chaussures et s'assoit sur le lit à côté de moi.

Au bout de cinq minutes je suis déjà profondément endormi.

___________________________________

Hey, tu a aprecier ce chapitre, alors n'ésite pas à voter et à comenter.

Sur ce,

<4

tris, resteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant