Chapitre 16

694 52 0
                                    

Tobias

Ma respiration est devenue rapide tout comme le rythme des battnments de mon coeur. Je suis dans mon siège d'avion, avion qui est entrain de décoller. Mes mains sont crispés sur mon jeans, tout mes muscles sont contactés et je mord tellement fort ma lèvre inférieure qu'elle est en sang. Eva à beau me rassurer de toutes les façons possibles et imaginables, ça ne me calme pas.

C'est pire que ce que je pouvais ressentir quand je montait sur la grande roue, suivant Tris, qui a cette époque n'était qu'une 'simple' initié, dont j'étais que le 'simple' instructeur. A cette époque la guerre n'avais pas encore commencé, je ne savais toujours pas si il fallait que je sois fidèle à ma faction d'origine ou celle qui m'a accueillis quand je voulais fuir mon propre père.

Quand je rouvrir les yeux et regarda par le hublot de l'avion, je me suis rendu conte qu'on avançait sur de longues et interminables routes appelés des 'pistes de décollage'

Tobias, dis toi que c'est une simulation et que la seule façon qui l'arrêtera est de te calmer.

Alors je me concentre sur ma respiration:

Inspire-1-2-3, expire-1-2-3, inspire-1-2-3, expire-1-2-3, inspire-1-2-3, expire-1-2-3..........

Je suis interonpu au bout de 5 minutes de concentration sur ma respiration par un bruit assourdissant et la sensation que mon siège m'attire tellement que je pourrais faire partie du siège lui même. ((a/n- C'est la sensation qu'on a quand les réacteurs s'allument, juste avant le décollage. Desolé mais j'ai pas trouvé de mots pour décrire cet état. Ceux qui on déjà pris l'avion peuvent peut être comprendre de quoi je parle.)) Alors je me déconcentre et je rouvre les yeux. Ma curiosité me pousse à regarder par le hublot et à ma plus grande peur, l'avion se met à voler. Je regarde le sol s'éloigner de moi, sans réaliser ce qui ce passe.

Au bout d'a peine une minute on dépasse les nuages et enfin je comprends que je suis à des kilomètres du sol et que ce n'est pas une simulation, je peut réellement mourir. C'EST LA VRAIE VIE !!!

Ma respiration devient de plus en plus rapide, des sueurs glaciales coulent dans mon dos, mes musclé sont tellement contractés qu'il en tremblent.

Eva me regarde avec des yeux emplit d'impuissance, de compation et d'incompréhension. Autour de moi les autres passagers me regardent bizarrement comme si j'étais un fou.

-Wow, Tobias, calme toi. Tu n'a rien à craindre, les trois premières minutes d'un vol sont les plus dangereuses et on vien de les passer. A ce que je sache on est toujours vivant alors les risques que ta mort se passe dans les prochaines heures son très, très, très faible. Alors il n'y a rien de quoi stresser comme tu le fais.

Elle me lance un regard convincus avec un petit sourire sur les lèvres.

Elle ment c'est évident, c'est imposible que les risque soient presque inexistant, dans chaque moyens de locomotion il y a des risques surtout si on vol. La gravité ce n'est pas rien, voler n'est pas naturel.

Je jette un coup d'oeil sur l'hublot et je ne vois plus le sol, juste un désert de nuages d'un blanc éclatant de lumière. Il faut avouer que c'est beau.

Puis une vague de peur s'empare de moi, j'ai plus peur que toutes les autres fois, plus peur que les fois où je confrontais mon monstre de père pendant les simulations de peur.

Je suis en hyperventilation, je me recoqueville sur moi même les mais au dessus de ma tête comme si je m'attendais à un choc, je sens des larmes couler sur mes joues.

Des mains me prennent par les épaules et me relèvent, c'est Eva. Elle me dit des mots incompréhensibles et tourne sa tête pour crier quelque chose. Quelques secondes plus tard des gens arrivent en courrant vers moi et ma vision deviens trouble.

Puis tout di s p a r a i t

___________________

Hey,
J'espère que ce chapitre t'a plus et encore désolé pour l'attente mais comme je vous ai dis un milliard de fois j'ai presque plus d'inspiration, il faut que je crée une nouvelle vie à Tobias et sa risque de prendre du temps.
Comme d'habitude, n'oublie pas de voter ou comenter.

Sur ce,

<4

tris, resteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant