Chapitre 6- Menace et Romance

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Je nouais mes bras autour de son cou et posais ma tête sur son épaule. Je me penchais et déposais un baiser dans son cou.

-Est-ce que je t'ai déjà dit comme tu es beau ?

-C'est possible que tu me l'as dit.

-Tu es canon, murmurais-je son visage tout près du mien.

Il sourit.

-J'ai hâte de te voir sans ton tee-shirt, lâchais-je.

-Mademoiselle Swan, s'écria-t-il faussement choqué.

-Je n'ai jamais dit que j'étais une sainte.

-Heureusement parce qu'une sainte ne me laisserait pas faire ça.

Il pinça doucement mes fesses, je sursautais et ris.

-Monsieur Black, venez-vous de pincer mon derrière ?

-Oui et je suis prêt à recommencer !

Je gloussais, ravie.

-Quand tu veux !

Il pouffa.

-Tu n'es décidemment pas une sainte !

Nous rîmes, il tourna son visage vers le mien et déposa un baiser sur mon nez.

-Je pourrais te montrer à quel point tu as raison, lâchais-je dans un murmure malicieux.

-J'en serais ravi mais nous avons un devoir à accomplir.

Je fis la moue.

-Plus tard, chérie, plus tard, promit-il.

Je souris, j'adorais quand il était joueur comme ça.

-De plus, nous y voilà.

Je relevais la tête et observais la maisonnette, Jacob me posa une fois que nous fûmes devant. La porte s'ouvrit d'un coup et Embry en sortit.

-Rhéa, enfin te voilà !

-Embry !

Je m'élançais, il me serra dans ses bras...trop fort.

-Embry, tu m'étouffe, l'informais-je.

-Oups, pardon.

Il me relâcha.

-J'avais oublié à quel point tu es plus fragile que moi, dit-il.

-Plus fragile ?

-Ouais, petit bébé !

-Bébé, toi-même, morveux !

-Ça suffit, intervint Jacob. Viens, Rhéa que je te présente.

Je remarquais alors que les autres étaient sortis.

-Rhéa, voici Sam et sa compagne Emily, là c'est Jared et à côté c'est Paul.

-Ravie de vous rencontrer, lâchais-je en souriant.

-Bienvenue parmi nous, Rhéa, dit Sam.

-Je suis heureuse d'avoir une nouvelle fille dans la famille, ajouta Emily.

-Je n'en doute pas, ce doit être difficile à supporter.

-Paul est difficile à supporter, reconnut Embry avec humour.

-Je parlais surtout de toi.

-Ouin, ouin bébé qui put !

-Oh ferme la, grand canasson.

Ne cesse jamais de rêverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant