Lorsque nous arrivâmes devant la maison des Cullen, une vingtaine de voiture étaient déjà garées, je descendis de voiture, allais récupérer Jason à l'arrière et me dirigeais vers la maison. Une douce odeur florale me caressa le nez, je toquais, ce fut Emmett qui nous ouvrit.
-Pile à l'heure, dit-il, entrez.
La maison était merveilleusement bien décorée, Alice avait vraiment des talents pour les fêtes. Je songeais à l'engager pour mon mariage. Emmett nous entraîna dehors, encore une fois je tombais amoureuse de la décoration. Tout était si beau, si assortie, j'adorais.
-Rhéa !
Je tournais la tête et vis mes parents et Phil, je m'approchais. Papa tendit aussitôt les bras à Jason qui piailla de plaisir. J'enlaçais ma mère et Phil.
-Comme tu as changé, Rhéa, dit maman, regarde-toi, tu as l'air d'une femme.
-Merci maman.
Je l'enlaçais encore une fois.
-Comme tu m'as manqué.
-Toi aussi, chérie. Voici donc le petit Jason.
Elle s'approcha de mon fils, lui fis un bisou.
-Salut petit trésor, je suis ta mamie.
Elle se redressa et lâcha :
-Voilà que ça me fait tout drôle de dire ça. C'est un beau garçon que tu as fait, ma fille.
Je pouffais.
-Où est ton fiancé ? Il ne m'a pas été présenté, ajoute-t-elle.
-Jacob, interpelais-je mon amoureux qui nous regardait en retrait.
Il nous rejoignit.
-Jacob, je te présente Renée, ma mère et voici son mari Phil.
-Ravi de vous rencontrer, Madame, dit Jake avec un sourire.
-Moi de même, Jacob, appelle-moi Renée.
-D'accord Renée.
-Vous avez un fils adorable, félicitation.
-Merci. Il tient la beauté de sa mère.
Ma mère sourit.
-Et le charme magnétique de son père, ajoutais-je.
Jacob passa un bras protecteur autour de ma taille.
-Je suis si heureuse, dit maman, mes petites filles ont tellement grandis.
Ses yeux s'emplirent de larme.
-Ne pleure pas, m'man, garde ça pour la cérémonie, soufflais-je.
-Oui, tu as raison.
Elle regarda son petit-fils.
-Tu peux le prendre, maman, papa a un peu tendance à s'approprier Jason.
Papa rit.
-Il est si mignon.
Mais il tendit Jason à maman, Jason se mit aussitôt à papoter avec maman.
-Il est aussi bavard que toi, Rhéa. Tu étais une vraie pipelette bébé.
-Espérons qu'il n'aura pas mon goût pour les bêtises, répondis-je en souriant.
-C'est vrai, renchérit papa.
-Oh je n'étais quand même pas si horrible que ça !
-Ma chérie, tu as toujours été aventureuse, rien ne t'arrêtait, dit maman. Rappelle-toi quand tu avais six ans, tu étais montée dans un arbre derrière la maison, tu voulais faire Tarzan.
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Ne cesse jamais de rêver
FanfictionL'amour...? Je n'y ai jamais cru. Je n'étais pas de ces jeunes filles qui s'attendent à trouver le prince charmant ni de celles qui pleurnichent quand ce dernier met du temps à venir. J'avais toujours eut tendance à penser que l'on pouvait provoquer...