Chapitre 4- Mariage

2.2K 110 7
                                    


Lorsque nous arrivâmes devant la maison des Cullen, une vingtaine de voiture étaient déjà garées, je descendis de voiture, allais récupérer Jason à l'arrière et me dirigeais vers la maison. Une douce odeur florale me caressa le nez, je toquais, ce fut Emmett qui nous ouvrit.

-Pile à l'heure, dit-il, entrez.

La maison était merveilleusement bien décorée, Alice avait vraiment des talents pour les fêtes. Je songeais à l'engager pour mon mariage. Emmett nous entraîna dehors, encore une fois je tombais amoureuse de la décoration. Tout était si beau, si assortie, j'adorais.

-Rhéa !

Je tournais la tête et vis mes parents et Phil, je m'approchais. Papa tendit aussitôt les bras à Jason qui piailla de plaisir. J'enlaçais ma mère et Phil.

-Comme tu as changé, Rhéa, dit maman, regarde-toi, tu as l'air d'une femme.

-Merci maman.

Je l'enlaçais encore une fois.

-Comme tu m'as manqué.

-Toi aussi, chérie. Voici donc le petit Jason.

Elle s'approcha de mon fils, lui fis un bisou.

-Salut petit trésor, je suis ta mamie.

Elle se redressa et lâcha :

-Voilà que ça me fait tout drôle de dire ça. C'est un beau garçon que tu as fait, ma fille.

Je pouffais.

-Où est ton fiancé ? Il ne m'a pas été présenté, ajoute-t-elle.

-Jacob, interpelais-je mon amoureux qui nous regardait en retrait.

Il nous rejoignit.

-Jacob, je te présente Renée, ma mère et voici son mari Phil.

-Ravi de vous rencontrer, Madame, dit Jake avec un sourire.

-Moi de même, Jacob, appelle-moi Renée.

-D'accord Renée.

-Vous avez un fils adorable, félicitation.

-Merci. Il tient la beauté de sa mère.

Ma mère sourit.

-Et le charme magnétique de son père, ajoutais-je.

Jacob passa un bras protecteur autour de ma taille.

-Je suis si heureuse, dit maman, mes petites filles ont tellement grandis.

Ses yeux s'emplirent de larme.

-Ne pleure pas, m'man, garde ça pour la cérémonie, soufflais-je.

-Oui, tu as raison.

Elle regarda son petit-fils.

-Tu peux le prendre, maman, papa a un peu tendance à s'approprier Jason.

Papa rit.

-Il est si mignon.

Mais il tendit Jason à maman, Jason se mit aussitôt à papoter avec maman.

-Il est aussi bavard que toi, Rhéa. Tu étais une vraie pipelette bébé.

-Espérons qu'il n'aura pas mon goût pour les bêtises, répondis-je en souriant.

-C'est vrai, renchérit papa.

-Oh je n'étais quand même pas si horrible que ça !

-Ma chérie, tu as toujours été aventureuse, rien ne t'arrêtait, dit maman. Rappelle-toi quand tu avais six ans, tu étais montée dans un arbre derrière la maison, tu voulais faire Tarzan.

Ne cesse jamais de rêverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant