*SEPTIÈME CHAPITRE*

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PDV JUSTIN

Ricardo commença à entrer dans un des deux ascenseurs. Je n'avança pas et préféra prendre les escaliers alors que les portes coulissantes se fermaient sur mon ami qui rigoler devant ma peur de monter avec lui.
Hé oui j'ai peur des ascenseurs. Il peut s'arrêter et tomber à tout moment. Si je dois mourir je ne veux pas que ce soit de cette façon c'est moi qui vous le dit !
L'ascenseur dans lequel Ric était monté ouvrit les portes devant moi, attendant avec un sourire victorieux. Les ascenseurs ne sont pas plus rapides que les escaliers, qui sont très bon pour la santé.

Ricardo me fit découvrir le premier étage regroupant tous les restaurants et cafés. Putain mais c'est qu'ils se sont améliorés les coco !

- Et ici c'est... Là où je travaille, m'annonça mon ami quand on passa devant un restaurant appelé "Gastronomie française"

Je le regarda puis détourna sur la pancarte du restaurant et tenta de comprendre ce que cela voulait dire.

- C'est un restaurant qui ne sert que de la bouffe française, m'expliqua Ric en voyant mon visage devant la pancarte. De la bonne bouffe !

J'eus un rire en l'écoutant m'entendre dire ça. C'est tellement bizarre car d'habitude pour lui la bonne bouffe c'est le fast-food, et pas... De la Gastronomie.

Bien des choses ont changés. 

Il m'entraîna vers une porte grise s'ouvrant par une pression sur une barre et on se retrouva dans un couloir qui s'alluma par nos mouvements. Ricardo me demanda de lui faire confiance, ce que je fis puis en tournant à droite je lu la pancarte sur la porte : "Privé" 

Ricardo poussa la poignée. Eu... il n'a pas vu ce qu'il y a sur le porte ? 

- Tadaaa  s'écria Ricardo en me dévoilant l'intérieur du restaurant 

La pièce était vide. Les chaises étaient mises sur les tables. Je fis le tour de la salle du regard et vis de la lumière provenant des cuisines. Un homme en sortit et dévoila un sourire en s'apercevant que c'était Ricardo. 

- Bonjour Karl ! le salua Ricardo sans s'approcher. Je repars t'inquiète pas 

- Ça ne me dérange pas que tu restes mon petit, lui dit l'homme. Juste fais attention 

- Je repars, répéta Ricardo en poussant la porte par laquelle on était venus. A demain ! 

Le fameux Karl lui dit au-revoir en repartant dans sa cuisine. 

De retour dans le centre commercial, je me surpris à regarder Ricardo souriant tel un enfant. Il doit vraiment bien aimer ce travail pour avoir ce sourire, je ne l'avais jamais vu avec un aussi grand sourire. 

Il me fit le tour des autres restaurants et cafés qu'il y avait aux alentours. Il y a trop de concurrence en un seul étage c'est fou. 

- On passe au deuxième ? me proposa Ricardo dès qu'on arriva devant les escaliers. Cette fois je monte avec toi 

- Tant que je peux prendre les escaliers je te suis, rigolais-je en commençant à monter les marches 

- Petit Bieber a peur d'un ascenseur comme c'est mignon, se moqua gentiment mon ami 

Je lui mis un petit coup dans l'épaule à l'aide de mon poing. Il répondit à ceci par un rire et failli par la même occasion se prendre le sol. A mon tour je rigola à m'en faire tomber les yeux. 

A peine étais-je rentré dans le deuxième étage que je su directement ce qu'il abritait : des tonnes et des tonnes de boutiques de décorations intérieures et j'imagine aussi extérieures. Il y déjà trop de décorations à l'entrée de l'étage pour ne pas comprendre où l'on se dirige. 

WARNING (tome 2) : Dangerous GameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant