Chapitre 26.

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Chapitre 26.

?: HEY GROSSE SALOPE ! ÉLOIGNE-TOI DES GARÇONS TOUT DE SUITE. AMY LA PUTE BOUGE TON CUL !

On tourna tous la tête vers ce groupe de filles qui m'insultaient. Niall ne pût se retenir... Il s'avança vers le groupe furieux comme je ne l'avais jamais vue.

Niall : Hey toi *en montrant la brune qui avait parlée* D'où tu insulte ma copine ?

La brune : Oh Niall, je t'aime tellement je suis ta plus grande fan.

Niall : Et c'est une raison pour insulter ma copine ? Tu n'es qu'une sale groupie qui essaye de se faire remarquer pour nous rencontrer ou nous parler mais nous détestons les filles comme toi.

La fille s'était mise à pleurer. Au fond de moi je ne lui en voulais pas parce que depuis le temps que je vivais avec les garçons, j'avais comprit que ces filles ne m'insultaient pas par méchanceté mais parce qu'elles étaient mal dans leurs peaux et qu'elles s'imaginaient faire leurs vies avec un des garçons, alors quand elles voyaient que leurs rêves partaient en fumée, elles disjonctaient. Les autres garçons et le reste de l'équipe me fixait pour voir ma réaction. Je leur souriais et leur dit :

Moi : Ne vous inquiétez pas, je gère.

Je m'approchai de ce groupe de fans et dit :

Moi : Je sais que vous ne m'aimez pas et je suis désolé de vivre avec Niall et les autres garçons, mais si vous aimez vraiment les garçons vous devriez être heureuse qu'ils soient heureux et respecter leurs vies privées. Allez Niall vient, d'autres fans plus compréhensible t'attendent.

On s'éloigne et on entendit au loin.

La brune : TU AS RUINÉE MA VIE NIALL HORAN.

Je voyais bien que Niall se sentait mal. Je lui fis un rapide bisou et lui dit que tout allait bien se passer. On signa quelques autographes, pris quelques photos de plus et on entra dans la voiture qui nous attendait. Notre programme était très chargé. On ne restait que 4 jours en France, aujourd'hui les garçons avaient une conférence de presse une interview pour une émission française, et ce soir ils devaient se présentés à une émission de radio très populaire en France, NRJ. Demain il passait la journée à enregistrer une émission de télé appelé 'Le grand journal'. Le surlendemain était un jour de repos pour qu'on puisse visiter Paris et le quatrième jour c'était leur concert à Paris-Bercy toute une journée de répétitions pour leur show le soir. Bref autant vous dire que Lou et moi allions avoir beaucoup de boulot. Nous étions arrivés sur le lieu de la conférence. Dans les coulisses, je m'occupais de la coiffure de Zayn qui prenait pas mal de temps, Harry et Liam se coiffait tout seul, Lou avait déjà coiffée Louis et s'occupait de Niall. Il fallait faire de petites retouches de maquillage sur tous les garçons mais Lux n'arrêtait pas de gémir et de se tortiller dans les bras de Paul.

Lou : Amy je t'en supplie, prend-là pour qu'elle arrête enfin de nous casser les oreilles.

Moi : Pas de soucis.

Je pris Lux dans les bras, et cette dernière se stoppa net de pleurer.

Lou : Quel petit monstre celle-ci.

Elle disait ça avec un amour maternel tellement sensible dans sa voix. Ma mère appelait ma petite sœur 'Mon petit monstre' tout le temps. Avant l'accident, ma mère était tellement protectrice, sensible, et adorable avec nous, elle nous aimait plus que tout au monde. Et puis tout a changé.

Moi : Est-ce possible qu'une mère arrête d'aimer son enfant après une erreur.

Merde, je venais de me rendre compte que j'avais dis cette dernière phrase à voix haute. Tous les regards étaient tournés vers moi. Les larmes me montèrent aux yeux. En voyant ça Lou pris la parole.

Lou : Mon ange, une mère ne cesse jamais d'aimer son enfant. C'est impossible, et même si elle te le fait ressentir comme tel, au fond d'elle elle t'aime plus que personne ne pourra jamais le faire, tu es sa chair et son sang ma belle, tu proviens de ses entrailles, et ceci rien ne pourra lui faire oublier même pas un drame tel que vous l'avez vécus. Je ne peut pas comprendre à quel point le fait que ta mère te renie peut te faire souffrir mais n'oublie jamais une chose, tu es sa fille, et elle t'aime.

Ce que venait de me dire Lou m'avait redonnée espoir. Oui même si je ne lui reparlerais probablement jamais de ma vie, je me disais qu'une part en elle ne m'oublierait pas et continuerait à m'aimer.

Moi : Merci Lou.

Lou : De rien mon ange.

Moi : Allez les garçons il est l'heure en place. Des journalistes vous attendent.

I'm not dead !!!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant