My Slave

Chapitre 6

Keep be crazy and love my Fanfic !

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Pdv de Minah :

La nuit été tombée dans le paysage tourmenté de Séoul. J'étais dans ma chambre évidemment repensant à Suga oppa. Je repensais à ses magnifiques traits, sa peau si pâle, son nez parfait et sa petite bouille mignonne.

Comment ne pas l'aimer ?

Toujours en train de rêvasser comme une adolescente en pleine puberté je me rendus compte d'une chose : je ne connaissais que très peu de Suga oppa.

J'ai essayé de regardé sur YouTube ou bien internet des informations sur lui. Mais je me sentirais mal de faire ça derrière son dos ! Je serais comme une stalkeuse dépourvue d'un cerveau ! Réfléchi bon sang! Il y a bien une solution sur mille me suis je dis!

Mais rien trouvé !

Et puis mon article il faut que je le fasse! Je ne peux pas me laisser distraire maintenant ! Il faut que mon père sache que je peux travailler avec n'importe quel sujet.

Papa : MINAAAAAAH!

Oops je crois qu'il a vu les infos à la télé.
Il ouvrit avec fracas la porte de ma chambre.

Papa : Minah je-...

Je lui coupai la parole.

Moi : Yah ! Tu veux tout casser ou quoi!? Reviens plus gentiment bon sang!

Il s'excusa et referma la porte pour la rouvrir plus gentiment.

Papa : Yah Minah ! C'est quoi cette affaire encore! Tu veux me tuer d'humiliation c'est ça hein!?
Après le fils de ce politicien tu t'attaques à un Idol!? Je t'en pris abandonne ce métier tu veux bien?

Pourquoi est-ce qu'il me disait toujours la même chose? Pourquoi me rabaissait il autant ? Pourquoi ne m'encourageait il pas?
Il veut que j'abandonne mon métier mais je ne veux pas le lâché !

Maman et mon père étaient tous deux journalistes. Ils se sont rencontré grâce à cette profession. J'aimais cette sensation de solidarité et de fraternité dans tout ce qu'ils entreprenaient, leurs sourires enfantins quand l'idée de défaite envers l'autre se garantissait, l'écho de leur rire raisonnant encore dans tout mon être et la jouissance de leur bonheur infini. Tout leur univers m'entourait et me berçait.

Mais ma mère à dû subitement succomber à son destin. Sa maladie lui avait mangé de l'intérieur alors ma mère mourait de jours en jours. Je n'oublierai jamais le jour où son souffle c'est éteint. Son visage si angélique était devenu pâle et maladif. Le sang d'une humeur moqueuse se retrouvait recrachée par ma mère. Sa voix autrefois si belle et pleine de vie ne ressemblait plus qu'à un vieux souvenir. Tout avait presque changé oui mais son sourire demeura dans son visage meurtri par la maladie incurable de ma mère. J'avais beaucoup pleuré ce jour là. Rien ne pouvait être semblable je pense.

Je ne dis rien car la frustration de mon père
je pouvais la comprendre. Mais me demander d'arrêter cela en était de trop!

Papa : Répond moi Minah ! Ne me fais ma ta crise digne d'une crise existentielle d'adolescence. Me parla-t-il d'un ton ennuyé.

Que pouvait il me reprocher d'autre? Oui mon adolescence a été massacré par ces moins que rien ! Je le sais plus que quiconque. Je suis encore à ses yeux une jeune lycéenne en pleine crise d'adolescence parce que je ne l'ai pas faite lors de mes années au lycée. Je me faisait un peu trop martyrisé pour ça désolée papa ! (NDA : pur hironie!)