My Slave

Chapitre 11

You're the best ! Love my Fanfic !

PS : Ils sont trop mignons choupinets !

（＞ｙ＜）（＞ｙ＜）（＞ｙ＜）

Pdv de Jimin :

Elle avait fermer la porte avant que je ne puisse la prendre dans mes bras. Qu'est-ce que j'avais fait? Qu'est-ce qu'il m'a prit?

Je frappais de mes deux poings la porte en acier. Je posais à la suite mon front comme pour me faire pardonner.

Moi : ...

Je ne savais pas quoi lui dire. Ma voix ne sortait pas.

Je me laissais glisser le long de la porte, le regard dans le vide. Ma main droite touchait mes lèvres froides à cause du vent d'hiver. J'allais l'embrasser. Je lui ai demandé de m'embrasser. Mais qu'est-ce qu'il ne va pas chez moi?

Pourquoi est-ce que je réagis comme ça?
Ne m'étais je pas promis de ne plus tomber amoureux ?

Je laissais ma tête se frapper contre la porte pour m'appuyer complètement sur celle-ci.
Un genoux plié et l'autre tendu. J'avais oublié cette promesse que je m'étais faite.
Et c'est pour ça qu'il faut qu'elle s'éloigne. Il le faut ! Il faut que je la blesse pour qu'elle s'écarte de moi.

Je me levais suite à ces mots et je m'en allais les mains dans les poches. Une sorte de petit nuage se formait lorsque j'expirais. Un souffle chaud créait ce petit nuage qui se dissipait peu de temps après être créé.

La voix essoufflé je me suis mis à rentrer chez moi.

PDV de Minah :

Le matin c'était levé. Mon père fut surprit de me voir sur mon lit. Il se précipita par la suite et avec un sourire anxieux il me demanda.

Père : Minah! Minah! Est-ce que ça va?

Je ne lui répondais pas. Je ne savais pas pourquoi j'ai pu réagir comme ça hier soir. Sûrement à cause de mes règles. Les hormones réagissent...

Père : Tu es encore malade ? Ils t'ont fait quelque chose ses garçons? Répond moi Minah !

Mais je me contentais de répondre avec des bruits incompréhensibles qui sortaient de ma bouche.

Mon père me caressa les cheveux et continua son récit vu qu'il savait que je n'étais pas prête à parler de quoique ce soit.

Père : Minah...je... Il marqua un temps de pause puis reprit. J'étais vraiment inquiet pour toi. Ça va faire deux à trois jours que tu es restée là-bas. Je suis désolé de ne pas pouvoir te montrer à quel point ma gentille fille que j'adore éperdument compte à mes yeux. Mais...rah c'est difficile... Avec le temps que mon travail me prend...

Moi : C'est toi qui à décidé de te cacher dans le monde du travail. Après la mort de Maman tu ne m'as plus jamais regardé de la même manière. Tu te réfugiais dans ton travail parce que tu ne voulais pas me regarder dans les yeux. Parce que quoi? Parce que mes yeux te font rappeler ceux de Maman! Depuis que Maman est partie tu m'as délaissé dans la solitude. Et le moment où j'avais le plus besoin de toi en tant que père, en tant que soutien tu... (Les larmes coulaient...) Tu n'étais pas là...

Ma voix avait tremblé au dernier moment, à la dernière phrase. Je me rappelais encore de mes moments de solitudes. J'avais besoin de lui lorsque le lycée me torturait. Mais il n'était pas là.