Bonne lecture :3Un son me parvenait mais cela restait faible. Je n'arrivais pas à distinguer ce que ces "sons" voulaient signifier. Je n'arrivais pas à entendre, je ne comprenais pas. C'était comme entendre le monde sous l'eau, noyé dans ce liquide qui remplit mes poumons. Et bientôt le "son" redevenu plus clair et fluide, l'eau se dissipait et je me retrouvais dans ma chambre. J'observais autour de moi. Un fracas me déroba un petit cri de terreur. Je me suis décidée d'aller voir puisque le bruit provenait d'en bas. Mais quelque chose me frappa ! Je m'étais vu dans le miroir. Là, je voyais mon reflet d'antan. Jeune et insouciante, une enfant espiègle et téméraire... Je ne fis pas plus attention car les cris devenaient de plus en plus fort.
Je descendus les marches d'escalier une à une. Je m'arrêtais quand j'aperçus ma mère et mon père se disputer.
Mère : Elle ne peut pas devenir journaliste ! Je ne veux pas que ma fille devienne ce genre de gens ! Tu sais très bien ce que ça fait !! Ne l'emmène pas dans notre "monde"!!!
Père : Mais pourquoi tu dis ça !? Elle le veut ! Elle veut devenir journaliste !! Ne vas tu pas la soutenir en tant que bonne mère ?!
Mère : Justement ! En tant que bonne mère je dois la protéger ! Et je veux la protéger de ce que ce business pourrait lui faire ! Hors de question qu'elle le soit ! On le sait tout les deux chéri... Ne m'oblige pas à crier comme cela... Ça me fait mal de devoir hausser le ton avec toi...
Il se retourna les poings serrés recherchant son calme disparu. Puis ils se hurlait une nouvelle fois dessus. J'assistais à la scène me bouchant les oreilles comme une enfant pour ne pas entendre.
Désolée maman, papa, j'ai toujours été la cause de votre dispute ! Jamais je me pardonnerai ! Mon coeur battait tellement fort dans ma poitrine, il se serrait et je souffrais à cause de cela.Accroupie, je fermais fortement les yeux. Je n'aimais pas quand papa et maman se disputaient à cause de moi. J'ai toujours été "la dispute". Chaque fois c'était pareil, ils se criaient dessus sur le même sujet. Au début rien de bien méchant puis cela s'était aggravé de jour en jour... Jamais je ne me l'étais pardonnée... Et mon père aussi...sûrement...
Je ne voulais plus entendre leurs hurlements ! J'en avais assez! Je voulais leur dire d'arrêter ! Mais j'étais comme paralysée...
C'est alors que le décor et le souvenir de ma mère et de mon père se disputant changea et fit place à moi au collège. J'étais sur un arbre. J'aimais admirer la vue du haut d'un arbre. Cela me faisait sentir importante et aimer aux yeux de ce paysage quelque peu chatoyant. Le même arbre, la même vue sublime. Une voix m'extirpa de mes songes et je découvris sous le pied de l'arbre mon meilleur ami d'enfance.
Il me sourit et finit par me demander de descendre de "mon" arbre. Monter aux arbres n'était pas du tout féminin mais je m'en fichais... Byun Baekhyun m'aimait pour ce que je suis et ce que j'ai. Et moi de même. Je l'ai toujours aimée... On se dirigea dans un marché de rue. Là, où il y avait plein de fruits et des merveilles.
On finit par voler une pomme chacun sur le marché.
Mais alors qu'on s'apprêtait à courir main dans la main, le sourire et la joie nous emporter je le vis disparaitre comme dans un rêve. Une poussière se dispersant et s'égarant on ne sait où. Je paniquais ne voyant plus mon meilleur ami d'enfance. Je le cherchais mais quelqu'un me poussa et je tombais à terre. La tête au sol en premier. Je saignais du nez. Je ne voyais plus très bien. Les larmes allaient descendre mais je me retenais de pleurer.La douleur me venait. J'avais mal...
... : Tu croyais vraiment pouvoir lui parler à Baekhyun oppa ? Non mais pour qui tu te prends ? Redescend sur Terre, il est juste magnifique et il a tout ce qu'il faut puis toi... Eh bah...tu...tu es juste toi... Ria-t-elle avec les autres qui l'accompagnait.
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My Slave
FanfictionPark Jimin fait partit d'un groupe devenu extrêmement populaire grâce à leur chanson "I need u". Ceci dit on suit l'histoire d'une jeune journaliste qui a été rétrogradé à cause de son comportement intolérable que pensent ses supérieurs. Elle qui...