7 - الفصل

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01h01 | Paris, Boîte de nuit.

Une semaine, que je suis sur la capitale. Étant l'homme caméléon, j'ai réussi à vite m'adapter contrairement à Jawahir. Il avait plus de mal, il était très en rentrait. C'est un homme assez timide.

Je fréquentais les amis de Cheick, du jargons j'en ai enregistré. Notre liste est dorénavant très longue. Les hommes ont une façon spéciale de se saluer, leur nourriture est très particulière aussi. J'ai apprécié manger avec mes doigts. J'ai découvert un fastfood qui se nomme « grec. » Le saviez vous qu'il ne fut pas inventer par des grecs ? Ce sont les turcs qui y sont à l'initiative. J'ai appris beaucoup de chose a leur côté.

Les femmes de ce quartier ne me conviennent pas. En une semaine, je n'ai rien trouver. Je ne m'inquiète pas, j'ai encore du temps. Je n'ai pas de types particulier. Je n'ai pas un idéal féminin. J'aimerai juste qu'elle ait des valeurs et des principes peu importe son milieu social. Je fonctionne au coup de cœur, au feeling.

Actuellement, j'étais vêtu d'un costume bleu marine et d'une chemise blanche. Cela m'avait manqué car habituellement, pour me fondre dans la masse, je m'habillais en jeans ou jogging. Nous étions dans une boîte de nuit. C'était sympathique mais je ne pense plus y reposer les pieds. Ce n'est pas mon univers, je suis trop posé.

C'était une très grande salle. Il y'avait des podiums, un espace danse puis, un bar au loin. La musique jouait à fond dans le club, les hanches de chacun bougeaient en rythme. La musique était très entraînante. Pour ma part, je préférais rester assis et regarder les autres. D'ailleurs, on avait perdu Cheick et ses amis. Les néons multicolores éclairaient la pièce. C'était très moderne.

Mais d'un seul coup, les lumières s'éteignent. Nous sommes dans l'obscurité total. Je sens Jawahir perdre toute fierté masculine à la minute où il serre mon bras. Des lumières apparaissent éclairant une poutre en fer. Nous ne comprenons rien jusqu'à ce que, j'entende une voix annonçant d'un ton solennel : Les habitués, vous la connaissez. Les nouveaux, jamais vous ne l'oublierez. Je vous présente la belle et sublime, Inaïa.

Vêtue d'un faible dessous blanc et d'un haut dévoilant sa forte poitrine, une femme apparaît. Elle était si belle. Elle magnait cette barre de fer avec une telle délicatesse. Elle pratiquait son art à merveille. Malgré sa tenue légère, elle arrivait à donner une certaine élégance à la danse. C'était gracieux.

Inaïa tournait sur elle même, ses longs cheveux noirs volaient dans les aires. Parfois, elle portait son poids sur la poutre, faisait des voltiges. J'avais l'impression de voir un ange, une déesse qui descendait du ciel. La jeune femme, bougeait ses hanches synchroniquement, telle une danseuse arabe. Que c'était beau !

Elle avait un regard de panthère. Je refusais de le quitter. D'ailleurs, à la seconde où nos yeux se rencontrèrent elle s'arrêta de danser. J'ignorais ce qu'il se passait, c'était la première fois que cela m'arrivait. Un lien transparent nous unissait, je ne voyais rien d'autre. C'était passé tellement vite, j'aurai voulu que cette instant se prolonge. J'ai trouvé ma promise, l'élément déclencheur de mes battements de cœur.

Jawahir : Azhar, tu la connais ?

Moi : Je la veux.

Nous avions une telle alchimie que de l'extérieur, on croirait se connaître depuis des années. J'avais l'impression de lire en elle. Inaïa n'aimait pas son travail, cela se sentait. Je veux la connaître, tout savoir sur elle.

Jawahir : Azhar s'il te plait concentre toi

Moi : Je le suis

Jawahir : Ton père n'acceptera jamais, elle est bien trop foncée. Allons te chercher une femme au teint chocolaté clair si tu souhaites vraiment une africaine.

Moi : Je ne le souhaite pas. C'est elle que je veux.

Un homme finit par annoncer sa sortie précipiter avant qu'une autre ne prenne sa place. J'étais ailleurs, j'étais troublé. Je ne suis pas inconscient. C'est peut être précipité mais je le sais, je l'aime. Il s'agissait d'un coup de foudre et réel.

Jawahir : Tu n'es pas concentré émir. Cette femme est noire comme la nuit, elle est nue devant tous ces hommes. Ce n'est pas une femme correcte.

Moi : Ne juge jamais une personne à son apparence.

Jawahir : C'est la femme de Cheick, c'est notre ami. Il a été si gentil.

Moi : Cheick n'est pas notre ami

Jawahir : Azhar !

Moi : Je la veux et je l'aurais.







Comment obtiendra t'il le cœur de la belle Inaïa ? To be continued ...
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© lPanamienne.

Un prince dans la ville. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant